06-09-2006, 15:08
Les blessés ?
Ça s’est vidé très rapidement. Alain Cantareil avait un peu mal au dos. Ce matin, il s’est entraîné normalement. Mame N’Diaye a commencé à trottiner aussi, les internationaux arrivent petit à petit, mais il en reste encore pas mal à l’extérieur. On fera le point demain soir lorsque tout le monde sera rentré.
Oruma ?
Il est là, il a eu un petit problème, mais il est là…
Un petit problème de quoi ?
Un petit problème…
Lamouchi ?
Oui. Il avait un peu mal à la cheville ce matin. Par précaution, il est resté au repos.
Tu aurais espéré que les deux jeunes jouent un peu moins hier soir ?
Ça ne me gêne pas. Moi je pense que c’est difficile de s’entraîner quinze jours sans match. Tous ceux qui étaient en sélection ont gardé l’esprit compétiteur, c’est pour cela que nous avons gardé l’esprit compétiteurs au niveau des jeux, mais ce n’est pas pareil que de faire des matchs pour son pays. Les deux joueurs sont revenus ce matin, Cuperly a assisté au match et les a ramenés à l’hôtel et ce matin, il a pris le premier avion pour faire un décrassage. Cet après-midi, ils sont tranquilles, ils ont un jour de récuperation.
La pression monte ?
Non il y a encore des absents. César, Lorik, Franck sont à l’extérieur. Disons que demain après midi, on pourra vraiment plonger dans notre championnat, dans notre pain quotidien.
Le match de l’équipe de France éclipse un peu ce match ?
Oui c’est vrai que ça laisse encore l’esprit libre, tranquille, on est bien dans nos têtes. Maintenant ça va aller vite. Ce match c’est un match de championnat, le cinquième. Et voilà.
Le contexte est totalement différent par rapport à la saison dernière ?
Totalement, totalement, totalement…
Fernandez malade, toi sur le banc…
Il n’était plus malade mais enfin.. On touche du bois, Mais c’est vrai que c’est un contexte différent. C’est un match passionnant. La pression monte un petit peu quand même, pas au niveau du match en lui-même mais surtout au niveau de nos prestations. C’est un match important à bien vivre.
Ça faisait longtemps que l’OM n’allait pas en leader à Paris ?
On est à 4 journées ; on ne va pas monter plus haut que ce qu’on est mais disons que ce sont souvent des matchs fermés. Ca serait intéressant de faire un très bon résultat… On ne va pas s’en cacher, s’est normal, ça sera très difficile mais pourquoi pas.
Que pensez vous du début de saison du PSG ?
Ça reste une équipe avec des joueurs de grande valeur, avec beaucoup d’individualités, avec une organisation qui est bonne. Nous on sait. On ne va pas se figer aux résultats qui viennent de se passer ou de ceux de l’année dernière. Nous on sait que c’est une bonne équipe, il ne faudra rien leur donner et surtout pas les mettre en confiance
Au delà du fait que ce soit une bonne équipe, il y a la rivalité ?
Mais il faut que ça reste un match aussi. Les matchs PSG-OM ou OM-PSG, c’est souvent des matchs fermés. Il y a eu des coups d’éclat. Il ne faut pas oublié que Paris est resté sur 6 ou 7 victoires consécutives contre nous avant la victoire la saison dernière 1 à 0 chez nous. Là il faut savoir que si on relève le niveau de l’équipe adverse, on relève aussi le niveau mental des joueurs adverses. Nous, il va falloir qu’on relève aussi notre niveau mental pour être encore plus fort que ce qu’on a été jusqu’à maintenant. Le classement ne veut rien dire après 4 journées, c’est surtout à travers les joueurs. On est au Parc des Princes, toutes les questions qu’on peut se poser ressemblent à « Est-ce que vous vous méfiez de cette équipe ? Est-ce qu’il y a de bons joueur? » Bien sûr qu’on doit se méfier de cette équipe. C’est à nous aussi de bien rentrer dans ce match et de ne rien laisser. C’est-à-dire qu’il ne faut pas qu’on se méfie de nous, il faut qu’on ait confiance en nous…
Comme l’équipe de France face à l’Italie, toi après la défaite en coupe tu as peur que les joueurs ne pensent trop à la revanche ?
