25-05-2005, 08:54
Quel est votre état d’esprit avant ce match ?
C’est le dernier match de la saison et on sait qu’il nous faut impérativement la victoire. Je pense qu’avec la victoire, on va se qualifier. Je ne vois pas Rennes gagner à Paris. Même si c’est le rival, j’espère qu’ils auront assez d’intelligence et de qualité pour faire le match qu’il faut. Après, si Rennes est au-dessus, on ne s’en prendra qu’à nous. On aurait dû faire la chose plus tôt. Pensons à nous, gagnons ce match et on verra.
Lyon pèse dans les têtes?
Je ne sais pas, c’est particulier, même si on avait fait match nul, on serait derrière Rennes. Il fallait absolument gagner!
Le match de Lyon est oublié, ça nous embête par rapport aux supporteurs, ils attendaient une victoire sur le dernier match. Nous aussi on est déçus, mais il faut relever la tête parce qu’on a une chose importante à jouer dans le dernier match.
Après la défaite contre Lyon, que pouvez-vous faire pour que ça marche à Bordeaux ?
Bordeaux et une équipe différente de celle de Lyon. Lyon est un cran au-dessus de toutes les autres équipes au niveau français. Autant individuellement que collectivement. C’est l’exemple à suivre pour Marseille. Ils ont commencé par l’UEFA, ils ont gardé une grosse ossature, ils ont pris chaque année deux ou trois joueurs pour renforcer et je pense que c’est ce côté-là que l’OM doit suivre pour pouvoir remporter quelque chose dans les années à venir.
Votre jeu peut changer ?
Je ne sais pas. A Auxerre, on a montré un visage pas mal dans le jeu, dans l’agressivité, il nous a manqué un petit plus offensivement, il faut essayer de rééditer ce genre de match avec un point offensif un peu plus important et ne rien lâcher. Ils ne sont pas en confiance, ils vont jouer leur maintien, on sait que le public là-bas est à cran aussi. A nous de ne pas les laisser relever la tête, il faut les presser dès le début, les faire douter et on sait que c’est que comme ça qu’on gagnera le match.
Ça fait 27 ans que l’OM n’a plus gagné en Gironde...
C’est bien, c’est un beau défi pour nous. On n’a pas peur de relever les défis. On sait qu’on n'a que ce match. C’est soit on gagne ce match et on fait l’UEFA, ou on est obligé d’en disputer 4 ou 6 pour se qualifier pour l’Intertoto. A partir de là il faut mettre tout en oeuvre pour gagner ce match.
Vous pouviez imaginer un tel final ?
Ça a été difficile. On a eu un début difficile, après on est bien revenu et on a eu une nouvelle mauvaise passe. On a été vraiment irrégulier cette année. Il reste ce match pour pouvoir se qualifier. À nous de bien gérer et de pouvoir le gagner.
Une qualification en UEFA peut remettre beaucoup de chose en question pour l’avenir de certains joueurs ?
Je ne sais pas. Mon avenir ne va pas se jouer par rapport à l’UEFA. On a l’Intertoto. C’est une bonne chose que le club veuille la jouer parce que quand on voit Lille c’est toujours intéressant de jouer l’Intertoto par rapport à une saison et de pouvoir jouer l’UEFA. Ce qui nous intéresse tous aujourd’hui, c’est de savoir le plus vite possible quel va être l’entraîneur, quels vont être les contours de l’équipe, quelle va être la direction... C’est de ça dont s’inquiètent les joueurs plutôt que de l’UEFA.
Tout ce qui se passe autour du club a touché le groupe cette saison ?
L’entraîneur c’est la personne la plus importante. C’est la personne qui est au quotidien avec nous, pour moi c’est la personne la plus importante. Directeur sportif, président, personnellement ça ne m’intéresse pas plus que ça
Troussier vous a fait des confidences sur son avenir ?
Il ne m’a rien dit. Bien sûr il y a un contrat mais il l’a dit dès le départ, il était venu pour finir la saison et après il y aura des discussions. On est au même point que vous, on ne sait rien, c’est ça qui est préoccupant.
