05-10-2004, 20:16
Peguy vient d’être appelé en équipe de France ?
Je suis content pour lui. Ca va lui permettre de retrouver le groupe de l’équipe de France alors qu’il n’était pas sélectionné. Ca va lui donner un peu de force morale et mentale pour revenir avec nous avec tout le talent qu’on lui connaît. Il est dans une période de doute, on croit en lui. Moi je crois en lui. On va tout faire pour l’aider et lui sait qu’on est là pour ça. C’est une situation que j’aime moi. Aider les gens ça me va bien.
C’est par rapport à son positionnement ?
Oui mais c’est le propre d’un joueur qui découvre un peu l’environnement marseillais. Mais nous on continue à croire en lui et on est sûr que ça va passer. L’équipe de France peut être un contre appel pour lui permettre de retrouver un peu de fraîcheur mentale avec une équipe qui, j’espère, va faire deux bons matchs. J’espère qu’il pourra au moins être dans le groupe.
Il y a un problème de positionnement même pour vous ?
Pour moi il n’y a pas de problème. Pour lui non plus. J’en ai discuté avec lui, Péguy c’est un joueur de football, il sait qu’il y a des schémas dans une équipe et il n’y a pas l’ombre d’un souci. Lorsqu’il reviendra à son meilleur niveau vous verrez qu’il joue à droite ou à gauche, il redeviendra ce qu’il a été. Vous savez lorsqu’on est dans une période de doute, c’est comme ça. On cherche à savoir pourquoi ça ne va pas. A mon avis il se cherche un peu, mais ce n’est pas une question de positionnement et il le sait. On en a parlé et il n’y a pas de problème. Au contraire. Moi ce qui m’intéresse c’est de l’aider, de l’encourager parce que je crois énormément en ce joueur.
Vous savez vous pourquoi ça ne va pas pour lui ?
Non je ne sais pas du tout. Je pense que comme les attaquants du monde il a une période de doute point barre. Mais ça arrive. C’est arrivé à tous les attaquants dans leur carrière. Aujourd’hui il est dans cette situation, mais tout le monde va l’aider dans le groupe. Les entraîneurs que nous sommes, le staff, les dirigeants, tout le monde est là. On croit en ce joueur et il faut l’aider et lui faire franchir ce palier qu’il peut encore franchir à Marseille parce qu’il est venu là pour être fort et il va le devenir. Je n’ai aucun problème là dessus.
Vous avez 15 jours pour bien préparer le choc contre les verts ?
Le choc ! Si vous regardez notre calendrier, Saint-Étienne, Lens, Monaco, Paris, les chocs, on va être amenés à en parler ? C’est vrai que Saint-Étienne c’est le premier rendez-vous. Mais nous, ce n’est pas tellement ça qu’on retient. Nous on veut gagner à la maison pour continuer une petite série. On sait très bien que pour recoller au peloton de tête il faut faire cette série. Mais en réalité, ce qui nous intéresse c’est d’être collé dans ce bloc de quatre ou cinq équipes jusqu’au mois de décembre pour pouvoir entamer à partir du mois de janvier le sprint final. Le sprint va se jouer à la fin. A partir de la deuxième partie du championnat, si ce bloc de 5 équipes, s’est un peu détaché, c’est là que ça va se jouer. Donc il faut rester jusqu’au mois de décembre collé avec un minimum de perte de point avec des objectifs. Ce n’est pas tellement de perdre un match. C’est essayer de se coller parce qu’on s‘aperçoit que les équipes perdent aussi. Monaco perd, Lyon perdra, les équipes se font accrochées. Lille aujourd’hui a le vent en poupe mais avec la coupe de l’UEFA, ils auront des passages à vide. C’est le lot de toutes les équipes. Il faut essayer de bien les gérer. Aujourd’hui nous on sort de deux victoires. Je l’ai dit après le match à Istres. On ne peut pas chanter, faire les cadors ou quoi que ce soit. On veut continuer à travailler parce qu’on a traversé une période un peu difficile à un moment où on se cherchait. Aujourd’hui ça va mieux, mais il faut continuer à bosser. Ca ne passe que par le travail.
