N’Diaye : « Aller de l’avant et prendre des risques »
28-04-2005, 15:53
Le match de Nantes a fait mal dans les têtes même s’il n’y a pas eu défaite ?
Oui et non parce que c’est vrai qu’on est allé à Nantes pour essayer de ramener le maximum de points possible, donc on y allait pour gagner. On a montré des ressources que, je pense, peu de gens nous prêtaient sur les dernières rencontres. Même si on ne peut pas se satisfaire de ça, quelque part c’est quand même encourageant de voir la deuxième mi-temps qu’on est capable de produire.
Vous pensez pouvoir garder le même état d’esprit ?
Oui. Il faudrait essayer de garder le même état d’esprit, la même envie d’aller vers l’avant qu’en deuxième mi-temps. Là il y a une cassure de 15 jours, on va essayer de profiter du match de Montpellier, même si les matchs amicaux ne sont jamais très faciles.
L’avenir du club n’est plus entre vos mains ?
C’est certainement ça le plus embêtant. On ne peut s’en prendre qu’à nous-mêmes. C’est un peu de notre faute. On a eu une succession de mauvaises performances, de mauvais résultats. Aujourd’hui on n’a plus notre avenir entre nos mains. Il faut qu’on n’ait rien à se reprocher sur ces quatre derniers matchs. Il faut accrocher le maximum de points.
Pour des joueurs comme vous cette fin de championnat peut être importante pour l’avenir à l’OM ?
Je ne sais pas si ça peut influer sur notre présence, ou ma présence dans le groupe l’année prochaine. Moi ce qui m’importe c’est de finir la saison du mieux possible et de faire en sorte que l’équipe se qualifie pour la Champions League. Après on me gardera ou on ne gardera pas ? Je ne sais pas. C’est un autre problème.
Ce qui se dit autour de l’équipe, ça vous perturbe ?
Je ne sais pas ce qui se dit autour de l’équipe. Le seul truc qui nous touche un peu, c’est l’affaire qui concerne Fabien. Je ne sais pas ce que donne le dernier rebondissement, c’est le seul truc qui peut nous toucher mais finalement ce n’est pas extra sportif puisqu’on va perdre notre gardien pour un certain temps et ça c’est peut-être la seule affaire qui puisse nous perturber. Il fait partie des cadres de l’équipe, c’est un très bon gardien et même si derrière il y a en d’autres qui sont très bons aussi, c’est toujours embêtant
Vous ne lisez pas les journaux pour ignorer ce qu’il se dit ?
Non pas du tout. Désolé !
Les quatre matchs qui arrivent sont très importants alors ?
Il faudra tout faire pour les gagner. Est-ce qu’on va les gagner ? Je ne sais pas, mais il faudra faire le maximum et attendre un faux pas des équipes qui nous devancent.
Le prochain adversaire c’est Caen. Il vous faut faire un bon résultat ?
Nous n’avons plus le droit de faire un faux pas. Tout le monde le sait. On ne cesse de le répéter. Il faut gagner contre Caen. On sait que cette équipe se bat pour son maintien. On sait à quel point ces équipes là sont difficiles à jouer. Il faudra qu’on s’en méfie. Il faut qu’on fasse un match à l’image de la deuxième mi-temps de Nantes. C’est-à-dire aller de l’avant et prendre des risques.
Cette deuxième mi-temps de Nantes a été le déclic ?
On est dans un équilibre un peu instable. On a toujours dit qu’on avait trouvé le déclic et chaque fois on constate qu’on ne l’a pas vraiment. Est-ce qu’on l’a après la deuxième mi-temps de Nantes ? Peut-être. Si ça nous redonne confiance, c’est bien.
Oui et non parce que c’est vrai qu’on est allé à Nantes pour essayer de ramener le maximum de points possible, donc on y allait pour gagner. On a montré des ressources que, je pense, peu de gens nous prêtaient sur les dernières rencontres. Même si on ne peut pas se satisfaire de ça, quelque part c’est quand même encourageant de voir la deuxième mi-temps qu’on est capable de produire.
Vous pensez pouvoir garder le même état d’esprit ?
Oui. Il faudrait essayer de garder le même état d’esprit, la même envie d’aller vers l’avant qu’en deuxième mi-temps. Là il y a une cassure de 15 jours, on va essayer de profiter du match de Montpellier, même si les matchs amicaux ne sont jamais très faciles.
L’avenir du club n’est plus entre vos mains ?
C’est certainement ça le plus embêtant. On ne peut s’en prendre qu’à nous-mêmes. C’est un peu de notre faute. On a eu une succession de mauvaises performances, de mauvais résultats. Aujourd’hui on n’a plus notre avenir entre nos mains. Il faut qu’on n’ait rien à se reprocher sur ces quatre derniers matchs. Il faut accrocher le maximum de points.
Pour des joueurs comme vous cette fin de championnat peut être importante pour l’avenir à l’OM ?
Je ne sais pas si ça peut influer sur notre présence, ou ma présence dans le groupe l’année prochaine. Moi ce qui m’importe c’est de finir la saison du mieux possible et de faire en sorte que l’équipe se qualifie pour la Champions League. Après on me gardera ou on ne gardera pas ? Je ne sais pas. C’est un autre problème.
Ce qui se dit autour de l’équipe, ça vous perturbe ?
Je ne sais pas ce qui se dit autour de l’équipe. Le seul truc qui nous touche un peu, c’est l’affaire qui concerne Fabien. Je ne sais pas ce que donne le dernier rebondissement, c’est le seul truc qui peut nous toucher mais finalement ce n’est pas extra sportif puisqu’on va perdre notre gardien pour un certain temps et ça c’est peut-être la seule affaire qui puisse nous perturber. Il fait partie des cadres de l’équipe, c’est un très bon gardien et même si derrière il y a en d’autres qui sont très bons aussi, c’est toujours embêtant
Vous ne lisez pas les journaux pour ignorer ce qu’il se dit ?
Non pas du tout. Désolé !
Les quatre matchs qui arrivent sont très importants alors ?
Il faudra tout faire pour les gagner. Est-ce qu’on va les gagner ? Je ne sais pas, mais il faudra faire le maximum et attendre un faux pas des équipes qui nous devancent.
Le prochain adversaire c’est Caen. Il vous faut faire un bon résultat ?
Nous n’avons plus le droit de faire un faux pas. Tout le monde le sait. On ne cesse de le répéter. Il faut gagner contre Caen. On sait que cette équipe se bat pour son maintien. On sait à quel point ces équipes là sont difficiles à jouer. Il faudra qu’on s’en méfie. Il faut qu’on fasse un match à l’image de la deuxième mi-temps de Nantes. C’est-à-dire aller de l’avant et prendre des risques.
Cette deuxième mi-temps de Nantes a été le déclic ?
On est dans un équilibre un peu instable. On a toujours dit qu’on avait trouvé le déclic et chaque fois on constate qu’on ne l’a pas vraiment. Est-ce qu’on l’a après la deuxième mi-temps de Nantes ? Peut-être. Si ça nous redonne confiance, c’est bien.
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