Ferreira: « On n’a pas le choix, il faut gagner »
06-04-2005, 16:19
Strasbourg est un match important pour rester dans l’objectif. Dans quel état d’esprit abordez vous cette rencontre ?
On a un bon état d’esprit parce qu’on sait que c’est un match important. Sachant qu’on est deuxième ex æquo avec Lille il faudra prendre le maximum de points. On doit prendre au moins 8 points dans les quatre prochaines rencontres. Donc il faut gagner et en prendre 9. Il va falloir être costaud dans la tête.
Strasbourg est en confiance ?
C’est une bonne équipe. On sait qu’ils ont de bons attaquants. On sait que toutes les équipes sont à 100% contre Marseille, donc à nous de montrer notre bon visage pour essayer de gagner ce match. On n’a pas le choix, il faut gagner.
La ligue des Champions devient l’objectif. Vous y pensez ?
(Marlet essaie de le perturber mais Ferreira reste sérieux)
C’était déjà l’objectif en début de saison. Maintenant on s’approche de la fin. On sait que ça va être difficile. Il faudra lutter jusqu’à la fin. On sait qu’on a les qualités, les moyens pour y arriver. Il n’y a rien de mieux que de jouer la Ligue des champions. Maintenant c’est à nous de faire en sorte d’y arriver et de gagner. On doit bien jouer à Marseille et en dehors mais on a largement les moyens de garder la deuxième place.
Derrière Lille revient fort ?
Ca va être très difficile. Tous les matchs deviennent importants. Auxerre est aussi un concurrent direct. Rien ne sera facile.
Les résultats sont moins bons, le groupe peut se relancer ?
C’est vrai que les résultats ne sont pas au top en ce moment. On est moins bien dans le jeu, mais je pense qu’il y a assez d’expérience et de qualité dans le groupe pour refaire de bons matchs, comme on l’a déjà fait cette saison.
Aujourd’hui vous revenez au score. Comment expliquez vous cette possibilité de trouver les ressources nécessaires pour le faire ?
En sachant qu’on joue à l’OM, qu’on joue la deuxième place, la motivation vient automatiquement. C’est vrai que c’est dur. On dépense beaucoup d’énergie lorsqu’on est mené au score. On va essayer de parler cette semaine pour ne pas prendre de buts. Il reste 7 matchs importants. Même si tu joues contre le dernier, c’est comme si tu jouais le premier. Tous les matchs sont serrés.
Pourquoi vous êtes moins bien ?
C’est difficile à expliquer. On développe moins de jeu. Les occasions sont rares. Contre Paris on n’a pas eu beaucoup, beaucoup d’occasions. Surtout au Vélodrome, on doit faire plus. Peut-être qu’on a un peu lâché lorsqu’on a eu cette deuxième place. Aujourd’hui on a eu une réunion avec le coach. Il nous a parlé de ça. Il a dit de ne pas lâcher parce qu’il reste 7 matchs et que tous les matchs seront difficiles.
Il y a la pression d’être deuxième ?
A Marseille il y a tous les jours la pression. On en a parlé. Il faut gagner les prochains matchs mais ne pas se mettre la pression sinon on arrive plus à jouer. On doit faire le jeu parce que c’est ça qui a fait la différence. Lorsqu’on développait le jeu, on avait des occasions. Il va falloir être costaud.
Vous avez joué contre Paris. On compte sur vous pour les matchs importants. C’est bon pour le moral ça ?
J’ai eu une blessure qui m’a beaucoup gêné. Le terrain me manquait et revenir dans un match comme celui-là, c’est bien. Je suis resté trois ou quatre semaines sans jouer et je pense que ma prestation contre Paris n’a pas été mal. C’est de bon augure j’espère pour faire encore des matchs importants.
On a un bon état d’esprit parce qu’on sait que c’est un match important. Sachant qu’on est deuxième ex æquo avec Lille il faudra prendre le maximum de points. On doit prendre au moins 8 points dans les quatre prochaines rencontres. Donc il faut gagner et en prendre 9. Il va falloir être costaud dans la tête.
Strasbourg est en confiance ?
C’est une bonne équipe. On sait qu’ils ont de bons attaquants. On sait que toutes les équipes sont à 100% contre Marseille, donc à nous de montrer notre bon visage pour essayer de gagner ce match. On n’a pas le choix, il faut gagner.
La ligue des Champions devient l’objectif. Vous y pensez ?
(Marlet essaie de le perturber mais Ferreira reste sérieux)
C’était déjà l’objectif en début de saison. Maintenant on s’approche de la fin. On sait que ça va être difficile. Il faudra lutter jusqu’à la fin. On sait qu’on a les qualités, les moyens pour y arriver. Il n’y a rien de mieux que de jouer la Ligue des champions. Maintenant c’est à nous de faire en sorte d’y arriver et de gagner. On doit bien jouer à Marseille et en dehors mais on a largement les moyens de garder la deuxième place.
Derrière Lille revient fort ?
Ca va être très difficile. Tous les matchs deviennent importants. Auxerre est aussi un concurrent direct. Rien ne sera facile.
Les résultats sont moins bons, le groupe peut se relancer ?
C’est vrai que les résultats ne sont pas au top en ce moment. On est moins bien dans le jeu, mais je pense qu’il y a assez d’expérience et de qualité dans le groupe pour refaire de bons matchs, comme on l’a déjà fait cette saison.
Aujourd’hui vous revenez au score. Comment expliquez vous cette possibilité de trouver les ressources nécessaires pour le faire ?
En sachant qu’on joue à l’OM, qu’on joue la deuxième place, la motivation vient automatiquement. C’est vrai que c’est dur. On dépense beaucoup d’énergie lorsqu’on est mené au score. On va essayer de parler cette semaine pour ne pas prendre de buts. Il reste 7 matchs importants. Même si tu joues contre le dernier, c’est comme si tu jouais le premier. Tous les matchs sont serrés.
Pourquoi vous êtes moins bien ?
C’est difficile à expliquer. On développe moins de jeu. Les occasions sont rares. Contre Paris on n’a pas eu beaucoup, beaucoup d’occasions. Surtout au Vélodrome, on doit faire plus. Peut-être qu’on a un peu lâché lorsqu’on a eu cette deuxième place. Aujourd’hui on a eu une réunion avec le coach. Il nous a parlé de ça. Il a dit de ne pas lâcher parce qu’il reste 7 matchs et que tous les matchs seront difficiles.
Il y a la pression d’être deuxième ?
A Marseille il y a tous les jours la pression. On en a parlé. Il faut gagner les prochains matchs mais ne pas se mettre la pression sinon on arrive plus à jouer. On doit faire le jeu parce que c’est ça qui a fait la différence. Lorsqu’on développait le jeu, on avait des occasions. Il va falloir être costaud.
Vous avez joué contre Paris. On compte sur vous pour les matchs importants. C’est bon pour le moral ça ?
J’ai eu une blessure qui m’a beaucoup gêné. Le terrain me manquait et revenir dans un match comme celui-là, c’est bien. Je suis resté trois ou quatre semaines sans jouer et je pense que ma prestation contre Paris n’a pas été mal. C’est de bon augure j’espère pour faire encore des matchs importants.
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