Des tribunes, vous avez trouvé un mieux face à Lyon ?
Ça ne sert à rien de parler de ce match, il est fini. Il ne faut pas se prendre la tête. Même l’année prochaine, tous les clubs vont lutter pour la deuxième place. Ils ont l’air tellement en avance au niveau de l’équipe de la gestion, de tout ça qu’on se demande qui va pouvoir les déloger dans les années à venir.
L’OM a souvent gâché les matchs décisifs. A Bordeaux c’est un match décisif...
C’est clair qu’on a jamais bien négocié les tournants. Il va falloir faire preuve de maturité, d’expérience pour bien gérer ce match et pour ne pas faire n’importe quoi. On a le temps, on a 90 minutes, tout simplement. Personne ne nous attend, c’est un défi à relever sur ce match, on en a conscience. On a envie de le faire, on sait qu’on a de la qualité dans le groupe et on a tous envie de décrocher l’UEFA, on va à Lyon pour le faire.
Vous ne pensez pas que Paris peut donner le match à Rennes ?
Non, je n’y crois pas. C’est une bêtise. Jouer un match pour laisser gagner l’adversaire ! Tu restes chez toi et tu te regardes dans la glace. On connaît des joueurs à Paris, ils ne sont pas dans cet état d’esprit-là et ça m’étonnerait qu’ils laissent gagner Rennes. Maintenant si Rennes mérite sa victoire, il n’y a pas de souci. Mais déjà à nous de gagner et même si Paris laisse gagner Rennes, on ne doit s’en prendre qu’à nous-même. On a assez eu les cartes en main pour ne pas être supporteur de Paris. Ils vont faire un match, on va gagner le nôtre, après on verra bien.
Il vous faut encore du temps pour vous adapter à Marseille ?
Depuis Noël ça c’est bien adapté et ça se passe très bien. Vous savez pour bien intégrer des joueurs, il faut qu’on groupe soit déjà là, solide. Quand il y a trois ou quatre personnes à intégrer c’est très facile. Cette année, on est arrivé à 8 ou 9, il en restait cinq ou six de l’année dernière. C’est difficile pour encadrer. Si on garde la même ossature et qu’il y a trois ou quatre renforts, c’est plus facile pour les aspirer dans l’équipe. On aura déjà un style, après à eux de se fondre dans le moule. Là on attendait beaucoup de nous, on pensait que nous on allait faire l’équipe et les joueurs de l’année dernière la compléter. C’est le raisonnement inverse qu’il faut avoir.
Vous avez eu du mal à vous adapter parce que vous avez manqué de guide ?
Non, pas manqué de guide, mais au départ on avait quelque chose de défini avec José la caution Marseillaise. On savait comment il jouait l’année dernière. On était parti pour jouer pareil avec un libéro et deux stoppeurs. Après avec les arrivées qu’il y a eu, on a changé. On a joué en 4-4-2 et là on était un peu perturbé par rapport à ça. Il a fallu tous se remettre en question. Les milieux et les attaquants, c’étaient que des nouveaux joueurs. On sait que dans le foot le plus difficile c’est de marquer des buts. On a besoin d’automatismes, de temps, et c’est sûr que c’était dur. Là si tu as un attaquant qui vient, un milieu alors que tu as déjà de grosses bases de cette année, ça sera plus facile.
Les joueurs ont toujours envie de venir à Marseille ?
Tous les joueurs ont envie de venir à Marseille. C’est un grand club. Simplement il faut garder l’ossature. Il ne faut pas tout bouleverser. Après les dirigeants sont là pour faire des choix d’hommes, de postes qu’ils pensent qu’il faut améliorer, on leur fait confiance. L’important, c’est d’avoir ces joueurs au plus tôt, d’avoir l’entraîneur au plus tôt pour pouvoir travailler tous ensemble pour être prêts dès la première journée.
Ce n’est pas risqué de garder cette ossature après ces résultats ?
Je n’ai pas envie de vous répondre.
Vous attendiez Rennes à ce niveau ?