Non, non, non, non, j’espère pas, j’espère que c’est évacué. C’est un match différent. Très différent. La coupe de France, je pense qu’on avait certainement la valeur pour remporter ce match-là, mais de temps en temps, il faut peut-être un peu plus de haine. La haine était du côté parisien. Je parle d’une haine saine, il n’y a pas eu d‘agressivité méchante sauf le penalty qu’on aurait pu avoir , mais je pense que c’est un match très différent. En championnat, on ne joue pas pareil, on ne joue pas pour une coupe, on joue pour un championnat qui dure longtemps. Mais pour nous, tous les matchs ont un esprit coupe. Là, le Parc est plein. Quand les équipes viennent chez nous, le Vélodrome est plein, c’est des matchs de coupe. C’est pour ça que cette notion de compétition qui a été donnée aux internationaux c’est pas mal. Ils savent ce que ça représente un match de foot, Franck ou l’équipe de France a la pression sur l’Italie, les espoirs avaient la pression pour se qualifier, chacun à sa pression pour faire du mieux possible. On ne peut pas jouer sans pression.
Et toi ?
La pression, je l’ai depuis que j’ai été nommé. C’est une pression saine, de résultats. Je ne la mets pas aux joueurs parce qu’ils jouent et sur le terrain ils doivent analyser tous les compartiments du jeu sans se mettre de pression, mais moi bien sûr que je l’ai.
Paris a eu plus de temps pour préparer tactiquement ce match. Ça va te manquer ?
C’est possible. C’est possible parce qu’à un moment donné, ce n’est pas qu’on va préparer ce match spécialement, mais par exemple aujourd’hui il n’y avait pas la possibilité de travailler tactiquement. On a travaillé en fonction de l’effectif, avec de jeunes joueurs, ils on a pris du plaisir à travailler, mais ça peut nous manquer. Mais comme j’ai dit la dernière fois, si on avait eu tout le monde, on aurait eu 15 jours pour préparer ce match. Ça aurait été peut-être un peu trop long aussi. 48 heures, on verra…
M’Bami ?
Il travaille bien depuis qu’il est là. On le sent monter un peu en puissance.
Il sera dans le groupe ?
On verra .
Tu prends en compte le fait que c’est un ancien Parisien ?
Oui. Tout entre en jeu. Le niveau compétition, physique, mental, ce match contre son ancien club. On verra, on a encore un peu de temps vis-à-vis de lui…
Généralement, les anciens marquent ?
On verra… Vous me mettez la pression ou quoi, là ? Tu fais l’équipe toi aussi. Ça fait deux personnes qui font l’équipe, il faut arrêter… Non, on verra, on verra...
Ça s’est vidé très rapidement. Alain Cantareil avait un peu mal au dos. Ce matin, il s’est entraîné normalement. Mame N’Diaye a commencé à trottiner aussi, les internationaux arrivent petit à petit, mais il en reste encore pas mal à l’extérieur. On fera le point demain soir lorsque tout le monde sera rentré.
Oruma ?
Il est là, il a eu un petit problème, mais il est là…
Un petit problème de quoi ?
Un petit problème…
Lamouchi ?
Oui. Il avait un peu mal à la cheville ce matin. Par précaution, il est resté au repos.
Tu aurais espéré que les deux jeunes jouent un peu moins hier soir ?
Ça ne me gêne pas. Moi je pense que c’est difficile de s’entraîner quinze jours sans match. Tous ceux qui étaient en sélection ont gardé l’esprit compétiteur, c’est pour cela que nous avons gardé l’esprit compétiteurs au niveau des jeux, mais ce n’est pas pareil que de faire des matchs pour son pays. Les deux joueurs sont revenus ce matin, Cuperly a assisté au match et les a ramenés à l’hôtel et ce matin, il a pris le premier avion pour faire un décrassage. Cet après-midi, ils sont tranquilles, ils ont un jour de récuperation.
La pression monte ?
Non il y a encore des absents. César, Lorik, Franck sont à l’extérieur. Disons que demain après midi, on pourra vraiment plonger dans notre championnat, dans notre pain quotidien.
Le match de l’équipe de France éclipse un peu ce match ?
Oui c’est vrai que ça laisse encore l’esprit libre, tranquille, on est bien dans nos têtes. Maintenant ça va aller vite. Ce match c’est un match de championnat, le cinquième. Et voilà.
Le contexte est totalement différent par rapport à la saison dernière ?
Totalement, totalement, totalement…
Fernandez malade, toi sur le banc…
Il n’était plus malade mais enfin.. On touche du bois, Mais c’est vrai que c’est un contexte différent. C’est un match passionnant. La pression monte un petit peu quand même, pas au niveau du match en lui-même mais surtout au niveau de nos prestations. C’est un match important à bien vivre.
Ça faisait longtemps que l’OM n’allait pas en leader à Paris ?