A quoi sert ce stage ?
Pendant quinze jours il n’y a plus rien. Pendant ces quinze jours, si on n’occupe pas le temps et si on ne regroupe pas les joueurs, on peut avoir l’impression que ces 15 jours peuvent desservir au niveau de la pression. C’est pour ça qu’on a pris un match intéressant contre Barcelone pour mettre une pression supplémentaire et amener les joueurs à faire pratiquement un match comme si c’était un match de championnat. Après on attaquera notre seconde semaine avec comme objectif, Saint-Étienne. Le stage permet de regrouper, les avoir sous la main, les peaufiner, continuer à travailler et de continuer à consolider. Je crois beaucoup à ces vertus, ces valeurs. C’est ce qui nous a permis de tenir lorsqu’on a traversé des moments un peu difficiles. Le stage permet de se connaître encore plus, de s’apprécier. Lorsqu’on peu le faire, on le fait. C’est bien.
De travailler aussi de travailler psychologiquement avec certains ?
C’est un tout. Ca permet aussi de faire jouer des gens qui ont besoin d’un temps de jeu. D’avoir le temps qu’on n’a pas forcément ici. On peut prendre un café au bar, parler, refaire le monde avec les joueurs. De voir ce qui va, ce qui ne va pas. On a des discussions à bâton rompu. Ca permet de se découvrir des deux côtés. Puis on a un groupe qui vit bien ensemble alors pourquoi ne pas le faire. Si on avait des problèmes à l’intérieur, on ne le ferait pas. On préparé Barcelone sur trois jours mais l’objectif c’est Saint-Étienne. On a fait un programme sur quinze jours. Après le match, vendredi on arrive vers 16h. Ils auront samedi et dimanche repos, mais lundi ça attaque avec deux séances. On ne voulait pas que ces quinze jours soient inoccupés. Les joueurs importants sont en équipe nationale, c’est un groupe qui est amoindri et ça permet à certain de décompresser et on ne veut pas ça. On veut rester sous pression.
Vous pourrez aussi travailler tactiquement avec Brahim et Dehu ?
On a beaucoup travaillé tactiquement ces deux semaines. Sans eux, mais je pense que c’est plus facile de travailler et d’expliquer à deux joueurs que de faire travailler un ensemble. Faire comprendre les mêmes choses au même moment à un groupe, ce n’est pas simple. Fred et Brahim son des garçons intelligents et expérimentés donc ce n’est pas un problème. Par contre on va continuer à bosser parce qu’on s’aperçoit tout ce qu’on a fait en préparation tactique avec l’occupation de zone, le pressing, défendre en montant, le replacement, ça commence à être intéressant maintenant mais il nous a fallu du temps.
Pédretti et Costa ne seront pas là contre Saint-Étienne. Dehu peut jouer devant la défense ?
Ca fait partie d’une solution, mais il y a aussi Brahim qui peut rentrer. Il y a aussi la possibilité de faire jouer un garçon comme Leyti N’Diaye, qui a déjà joué à Cuiseaux en 6. Il y a plein de réflexions à avoir mais il faudra voir l’état de Fred et de Brahim. On ne veut pas brûler les étapes. Je ne sais pas comment ils vont réagir au travail. On le constatera par rapport au travail qu’on a effectué à partir d’aujourd’hui jusqu’à la veille de Saint-Étienne parce que contre Barcelone je ne m’attends pas à des miracles. Il ne faut pas qu’il y ait de rechute. On ne peut pas faire n’importe quoi dans le travail et les voir se blesser de nouveau. Ca serait dommage. Là on est au bout et derrière on a une série. On va à Lens, on reçoit Monaco, on va à Paris. Ces trois matchs sont compliqués, Saint-Étienne aussi. On ne doit pas faire n’importe quoi. S’ils sont utilisables, on les utilisera au plus tôt. Moi je veux surtout gagner Saint-Étienne pour faire un bon match, une série de trois et rester vraiment coller au haut du tableau.