Au mois d’août, lorsqu’on a joué le match amical contre eux, on a trouvé une équipe de grande qualité, qui avait de bons joueurs, qui s’était peu renouvelée, ils ont bien marché, ils ont vraiment un beau jeu, je pensais à eux au mois d’août mais pas lorsqu’on les a joués au Vélodrome. On avait été largement au-dessus d’eux, mais leur parcours à domicile a été assez impressionnant et je pense qu’ils font cette saison grâce à ce parcours-là.
Frei ?
C’est le renard des surfaces, c’est le Trézeguet en Suisse. Non, David a un sens du but plus aiguisé, mais ces deux joueurs se ressemblent. Ils sont toujours là dans la surface, dès qu’un ballon traîne, ils sont là pour le mettre au fond. C’est un sacré bon joueur, mais il y a aussi Monterrubio, Sorlin, Maoulida qui sont là pour faire des passes décisives. Il le dit, pour un buteur le plus important c’est d’avoir les ballons et il a la chance d’en avoir. Il se régale et ils ont un bon état d’esprit.
Vous vous placez dans la durée à l’OM ?
Je ne suis pas venu là pour faire un an et partir. J’étais là pour un minimum de deux ans, j’avais dit, je voulais qualifier l’équipe pour la Ligue des Champions. Malheureusement c’est pas fait, mais j’ai très envie d’être là. Il y a un outil fantastique pour travailler, il y a tout ici à la Commanderie maintenant. C’est super, on a un grand club au niveau des infrastructures, du Vélodrome, on joue tous les week-ends devant 60.000 personnes. Il faut faire une équipe et voilà. Il faut se lier derrière un même projet, qu’on soit tous ensemble, tout un club derrière l’équipe, qu’on sente vraiment tout le monde derrière nous, les dirigeants, le staff, l’entraîneur et les joueurs vers le même objectif et ça se passera très bien. Il faut nous laisser un peu de temps et même si cette année a été moyenne, j’espère que l’année prochaine on partira à fond avec des joueurs très motivés et un encadrement qui est là pour réussir.
Georges Profond pour opiOM
C’est le dernier match de la saison et on sait qu’il nous faut impérativement la victoire. Je pense qu’avec la victoire, on va se qualifier. Je ne vois pas Rennes gagner à Paris. Même si c’est le rival, j’espère qu’ils auront assez d’intelligence et de qualité pour faire le match qu’il faut. Après, si Rennes est au-dessus, on ne s’en prendra qu’à nous. On aurait dû faire la chose plus tôt. Pensons à nous, gagnons ce match et on verra.
Lyon pèse dans les têtes?
Je ne sais pas, c’est particulier, même si on avait fait match nul, on serait derrière Rennes. Il fallait absolument gagner!
Le match de Lyon est oublié, ça nous embête par rapport aux supporteurs, ils attendaient une victoire sur le dernier match. Nous aussi on est déçus, mais il faut relever la tête parce qu’on a une chose importante à jouer dans le dernier match.
Après la défaite contre Lyon, que pouvez-vous faire pour que ça marche à Bordeaux ?
Bordeaux et une équipe différente de celle de Lyon. Lyon est un cran au-dessus de toutes les autres équipes au niveau français. Autant individuellement que collectivement. C’est l’exemple à suivre pour Marseille. Ils ont commencé par l’UEFA, ils ont gardé une grosse ossature, ils ont pris chaque année deux ou trois joueurs pour renforcer et je pense que c’est ce côté-là que l’OM doit suivre pour pouvoir remporter quelque chose dans les années à venir.
Votre jeu peut changer ?
Je ne sais pas. A Auxerre, on a montré un visage pas mal dans le jeu, dans l’agressivité, il nous a manqué un petit plus offensivement, il faut essayer de rééditer ce genre de match avec un point offensif un peu plus important et ne rien lâcher. Ils ne sont pas en confiance, ils vont jouer leur maintien, on sait que le public là-bas est à cran aussi. A nous de ne pas les laisser relever la tête, il faut les presser dès le début, les faire douter et on sait que c’est que comme ça qu’on gagnera le match.
