N’Diaye : «C’est vrai qu’on a grillé quelques jokers.»
07-04-2005, 12:45
Il faut gagner à Strasbourg ?
On avait établi des temps de passages, là on est en retard. On y va avec l’ambition de rattraper les points perdus et notamment les 2 points perdus contre Paris.
Vous pouvez nous parler de cette équipe Strasbourgeoise ?
Non pas vraiment. Ils ont fait un bon résultat à Bordeaux. C’est toujours important de s’imposer à l’extérieur. Je connais Mamadou Niang et j’ai vu que ce week-end il a encore fait des misères. Il est puissant. C’est un joueur à surveiller. Pagis devrait revenir. Il fait partie des meilleurs attaquants français.
Vous avez utilisé vos jokers ?
C’est vrai qu’on a grillé quelques jokers. Les équipes qui sont dans la même course que nous ont fait des erreurs aussi. Ca nous permet de se maintenir à notre position de 2ème ou 3ème comme on l’est actuellement. C’est vrai que plus on s’approche de la fin du championnat et moins on a de jokers. A Strasbourg ça serait très bien de gagner.
Depuis quelques temps l’OM n’y arrive plus. Pourquoi ?
Je n’ai pas l’explication. Mais on est conscients. Il faut qu’on arrive à avoir plus de régularité que ce qu’on a actuellement. Il faut qu’on soit meilleurs dans le jeu. La bonne nouvelle, ou la bonne note, c’est que même quand on n’est pas très, très bons, on arrive à prendre des points et à se maintenir en haut du classement. C’est assez positif même si on ne se repose pas là dessus, on fait tout pour progresser encore.
Le fait d’avoir brisé la série de défaites contre le PSG vous libère dans vos têtes pour les autres matchs ?
On ne le considère pas comme ça. Pour nous, le match contre le PSG avait surtout de l’importance au niveau des points. Malheureusement, on n’en a pris qu’un à domicile. Ca nous en fait deux de moins sur le tableau de marche. Ce qui est positif, c’est qu’on est encore revenus au score après avoir encaissé un but. C’est la capacité de réaction, mais on ne peut pas se contenter de ça. Les matchs à domicile on se doit les gagner. Je pense que dans nos têtes on est costauds et confortés par ce retournement de situation en fin de match, et ça nous permet de bien aborder Strasbourg.
Pourquoi l’équipe ne joue t-elle pas toujours comme elle l’a fait pour revenir au score ?
Très bonne question !
Je ne sais pas. Il y a des matchs où on est un peu moins bien physiquement. Pour diverses raisons on est moins bien. Mais c’est vrai que vu de l’extérieur, on peut dire si vous êtes capables d’accélérer comme à Monaco. Pourquoi ne pas le faire tout le match ? Il y a plein d’explications qui font que ce n’est pas toujours possible. Dans l’absolu, ça serait l’idéal.
Le changement de joueurs peut être positif ?
Il n’y a pas beaucoup de turnover non plus. C’est vrai que beaucoup de joueurs se sont trouvés amorphes dans le match, ont eu un sursaut après le but. C’est logique et c’est la moindre des choses. Je ne sais pas pourquoi on n’arrive pas à mettre plus de pression tout au long d’un match.
Que vous a dit l’entraîneur ?
On a discuté pour savoir comment gérer cette période où on n’est pas forcément au mieux. Qu’il fallait continuer à être solidaires. Qu’on ne pouvait pas se contenter de ce qu’on faisait mais aussi qu’il y a pas si longtemps, ce match contre Paris on l’aurait certainement perdu. On a eu la force de caractère pour revenir et il faut se servir de ça pour faire pareil à Strasbourg.
Que travaillez vous ?
Je n’ai pas encore travaillé cette semaine. J’ai pris un coup dès que je suis entré. J’ai fait 20 minutes de vélo, je ne pouvais pas en faire plus… Les blessés passent inaperçus ici, c’est bizarre !
On demande mais on nous dit rien !
Je suis réputé pour être quelqu’un qui se blesse rarement mais cette année ça n’a pas été le cas. C’est comme ça. Il y a des années moindres.
Vous parlez tactique ?
On en parle sur le terrain et je pense que c’est la meilleure des solutions. On s’appuie sur des bases qui sont quand même assez saines. Après je pense que la grosse critique, c’est que tout le monde disait qu’on était amorphes, mais on reste quand même une équipe difficile à man½uvrer.
On a l’impression qu’en début de match vous vous appliquez trop ?
Lorsqu’on est menés, après on n’a plus le choix ; Il faut jeter toutes ses forces dans la bataille. Si on fait ça dès les premières minutes de jeu, après il ne nous reste plus rien et on s’expose à des problèmes, surtout face à Paris qui a deux ou trois joueurs qui jouent très bien le contre. On aurait eu plus de problèmes. Peut-être aussi qu’il y a une volonté de trop vouloir bien faire qui fait qu’on est moins performants en début de match qu’à la fin.