On est à 4 journées ; on ne va pas monter plus haut que ce qu’on est mais disons que ce sont souvent des matchs fermés. Ca serait intéressant de faire un très bon résultat… On ne va pas s’en cacher, s’est normal, ça sera très difficile mais pourquoi pas.
Que pensez vous du début de saison du PSG ?
Ça reste une équipe avec des joueurs de grande valeur, avec beaucoup d’individualités, avec une organisation qui est bonne. Nous on sait. On ne va pas se figer aux résultats qui viennent de se passer ou de ceux de l’année dernière. Nous on sait que c’est une bonne équipe, il ne faudra rien leur donner et surtout pas les mettre en confiance
Au delà du fait que ce soit une bonne équipe, il y a la rivalité ?
Mais il faut que ça reste un match aussi. Les matchs PSG-OM ou OM-PSG, c’est souvent des matchs fermés. Il y a eu des coups d’éclat. Il ne faut pas oublié que Paris est resté sur 6 ou 7 victoires consécutives contre nous avant la victoire la saison dernière 1 à 0 chez nous. Là il faut savoir que si on relève le niveau de l’équipe adverse, on relève aussi le niveau mental des joueurs adverses. Nous, il va falloir qu’on relève aussi notre niveau mental pour être encore plus fort que ce qu’on a été jusqu’à maintenant. Le classement ne veut rien dire après 4 journées, c’est surtout à travers les joueurs. On est au Parc des Princes, toutes les questions qu’on peut se poser ressemblent à « Est-ce que vous vous méfiez de cette équipe ? Est-ce qu’il y a de bons joueur? » Bien sûr qu’on doit se méfier de cette équipe. C’est à nous aussi de bien rentrer dans ce match et de ne rien laisser. C’est-à-dire qu’il ne faut pas qu’on se méfie de nous, il faut qu’on ait confiance en nous…
Comme l’équipe de France face à l’Italie, toi après la défaite en coupe tu as peur que les joueurs ne pensent trop à la revanche ?
Non, non, non, non, j’espère pas, j’espère que c’est évacué. C’est un match différent. Très différent. La coupe de France, je pense qu’on avait certainement la valeur pour remporter ce match-là, mais de temps en temps, il faut peut-être un peu plus de haine. La haine était du côté parisien. Je parle d’une haine saine, il n’y a pas eu d‘agressivité méchante sauf le penalty qu’on aurait pu avoir , mais je pense que c’est un match très différent. En championnat, on ne joue pas pareil, on ne joue pas pour une coupe, on joue pour un championnat qui dure longtemps. Mais pour nous, tous les matchs ont un esprit coupe. Là, le Parc est plein. Quand les équipes viennent chez nous, le Vélodrome est plein, c’est des matchs de coupe. C’est pour ça que cette notion de compétition qui a été donnée aux internationaux c’est pas mal. Ils savent ce que ça représente un match de foot, Franck ou l’équipe de France a la pression sur l’Italie, les espoirs avaient la pression pour se qualifier, chacun à sa pression pour faire du mieux possible. On ne peut pas jouer sans pression.
Et toi ?
La pression, je l’ai depuis que j’ai été nommé. C’est une pression saine, de résultats. Je ne la mets pas aux joueurs parce qu’ils jouent et sur le terrain ils doivent analyser tous les compartiments du jeu sans se mettre de pression, mais moi bien sûr que je l’ai.
Paris a eu plus de temps pour préparer tactiquement ce match. Ça va te manquer ?
C’est possible. C’est possible parce qu’à un moment donné, ce n’est pas qu’on va préparer ce match spécialement, mais par exemple aujourd’hui il n’y avait pas la possibilité de travailler tactiquement. On a travaillé en fonction de l’effectif, avec de jeunes joueurs, ils on a pris du plaisir à travailler, mais ça peut nous manquer. Mais comme j’ai dit la dernière fois, si on avait eu tout le monde, on aurait eu 15 jours pour préparer ce match. Ça aurait été peut-être un peu trop long aussi. 48 heures, on verra…
M’Bami ?
Il travaille bien depuis qu’il est là. On le sent monter un peu en puissance.
Il sera dans le groupe ?
On verra .
Tu prends en compte le fait que c’est un ancien Parisien ?
Oui. Tout entre en jeu. Le niveau compétition, physique, mental, ce match contre son ancien club. On verra, on a encore un peu de temps vis-à-vis de lui…
Généralement, les anciens marquent ?
On verra… Vous me mettez la pression ou quoi, là ? Tu fais l’équipe toi aussi. Ça fait deux personnes qui font l’équipe, il faut arrêter… Non, on verra, on verra...
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