Ça fait 27 ans que l’OM n’a plus gagné en Gironde...
C’est bien, c’est un beau défi pour nous. On n’a pas peur de relever les défis. On sait qu’on n'a que ce match. C’est soit on gagne ce match et on fait l’UEFA, ou on est obligé d’en disputer 4 ou 6 pour se qualifier pour l’Intertoto. A partir de là il faut mettre tout en oeuvre pour gagner ce match.
Vous pouviez imaginer un tel final ?
Ça a été difficile. On a eu un début difficile, après on est bien revenu et on a eu une nouvelle mauvaise passe. On a été vraiment irrégulier cette année. Il reste ce match pour pouvoir se qualifier. À nous de bien gérer et de pouvoir le gagner.
Une qualification en UEFA peut remettre beaucoup de chose en question pour l’avenir de certains joueurs ?
Je ne sais pas. Mon avenir ne va pas se jouer par rapport à l’UEFA. On a l’Intertoto. C’est une bonne chose que le club veuille la jouer parce que quand on voit Lille c’est toujours intéressant de jouer l’Intertoto par rapport à une saison et de pouvoir jouer l’UEFA. Ce qui nous intéresse tous aujourd’hui, c’est de savoir le plus vite possible quel va être l’entraîneur, quels vont être les contours de l’équipe, quelle va être la direction... C’est de ça dont s’inquiètent les joueurs plutôt que de l’UEFA.
Tout ce qui se passe autour du club a touché le groupe cette saison ?
L’entraîneur c’est la personne la plus importante. C’est la personne qui est au quotidien avec nous, pour moi c’est la personne la plus importante. Directeur sportif, président, personnellement ça ne m’intéresse pas plus que ça
Troussier vous a fait des confidences sur son avenir ?
Il ne m’a rien dit. Bien sûr il y a un contrat mais il l’a dit dès le départ, il était venu pour finir la saison et après il y aura des discussions. On est au même point que vous, on ne sait rien, c’est ça qui est préoccupant.
Des tribunes, vous avez trouvé un mieux face à Lyon ?
Ça ne sert à rien de parler de ce match, il est fini. Il ne faut pas se prendre la tête. Même l’année prochaine, tous les clubs vont lutter pour la deuxième place. Ils ont l’air tellement en avance au niveau de l’équipe de la gestion, de tout ça qu’on se demande qui va pouvoir les déloger dans les années à venir.
L’OM a souvent gâché les matchs décisifs. A Bordeaux c’est un match décisif...
C’est clair qu’on a jamais bien négocié les tournants. Il va falloir faire preuve de maturité, d’expérience pour bien gérer ce match et pour ne pas faire n’importe quoi. On a le temps, on a 90 minutes, tout simplement. Personne ne nous attend, c’est un défi à relever sur ce match, on en a conscience. On a envie de le faire, on sait qu’on a de la qualité dans le groupe et on a tous envie de décrocher l’UEFA, on va à Lyon pour le faire.
Vous ne pensez pas que Paris peut donner le match à Rennes ?
Non, je n’y crois pas. C’est une bêtise. Jouer un match pour laisser gagner l’adversaire ! Tu restes chez toi et tu te regardes dans la glace. On connaît des joueurs à Paris, ils ne sont pas dans cet état d’esprit-là et ça m’étonnerait qu’ils laissent gagner Rennes. Maintenant si Rennes mérite sa victoire, il n’y a pas de souci. Mais déjà à nous de gagner et même si Paris laisse gagner Rennes, on ne doit s’en prendre qu’à nous-même. On a assez eu les cartes en main pour ne pas être supporteur de Paris. Ils vont faire un match, on va gagner le nôtre, après on verra bien.
Il vous faut encore du temps pour vous adapter à Marseille ?
