Étant donné ma contribution régulière sur ce forum, quelle qu'en soit le niveau de qualité, je crois avoir épuisé mon crédit d'excuses à ne pas passer par la case "Présentation" de l'OPIOMpoly, au point d'en devenir presque impoli.
Comme il n'y a que les dingos qui ne changent pas d'avis, et que je ne prétends pas être plus fou que vous autres, je me décide enfin à faire le grand saut, la balustrade de malades que vous êtes ne me paraissant finalement pas totalement infranchissable...
Le monde des Opiomanes n'étant certes pas à la portée du premier venu, le tout n'est pas d'y entrer, mais également d'y rester. L'épée du filtre au dessus de la caboche , j'ai bien conscience qu'il est de mon intérêt de rester dans les clous, et garder ma vigilance dans les courbes pour éviter tout dérapage intempestif dans les gravillons, synonyme de fin de parcours...
Mais plutôt que de commencer par une fin inéluctable, je me doigte de débuter pas le commencement...
Ma rencontre avec l'OM se fait au siècle dernier, peu ou prou avec l'arrivée de Nanard (vous vous souvenez, celui qui avait tous les jours son nom dans le canard).
De mon Ardèche profonde, je découvre subitement le sentiment de la toute puissance... Oui, désormais, j'en aurai une plus grosse que les autres ! Parce que descendre les gorges en canoë, ça fait des gros bras, mais pour le reste...
Depuis ce temps béni, de l'eau a coulé sous les ponts... Au fil des années, j'ai pris de la bouteille : si ma supériorité ohémiène s'est progressivement atténuée, ma passion pour l'OM est elle restée intacte, et jamais je ne m'en séparerai comme on pourrait le faire d'une vielle chaussette
J'avoue aujourd'hui prendre un plaisir différent, ce à quoi ce site participe, à coups de moult quotes et d'Edith (pas la petite Piaf, hein ! Non, s'il vous plait, suivez...).
Je conclurai par préciser que si la vie a toujours été généreuse avec moi (point n'ai-je jamais ressenti le besoin ni même la tentation de me transformer en voleur de scooter), je ne tenterai pas ici de passer pour un autre (eut-il fallu pour cela que je sois un tant soi peu ventriloque). En d'autres termes :
Puisque l'éloquence,
point n'est mon fort,
j'implore votre indulgence,
ne retenez que l'effort !
Edith : pour les intimes, "Voro" suffit
Comme il n'y a que les dingos qui ne changent pas d'avis, et que je ne prétends pas être plus fou que vous autres, je me décide enfin à faire le grand saut, la balustrade de malades que vous êtes ne me paraissant finalement pas totalement infranchissable...
Le monde des Opiomanes n'étant certes pas à la portée du premier venu, le tout n'est pas d'y entrer, mais également d'y rester. L'épée du filtre au dessus de la caboche , j'ai bien conscience qu'il est de mon intérêt de rester dans les clous, et garder ma vigilance dans les courbes pour éviter tout dérapage intempestif dans les gravillons, synonyme de fin de parcours...
Mais plutôt que de commencer par une fin inéluctable, je me doigte de débuter pas le commencement...
Ma rencontre avec l'OM se fait au siècle dernier, peu ou prou avec l'arrivée de Nanard (vous vous souvenez, celui qui avait tous les jours son nom dans le canard).
De mon Ardèche profonde, je découvre subitement le sentiment de la toute puissance... Oui, désormais, j'en aurai une plus grosse que les autres ! Parce que descendre les gorges en canoë, ça fait des gros bras, mais pour le reste...
Depuis ce temps béni, de l'eau a coulé sous les ponts... Au fil des années, j'ai pris de la bouteille : si ma supériorité ohémiène s'est progressivement atténuée, ma passion pour l'OM est elle restée intacte, et jamais je ne m'en séparerai comme on pourrait le faire d'une vielle chaussette
J'avoue aujourd'hui prendre un plaisir différent, ce à quoi ce site participe, à coups de moult quotes et d'Edith (pas la petite Piaf, hein ! Non, s'il vous plait, suivez...).
Je conclurai par préciser que si la vie a toujours été généreuse avec moi (point n'ai-je jamais ressenti le besoin ni même la tentation de me transformer en voleur de scooter), je ne tenterai pas ici de passer pour un autre (eut-il fallu pour cela que je sois un tant soi peu ventriloque). En d'autres termes :
Puisque l'éloquence,
point n'est mon fort,
j'implore votre indulgence,
ne retenez que l'effort !
Edith : pour les intimes, "Voro" suffit
Vite un nouveau titre de champignon, sinon je lâche le fauve dans la nature...