16-05-2011, 18:29
Anne Mansouret, conseillère générale de l’Eure et régionale de Haute-Normandie, candidate aux primaires socialistes pour l’élection présidentielle de 2012 a confirmé ce dimanche dans Paris Normandie que sa fille aurait été victime d’une tentative d’agression sexuelle de la part de Dominique Strauss-kahn en 2002.
Ajouté 20h30 : Mme Mansouret a affirmé sur iTélé ce soir que sa fille étudiait la possibilité de déposer une plainte concernant les faits en question.
La jeune romancière Tristane Banon avait révélé cette tentative d'agression en 2007 dans une émission de Thierry Ardisson. La séquence n'avait pas été diffusée mais on la retrouve facilement sur le web, le nom du Président du FMI étant bipé.
Alors qu'elle écrivait son premier livre « Erreurs avouées… au masculin » en 2002, la jeune femme avait rencontré Dominique Strauss-Kahn. Il l’avait ensuite invité à une autre adresse « un appartement vide, avec un magnétoscope, une télé, un lit au fond, des poutres apparentes ». Tristane Banon : « Il a voulu que je lui tienne la main pour répondre, puis le bras… On a fini par se battre, on s’est battu au sol, j’ai donné des coups de pied, il a dégrafé mon soutien-gorge, il a essayé d’enlever mon jean. Quand on se battait, j’ai dit le mot « viol » pour lui faire peur, ça ne lui a pas fait peur ».
Ajouté 20h30 : Mme Mansouret a affirmé sur iTélé ce soir que sa fille étudiait la possibilité de déposer une plainte concernant les faits en question.
La jeune romancière Tristane Banon avait révélé cette tentative d'agression en 2007 dans une émission de Thierry Ardisson. La séquence n'avait pas été diffusée mais on la retrouve facilement sur le web, le nom du Président du FMI étant bipé.
Alors qu'elle écrivait son premier livre « Erreurs avouées… au masculin » en 2002, la jeune femme avait rencontré Dominique Strauss-Kahn. Il l’avait ensuite invité à une autre adresse « un appartement vide, avec un magnétoscope, une télé, un lit au fond, des poutres apparentes ». Tristane Banon : « Il a voulu que je lui tienne la main pour répondre, puis le bras… On a fini par se battre, on s’est battu au sol, j’ai donné des coups de pied, il a dégrafé mon soutien-gorge, il a essayé d’enlever mon jean. Quand on se battait, j’ai dit le mot « viol » pour lui faire peur, ça ne lui a pas fait peur ».