Depuis Noël ça c’est bien adapté et ça se passe très bien. Vous savez pour bien intégrer des joueurs, il faut qu’on groupe soit déjà là, solide. Quand il y a trois ou quatre personnes à intégrer c’est très facile. Cette année, on est arrivé à 8 ou 9, il en restait cinq ou six de l’année dernière. C’est difficile pour encadrer. Si on garde la même ossature et qu’il y a trois ou quatre renforts, c’est plus facile pour les aspirer dans l’équipe. On aura déjà un style, après à eux de se fondre dans le moule. Là on attendait beaucoup de nous, on pensait que nous on allait faire l’équipe et les joueurs de l’année dernière la compléter. C’est le raisonnement inverse qu’il faut avoir.
Vous avez eu du mal à vous adapter parce que vous avez manqué de guide ?
Non, pas manqué de guide, mais au départ on avait quelque chose de défini avec José la caution Marseillaise. On savait comment il jouait l’année dernière. On était parti pour jouer pareil avec un libéro et deux stoppeurs. Après avec les arrivées qu’il y a eu, on a changé. On a joué en 4-4-2 et là on était un peu perturbé par rapport à ça. Il a fallu tous se remettre en question. Les milieux et les attaquants, c’étaient que des nouveaux joueurs. On sait que dans le foot le plus difficile c’est de marquer des buts. On a besoin d’automatismes, de temps, et c’est sûr que c’était dur. Là si tu as un attaquant qui vient, un milieu alors que tu as déjà de grosses bases de cette année, ça sera plus facile.
Les joueurs ont toujours envie de venir à Marseille ?
Tous les joueurs ont envie de venir à Marseille. C’est un grand club. Simplement il faut garder l’ossature. Il ne faut pas tout bouleverser. Après les dirigeants sont là pour faire des choix d’hommes, de postes qu’ils pensent qu’il faut améliorer, on leur fait confiance. L’important, c’est d’avoir ces joueurs au plus tôt, d’avoir l’entraîneur au plus tôt pour pouvoir travailler tous ensemble pour être prêts dès la première journée.
Ce n’est pas risqué de garder cette ossature après ces résultats ?
Je n’ai pas envie de vous répondre.
Vous attendiez Rennes à ce niveau ?
Au mois d’août, lorsqu’on a joué le match amical contre eux, on a trouvé une équipe de grande qualité, qui avait de bons joueurs, qui s’était peu renouvelée, ils ont bien marché, ils ont vraiment un beau jeu, je pensais à eux au mois d’août mais pas lorsqu’on les a joués au Vélodrome. On avait été largement au-dessus d’eux, mais leur parcours à domicile a été assez impressionnant et je pense qu’ils font cette saison grâce à ce parcours-là.
Frei ?
C’est le renard des surfaces, c’est le Trézeguet en Suisse. Non, David a un sens du but plus aiguisé, mais ces deux joueurs se ressemblent. Ils sont toujours là dans la surface, dès qu’un ballon traîne, ils sont là pour le mettre au fond. C’est un sacré bon joueur, mais il y a aussi Monterrubio, Sorlin, Maoulida qui sont là pour faire des passes décisives. Il le dit, pour un buteur le plus important c’est d’avoir les ballons et il a la chance d’en avoir. Il se régale et ils ont un bon état d’esprit.
Vous vous placez dans la durée à l’OM ?
Je ne suis pas venu là pour faire un an et partir. J’étais là pour un minimum de deux ans, j’avais dit, je voulais qualifier l’équipe pour la Ligue des Champions. Malheureusement c’est pas fait, mais j’ai très envie d’être là. Il y a un outil fantastique pour travailler, il y a tout ici à la Commanderie maintenant. C’est super, on a un grand club au niveau des infrastructures, du Vélodrome, on joue tous les week-ends devant 60.000 personnes. Il faut faire une équipe et voilà. Il faut se lier derrière un même projet, qu’on soit tous ensemble, tout un club derrière l’équipe, qu’on sente vraiment tout le monde derrière nous, les dirigeants, le staff, l’entraîneur et les joueurs vers le même objectif et ça se passera très bien. Il faut nous laisser un peu de temps et même si cette année a été moyenne, j’espère que l’année prochaine on partira à fond avec des joueurs très motivés et un encadrement qui est là pour réussir.
Georges Profond pour opiOM
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