17-03-2011, 01:21
En France un des risques pour les centrales est également le refroidissement.
Lors de la canicule de 2003, il fallait beaucoup refroidir le bouzin, mais le niveau des fleuves était très bas et leur températures élevées ce qui a mis certaines centrales dans une situation critique. Les tours aéroréfrigérantes étaient arrosées de l'extérieur au tuyau pour être refroidies.
Les centrales ne sont pas adaptées à ces températures extrêmes... qui sont appelées à devenir de plus en plus fréquentes du fait du changement climatique.
De plus, l'été est la période d'arrêt des centrales pour la maintenance, sauf qu'avec les climatisations des pics de consommation ont maintenant lieu l'été, ce qui met le système sous tension.
Pour les déchets, il y a quelques années, l'industrie nucléaire disait "cela représente deux piscines etc.", sous-entendu rien du tout. Sauf que l'on voit aujourd'hui la dangerosité d'une "piscine" de combustible nucléaire, sans parler du fait que ces déchets ont une durée de vie de milliers d'années, et sans parler des déchets "faiblement" radioactifs que la cogema (ancêtre d'areva) a disséminé un peu partout en France par exemple.
Lors de la canicule de 2003, il fallait beaucoup refroidir le bouzin, mais le niveau des fleuves était très bas et leur températures élevées ce qui a mis certaines centrales dans une situation critique. Les tours aéroréfrigérantes étaient arrosées de l'extérieur au tuyau pour être refroidies.
Les centrales ne sont pas adaptées à ces températures extrêmes... qui sont appelées à devenir de plus en plus fréquentes du fait du changement climatique.
De plus, l'été est la période d'arrêt des centrales pour la maintenance, sauf qu'avec les climatisations des pics de consommation ont maintenant lieu l'été, ce qui met le système sous tension.
Pour les déchets, il y a quelques années, l'industrie nucléaire disait "cela représente deux piscines etc.", sous-entendu rien du tout. Sauf que l'on voit aujourd'hui la dangerosité d'une "piscine" de combustible nucléaire, sans parler du fait que ces déchets ont une durée de vie de milliers d'années, et sans parler des déchets "faiblement" radioactifs que la cogema (ancêtre d'areva) a disséminé un peu partout en France par exemple.