Comment avez-vous trouvé Saint-Étienne ?
C’est une équipe pleine de valeurs, avec beaucoup de tempérament, de générosité. Elle a des difficultés pour marquer, mais ça ne sera pas le même match qu’elle a fait chez elle par rapport à ce qu’elle fera ici. Je m’attends à voir une équipe regroupée, ce n’est pas un derby mais c’est tout comme. Marseille Saint-Étienne ça va se jouer dans les tribunes et sur le terrain. Il y a un bion spectacle. Les verts ont de nombreux supporteurs qui se déplacent et ce match leur tient à c½ur. C’est une première grosse affiche, mais les matchs qui arrivent ils faut les prendre les uns après les autres. Si on commence à regarder ça, on a l’impression que c’est une montagne qui nous attend et qu’on doit le grimper. Mais il faut les jouer et se régaler. C’est du bonheur ces matchs. Il arrivera ce qu’il arrivera mais jusqu’à présent on ne s’est pas tellement posé de question. On a pris les matchs comme ils arrivaient mais là on a de quoi répondre. On a de quoi se défendre, on n’est pas les parents pauvres de ce championnat au contraire. Je pense qu’on a de quoi rivaliser avec ces équipes. Si on est comme on est en ce moment, il n’y a pas de problème. On sera bien là.
C’est votre rendez-vous coupe d’Europe ?
Exact. C’est ce qu’on se disait. On a dit que chaque match serait un match de coupe, là on y vraiment dans un match de coupe d’Europe. Monaco c’est un match de Champion's League, Lens c’est de ce niveau là, Saint-Étienne c’est l’équivalent d’un gros match UEFA, donc voilà. Il n’y a plus de petit match. Même si on n’en a pas eu trop jusqu’à maintenant. Nous on n’a pas eu l’impression d’en faire. Même si contre Istres tout le monde a eu l’impression que c’était un match où Istres n’a pas joué. Ils n’ont pas joué peut-être, mais c’est aussi parce nous on a empêché Istres de jouer. Il ne faut pas retirer autant de valeur à la victoire que ce qu’elle a. Il faut féliciter les joueurs lorsqu’ils le méritent. On a dominé la rencontre. Savoir pourquoi Istres n’a pas joué, c’est parce que l’OM a bien entamé son match.
:smoke1:
Je suis content pour lui. Ca va lui permettre de retrouver le groupe de l’équipe de France alors qu’il n’était pas sélectionné. Ca va lui donner un peu de force morale et mentale pour revenir avec nous avec tout le talent qu’on lui connaît. Il est dans une période de doute, on croit en lui. Moi je crois en lui. On va tout faire pour l’aider et lui sait qu’on est là pour ça. C’est une situation que j’aime moi. Aider les gens ça me va bien.
C’est par rapport à son positionnement ?
Oui mais c’est le propre d’un joueur qui découvre un peu l’environnement marseillais. Mais nous on continue à croire en lui et on est sûr que ça va passer. L’équipe de France peut être un contre appel pour lui permettre de retrouver un peu de fraîcheur mentale avec une équipe qui, j’espère, va faire deux bons matchs. J’espère qu’il pourra au moins être dans le groupe.
Il y a un problème de positionnement même pour vous ?
Pour moi il n’y a pas de problème. Pour lui non plus. J’en ai discuté avec lui, Péguy c’est un joueur de football, il sait qu’il y a des schémas dans une équipe et il n’y a pas l’ombre d’un souci. Lorsqu’il reviendra à son meilleur niveau vous verrez qu’il joue à droite ou à gauche, il redeviendra ce qu’il a été. Vous savez lorsqu’on est dans une période de doute, c’est comme ça. On cherche à savoir pourquoi ça ne va pas. A mon avis il se cherche un peu, mais ce n’est pas une question de positionnement et il le sait. On en a parlé et il n’y a pas de problème. Au contraire. Moi ce qui m’intéresse c’est de l’aider, de l’encourager parce que je crois énormément en ce joueur.
