11-11-2004, 18:12
Quel sentiment domine après cette élimination ?
On ne peut pas dire quel sentiment il y a, on sait très bien le sentiment qu’il y a. Ça fait partie d’un mauvais passage, on vient d’enchaîner deux défaites, ça fait partie d’un certain parcours des grands clubs européens qui ont ce genre de parcours. On l’a nous aussi, on vient d’enchaîner deux défaites…
Vous êtes proches de José la caution Marseillaise, comment a-t-il réagi ?
José comme l’ensemble des joueurs, Il est assez touché évidemment, mais personne ne lâchera le morceau. C’est-à-dire que tout le monde va continuer à se battre, tout le monde va faire bloc pour revenir à notre niveau. Pour regagner des matchs, reconquérir tout un public, pour tout. On est au mois de novembre, il reste énormément de matchs, encore une coupe de France. Pour nous il est hors de question de baisser les bras, ou quoi que ce soit.
José reste ?
José reste, il ne nous en a pas parlé, mais, pour les joueurs, il est hors de question que José s’en aille. C’est l’unanimité. Il est là depuis le début avec nous et il restera avec nous jusqu’à la fin de l’aventure qui s’arrête au mois de juillet. On est tous ensemble dans le même bateau et il est hors de question qu’on baisse les bras. Quoi qui se passe autour, l’environnement qu’on connaît autour du club, on fera avec, on se battra.
De garder ou de ne pas garder José c’est une décision du président non ?
Si le Président décide de l’écarter, on aura notre mot à dire. Après il prendra sa décision, mais on aura notre mot à dire. On travaille tous les jours ensemble et voilà.
José a eu envie de partir ?
Je ne sais pas, mais déjà José est assez impulsif, il a du sang marseillais, il a eu très mal, mais ça fait partie de sa carrière. José est un jeune entraîneur qui a énormément de qualités et ces moments-là, font partie de sa carrière. Il ne peut pas y avoir que des finales de l’UEFA pour battre des NewCastle, des Liverpool, des Milan, c’est pas ça le métier de footballeur. C’est fait aussi de trous, de mauvaises passes c’est là où on apprend.
Sur le plan du jeu, comment expliquer cette mauvaise passe ?
Si on regarde les 45 premières minutes de jeu, elles sont magnifiques. Mais à la 46ème on prend un but sur un coup de pied arrêté. Là on est rentré, en deuxième mi-temps, un peu déstabilisé même s’il y a eu quelques trucs. Il y a eu des erreurs individuelles. Moi je suis mal placé sur la frappe, on connaît la suite. Ça fait partie du métier, ce qui a c’est que tout arrive en même temps et contre le PSG en sachant ce que ça représente ici, en Coupe de la Ligue, etc etc… Je pense qu’il n’y a pas 40 solutions, il y a le travail, le travail et montrer qu’on est des hommes, des compétiteurs.
Il y a des compétiteurs dans cette équipe ?
Moi j’en suis persuadé parce que lorsqu’on voit ce qu’on a fait hier pendant 45 minutes, je ne vois pas pourquoi on ne reproduirait pas ç à chaque match surtout en jouant un match par semaine. Je pense que si on n’est pas capables de faire ça à Marseille, on n’a rien à faire dans ce club.
Pas de souci là-dessus ?
Moi je n’ai pas de souci. J’ai confiance aux gars à 200%. Lorsqu’on voit la tête des gars ce matin, j’ai énormément confiance en ce groupe.
Il y a eu une cassure avec le public aussi ?
Le public on va le reconquérir avec la victoire, avec la façon dont on va gagner nos matchs. C’est Marseille, il ne faut pas l’oublier. On sait comment c’est. Lorsqu’on vient à l’OM, on sait comment ça se passe. Lorsqu’on gagne c’est fantastique, c’est le plus beau club du monde et lorsqu’on perd, tout de suite ça devient un club invivable. Non je suis désolé. Marseille c’est comme ça. Excusez ma définition, mais c’est bandant. Au contraire c’est dans ces moments là où vraiment il faut s’éclater. Ce n’est pas lorsqu’on gagne facilement, que tout va bien que non. C’est dans ces moments-là qu’il faut montrer ce qu’on a un peu…
A aucun moment, vous n’avez eu peur de sortir du stade ?
Non.
Dans le jeu, vous avez commis les mêmes erreurs qu’à paris ?
C’est une question de confiance. Peut-être que ce but avant la mi-temps nous a fait mal.
Que dit le capitaine aux joueurs ?
Qu’ils ont la chance d’évoluer dans ce club et qu’ils profitent vraiment de tous ces moments-là. Qu’il faut arrêter de pleurer sur son sort, se plaindre de quoi que ce soit. Il faut rentrer sur le terrain et tout donner pace qu’on est là pour ça.
À la mi-temps, vous avez senti que ce but avait fait mal ?
J’ai senti un peu de relâchement cinq minutes avant la mi-temps. C’est vrai qu’il y a eu quelques petites engueulades entre joueurs à la mi-temps parce qu’on avait senti un petit truc négatif.
Les erreurs individuelles ?
Ça fait partie de notre truc, l’erreur individuelle, je parle-moi depuis le début de la saison, si on prend les matchs les uns après les autres, la première mi-temps contre Paris c’est ce qu’on a fait de mieux hier soir.
