08-03-2006, 18:55
conférence de presse du 08-03-2006
Que connaissez vous de cette équipe ?
Je ne connais pas grand-chose de cette équipe. Par contre je connais le football russe qui est fait de beaucoup de technique, de vitesse. Les équipes Russes ont souvent eu de jeunes joueurs très mûrs. Ce sont des joueurs très disciplinés. C’est important à ce stade de la compétition.
C’est mieux de jouer à domicile ?
Pour moi c’est du 50, 50. Il y a deux matchs à faire plein pot, il faut avoir 150% de concentration parce que la moindre erreur on la paye cash. Il ne faut pas se relâcher. On a pu voir l’exemple du gardien allemand hier. J’ai une pensée pour lui. Je sais ce que c’est. C’est terrible ce qui lui est arrivé. C’est pour ça qu’il faut rester concentré jusqu’à la 94ème minute du match retour si besoin.
Vous auriez aimé rencontrer une équipe plus huppée ?
A ce stade de la compétition vous jouez pour un ¼ de finale de l’UEFA quelle que soit l’équipe que vous avez en face, il faut rester professionnel. Les affiches c’est beau mais le principal c’est de passer.
Vous avez la pression après le match des jeunes dimanche ?
Non. Ce n’est pas de la pression ; Ca fait partie de notre vie de footballeur. Je vais faire bref, ce qui s’est passé dimanche, c’est du passé. L’avenir c’est demain soir. L’avenir du club des joueurs, du public, de tout le monde va se jouer demain soir. Après on pensera à dimanche. Ce qui s’est passé on oublie. On met de côté
Une jeune fille Russe vous a offert un jouet. Que devient ce jouet ?
Barthez ouvre de grands yeux. Visiblement il est gêné.
Il devient ce qu’il devient.
Les jeunes femmes Russes vous aiment beaucoup. Vous le savez ?
Merci. C’est toujours agréable à attendre.
Un petit mot pour les femmes Russes ?
Ca n’a rien à voir avec le football ça… On va parler de l’UEFA à la veille de ce match.
Vous l’avez toujours le jouet ? Insiste le Russe
Oui oui il est toujours présent.
Le fait de ne pas avoir joué dimanche vous avez bien récupéré ?
Quand on joue tous les trois jours on dit qu’on est fatigué, quand on reste quinze jours sans jouer on dit qu’on manque de rythme. On travaille, on s’adapte. On a fait de grosses séances ce week-end pour pouvoir jouer demain soir.
Pour Marseille vous préférez jouer contre Zénit ou Rosenborg ?
C’est pareil.
Lors de la dernière finale de coupe d’Europe vous avez été expulsé, vous avez plus d’envie d’en remporter une cette saison ?
Ca n’a rien à voir avec ce qui s’est passé lors de la dernière finale. Il y a un nouvel effectif, on est une bande de potes qui avons envie d’aller au bout. On va prendre les matchs les uns après les autres, ça commence demain. Mais on a envie de connaître une finale toutes les années. Mais il n’y a aucun esprit de revanche ou autre. C’est notre métier, on est des professionnels, des compétiteurs, on veut quelque part tout gagner. On sait que ce n’est pas possible mais il faut avoir cet objectif quelque part.
Quand avez-vous entendu parler du Zénit pour la première fois ?
Je ne sais pas du tout.
Un joueur Russe vous a marqué un but lorsque vous gardiez les buts de l’équipe de France en 99 à Paris vous vous souvenez ?
Non. (Il éclate de rire)
Que connaissez vous de cette équipe ?
Je ne connais pas grand-chose de cette équipe. Par contre je connais le football russe qui est fait de beaucoup de technique, de vitesse. Les équipes Russes ont souvent eu de jeunes joueurs très mûrs. Ce sont des joueurs très disciplinés. C’est important à ce stade de la compétition.
C’est mieux de jouer à domicile ?
Pour moi c’est du 50, 50. Il y a deux matchs à faire plein pot, il faut avoir 150% de concentration parce que la moindre erreur on la paye cash. Il ne faut pas se relâcher. On a pu voir l’exemple du gardien allemand hier. J’ai une pensée pour lui. Je sais ce que c’est. C’est terrible ce qui lui est arrivé. C’est pour ça qu’il faut rester concentré jusqu’à la 94ème minute du match retour si besoin.
Vous auriez aimé rencontrer une équipe plus huppée ?
A ce stade de la compétition vous jouez pour un ¼ de finale de l’UEFA quelle que soit l’équipe que vous avez en face, il faut rester professionnel. Les affiches c’est beau mais le principal c’est de passer.
Vous avez la pression après le match des jeunes dimanche ?
Non. Ce n’est pas de la pression ; Ca fait partie de notre vie de footballeur. Je vais faire bref, ce qui s’est passé dimanche, c’est du passé. L’avenir c’est demain soir. L’avenir du club des joueurs, du public, de tout le monde va se jouer demain soir. Après on pensera à dimanche. Ce qui s’est passé on oublie. On met de côté
Une jeune fille Russe vous a offert un jouet. Que devient ce jouet ?
Barthez ouvre de grands yeux. Visiblement il est gêné.
Il devient ce qu’il devient.
Les jeunes femmes Russes vous aiment beaucoup. Vous le savez ?
Merci. C’est toujours agréable à attendre.
Un petit mot pour les femmes Russes ?
Ca n’a rien à voir avec le football ça… On va parler de l’UEFA à la veille de ce match.
Vous l’avez toujours le jouet ? Insiste le Russe
Oui oui il est toujours présent.
Le fait de ne pas avoir joué dimanche vous avez bien récupéré ?
Quand on joue tous les trois jours on dit qu’on est fatigué, quand on reste quinze jours sans jouer on dit qu’on manque de rythme. On travaille, on s’adapte. On a fait de grosses séances ce week-end pour pouvoir jouer demain soir.
Pour Marseille vous préférez jouer contre Zénit ou Rosenborg ?
C’est pareil.
Lors de la dernière finale de coupe d’Europe vous avez été expulsé, vous avez plus d’envie d’en remporter une cette saison ?
Ca n’a rien à voir avec ce qui s’est passé lors de la dernière finale. Il y a un nouvel effectif, on est une bande de potes qui avons envie d’aller au bout. On va prendre les matchs les uns après les autres, ça commence demain. Mais on a envie de connaître une finale toutes les années. Mais il n’y a aucun esprit de revanche ou autre. C’est notre métier, on est des professionnels, des compétiteurs, on veut quelque part tout gagner. On sait que ce n’est pas possible mais il faut avoir cet objectif quelque part.
Quand avez-vous entendu parler du Zénit pour la première fois ?
Je ne sais pas du tout.
Un joueur Russe vous a marqué un but lorsque vous gardiez les buts de l’équipe de France en 99 à Paris vous vous souvenez ?
Non. (Il éclate de rire)
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