:paysan:
On avait établi des temps de passages, là on est en retard. On y va avec l’ambition de rattraper les points perdus et notamment les 2 points perdus contre Paris.
Vous pouvez nous parler de cette équipe Strasbourgeoise ?
Non pas vraiment. Ils ont fait un bon résultat à Bordeaux. C’est toujours important de s’imposer à l’extérieur. Je connais Mamadou Niang et j’ai vu que ce week-end il a encore fait des misères. Il est puissant. C’est un joueur à surveiller. Pagis devrait revenir. Il fait partie des meilleurs attaquants français.
Vous avez utilisé vos jokers ?
C’est vrai qu’on a grillé quelques jokers. Les équipes qui sont dans la même course que nous ont fait des erreurs aussi. Ca nous permet de se maintenir à notre position de 2ème ou 3ème comme on l’est actuellement. C’est vrai que plus on s’approche de la fin du championnat et moins on a de jokers. A Strasbourg ça serait très bien de gagner.
Depuis quelques temps l’OM n’y arrive plus. Pourquoi ?
Je n’ai pas l’explication. Mais on est conscients. Il faut qu’on arrive à avoir plus de régularité que ce qu’on a actuellement. Il faut qu’on soit meilleurs dans le jeu. La bonne nouvelle, ou la bonne note, c’est que même quand on n’est pas très, très bons, on arrive à prendre des points et à se maintenir en haut du classement. C’est assez positif même si on ne se repose pas là dessus, on fait tout pour progresser encore.
Le fait d’avoir brisé la série de défaites contre le PSG vous libère dans vos têtes pour les autres matchs ?
On ne le considère pas comme ça. Pour nous, le match contre le PSG avait surtout de l’importance au niveau des points. Malheureusement, on n’en a pris qu’un à domicile. Ca nous en fait deux de moins sur le tableau de marche. Ce qui est positif, c’est qu’on est encore revenus au score après avoir encaissé un but. C’est la capacité de réaction, mais on ne peut pas se contenter de ça. Les matchs à domicile on se doit les gagner. Je pense que dans nos têtes on est costauds et confortés par ce retournement de situation en fin de match, et ça nous permet de bien aborder Strasbourg.
Pourquoi l’équipe ne joue t-elle pas toujours comme elle l’a fait pour revenir au score ?
Très bonne question !
Je ne sais pas. Il y a des matchs où on est un peu moins bien physiquement. Pour diverses raisons on est moins bien. Mais c’est vrai que vu de l’extérieur, on peut dire si vous êtes capables d’accélérer comme à Monaco. Pourquoi ne pas le faire tout le match ? Il y a plein d’explications qui font que ce n’est pas toujours possible. Dans l’absolu, ça serait l’idéal.
Le changement de joueurs peut être positif ?
Il n’y a pas beaucoup de turnover non plus. C’est vrai que beaucoup de joueurs se sont trouvés amorphes dans le match, ont eu un sursaut après le but. C’est logique et c’est la moindre des choses. Je ne sais pas pourquoi on n’arrive pas à mettre plus de pression tout au long d’un match.
Que vous a dit l’entraîneur ?
On a discuté pour savoir comment gérer cette période où on n’est pas forcément au mieux. Qu’il fallait continuer à être solidaires. Qu’on ne pouvait pas se contenter de ce qu’on faisait mais aussi qu’il y a pas si longtemps, ce match contre Paris on l’aurait certainement perdu. On a eu la force de caractère pour revenir et il faut se servir de ça pour faire pareil à Strasbourg.
Que travaillez vous ?
Je n’ai pas encore travaillé cette semaine. J’ai pris un coup dès que je suis entré. J’ai fait 20 minutes de vélo, je ne pouvais pas en faire plus… Les blessés passent inaperçus ici, c’est bizarre !
On demande mais on nous dit rien !
Je suis réputé pour être quelqu’un qui se blesse rarement mais cette année ça n’a pas été le cas. C’est comme ça. Il y a des années moindres.
Vous parlez tactique ?
On en parle sur le terrain et je pense que c’est la meilleure des solutions. On s’appuie sur des bases qui sont quand même assez saines. Après je pense que la grosse critique, c’est que tout le monde disait qu’on était amorphes, mais on reste quand même une équipe difficile à man½uvrer.
On a l’impression qu’en début de match vous vous appliquez trop ?
Lorsqu’on est menés, après on n’a plus le choix ; Il faut jeter toutes ses forces dans la bataille. Si on fait ça dès les premières minutes de jeu, après il ne nous reste plus rien et on s’expose à des problèmes, surtout face à Paris qui a deux ou trois joueurs qui jouent très bien le contre. On aurait eu plus de problèmes. Peut-être aussi qu’il y a une volonté de trop vouloir bien faire qui fait qu’on est moins performants en début de match qu’à la fin.
:paysan:
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