29-05-2013, 13:00
Les connivences entre agents et dirigeants semblent être de plus en plus courantes dans le monde du foot. À une (toute) autre échelle que la nôtre : Raiola pour Paris, Mendes pour Monaco. À se demander quel est le pouvoir réel d'un entraîneur aujourd'hui. Je veux dire, dans mon esprit, c'est l'entraîneur qui veut tel ou tel joueur (et uniquement sur des critères sportifs hein, pas pour faire plaisir à tel agent) et après les dirigeants avisent. Ben, c'est pas (plus) du tout ça.
« Quand j'étais petit, j'avais des copains qui jouaient au basket-ball, et d'autres qui jouaient au baloncesto. » @ Sergio Ramos
En Espagnol, baloncesto=basket-ball.
En Espagnol, baloncesto=basket-ball.