:chinese:
On ne peut pas dire quel sentiment il y a, on sait très bien le sentiment qu’il y a. Ça fait partie d’un mauvais passage, on vient d’enchaîner deux défaites, ça fait partie d’un certain parcours des grands clubs européens qui ont ce genre de parcours. On l’a nous aussi, on vient d’enchaîner deux défaites…
Vous êtes proches de José la caution Marseillaise, comment a-t-il réagi ?
José comme l’ensemble des joueurs, Il est assez touché évidemment, mais personne ne lâchera le morceau. C’est-à-dire que tout le monde va continuer à se battre, tout le monde va faire bloc pour revenir à notre niveau. Pour regagner des matchs, reconquérir tout un public, pour tout. On est au mois de novembre, il reste énormément de matchs, encore une coupe de France. Pour nous il est hors de question de baisser les bras, ou quoi que ce soit.
José reste ?
José reste, il ne nous en a pas parlé, mais, pour les joueurs, il est hors de question que José s’en aille. C’est l’unanimité. Il est là depuis le début avec nous et il restera avec nous jusqu’à la fin de l’aventure qui s’arrête au mois de juillet. On est tous ensemble dans le même bateau et il est hors de question qu’on baisse les bras. Quoi qui se passe autour, l’environnement qu’on connaît autour du club, on fera avec, on se battra.
De garder ou de ne pas garder José c’est une décision du président non ?
Si le Président décide de l’écarter, on aura notre mot à dire. Après il prendra sa décision, mais on aura notre mot à dire. On travaille tous les jours ensemble et voilà.
José a eu envie de partir ?
Je ne sais pas, mais déjà José est assez impulsif, il a du sang marseillais, il a eu très mal, mais ça fait partie de sa carrière. José est un jeune entraîneur qui a énormément de qualités et ces moments-là, font partie de sa carrière. Il ne peut pas y avoir que des finales de l’UEFA pour battre des NewCastle, des Liverpool, des Milan, c’est pas ça le métier de footballeur. C’est fait aussi de trous, de mauvaises passes c’est là où on apprend.
Sur le plan du jeu, comment expliquer cette mauvaise passe ?
Si on regarde les 45 premières minutes de jeu, elles sont magnifiques. Mais à la 46ème on prend un but sur un coup de pied arrêté. Là on est rentré, en deuxième mi-temps, un peu déstabilisé même s’il y a eu quelques trucs. Il y a eu des erreurs individuelles. Moi je suis mal placé sur la frappe, on connaît la suite. Ça fait partie du métier, ce qui a c’est que tout arrive en même temps et contre le PSG en sachant ce que ça représente ici, en Coupe de la Ligue, etc etc… Je pense qu’il n’y a pas 40 solutions, il y a le travail, le travail et montrer qu’on est des hommes, des compétiteurs.
Il y a des compétiteurs dans cette équipe ?
Moi j’en suis persuadé parce que lorsqu’on voit ce qu’on a fait hier pendant 45 minutes, je ne vois pas pourquoi on ne reproduirait pas ç à chaque match surtout en jouant un match par semaine. Je pense que si on n’est pas capables de faire ça à Marseille, on n’a rien à faire dans ce club.
Pas de souci là-dessus ?
Moi je n’ai pas de souci. J’ai confiance aux gars à 200%. Lorsqu’on voit la tête des gars ce matin, j’ai énormément confiance en ce groupe.
Il y a eu une cassure avec le public aussi ?
Le public on va le reconquérir avec la victoire, avec la façon dont on va gagner nos matchs. C’est Marseille, il ne faut pas l’oublier. On sait comment c’est. Lorsqu’on vient à l’OM, on sait comment ça se passe. Lorsqu’on gagne c’est fantastique, c’est le plus beau club du monde et lorsqu’on perd, tout de suite ça devient un club invivable. Non je suis désolé. Marseille c’est comme ça. Excusez ma définition, mais c’est bandant. Au contraire c’est dans ces moments là où vraiment il faut s’éclater. Ce n’est pas lorsqu’on gagne facilement, que tout va bien que non. C’est dans ces moments-là qu’il faut montrer ce qu’on a un peu…
A aucun moment, vous n’avez eu peur de sortir du stade ?
Non.
Dans le jeu, vous avez commis les mêmes erreurs qu’à paris ?
C’est une question de confiance. Peut-être que ce but avant la mi-temps nous a fait mal.
Que dit le capitaine aux joueurs ?
Qu’ils ont la chance d’évoluer dans ce club et qu’ils profitent vraiment de tous ces moments-là. Qu’il faut arrêter de pleurer sur son sort, se plaindre de quoi que ce soit. Il faut rentrer sur le terrain et tout donner pace qu’on est là pour ça.
À la mi-temps, vous avez senti que ce but avait fait mal ?
J’ai senti un peu de relâchement cinq minutes avant la mi-temps. C’est vrai qu’il y a eu quelques petites engueulades entre joueurs à la mi-temps parce qu’on avait senti un petit truc négatif.
Les erreurs individuelles ?
Ça fait partie de notre truc, l’erreur individuelle, je parle-moi depuis le début de la saison, si on prend les matchs les uns après les autres, la première mi-temps contre Paris c’est ce qu’on a fait de mieux hier soir.
:chinese:
Le top des taupes !