Vous savez vous pourquoi ça ne va pas pour lui ?
Non je ne sais pas du tout. Je pense que comme les attaquants du monde il a une période de doute point barre. Mais ça arrive. C’est arrivé à tous les attaquants dans leur carrière. Aujourd’hui il est dans cette situation, mais tout le monde va l’aider dans le groupe. Les entraîneurs que nous sommes, le staff, les dirigeants, tout le monde est là. On croit en ce joueur et il faut l’aider et lui faire franchir ce palier qu’il peut encore franchir à Marseille parce qu’il est venu là pour être fort et il va le devenir. Je n’ai aucun problème là dessus.
Vous avez 15 jours pour bien préparer le choc contre les verts ?
Le choc ! Si vous regardez notre calendrier, Saint-Étienne, Lens, Monaco, Paris, les chocs, on va être amenés à en parler ? C’est vrai que Saint-Étienne c’est le premier rendez-vous. Mais nous, ce n’est pas tellement ça qu’on retient. Nous on veut gagner à la maison pour continuer une petite série. On sait très bien que pour recoller au peloton de tête il faut faire cette série. Mais en réalité, ce qui nous intéresse c’est d’être collé dans ce bloc de quatre ou cinq équipes jusqu’au mois de décembre pour pouvoir entamer à partir du mois de janvier le sprint final. Le sprint va se jouer à la fin. A partir de la deuxième partie du championnat, si ce bloc de 5 équipes, s’est un peu détaché, c’est là que ça va se jouer. Donc il faut rester jusqu’au mois de décembre collé avec un minimum de perte de point avec des objectifs. Ce n’est pas tellement de perdre un match. C’est essayer de se coller parce qu’on s‘aperçoit que les équipes perdent aussi. Monaco perd, Lyon perdra, les équipes se font accrochées. Lille aujourd’hui a le vent en poupe mais avec la coupe de l’UEFA, ils auront des passages à vide. C’est le lot de toutes les équipes. Il faut essayer de bien les gérer. Aujourd’hui nous on sort de deux victoires. Je l’ai dit après le match à Istres. On ne peut pas chanter, faire les cadors ou quoi que ce soit. On veut continuer à travailler parce qu’on a traversé une période un peu difficile à un moment où on se cherchait. Aujourd’hui ça va mieux, mais il faut continuer à bosser. Ca ne passe que par le travail.
A quoi sert ce stage ?
Pendant quinze jours il n’y a plus rien. Pendant ces quinze jours, si on n’occupe pas le temps et si on ne regroupe pas les joueurs, on peut avoir l’impression que ces 15 jours peuvent desservir au niveau de la pression. C’est pour ça qu’on a pris un match intéressant contre Barcelone pour mettre une pression supplémentaire et amener les joueurs à faire pratiquement un match comme si c’était un match de championnat. Après on attaquera notre seconde semaine avec comme objectif, Saint-Étienne. Le stage permet de regrouper, les avoir sous la main, les peaufiner, continuer à travailler et de continuer à consolider. Je crois beaucoup à ces vertus, ces valeurs. C’est ce qui nous a permis de tenir lorsqu’on a traversé des moments un peu difficiles. Le stage permet de se connaître encore plus, de s’apprécier. Lorsqu’on peu le faire, on le fait. C’est bien.
De travailler aussi de travailler psychologiquement avec certains ?
C’est un tout. Ca permet aussi de faire jouer des gens qui ont besoin d’un temps de jeu. D’avoir le temps qu’on n’a pas forcément ici. On peut prendre un café au bar, parler, refaire le monde avec les joueurs. De voir ce qui va, ce qui ne va pas. On a des discussions à bâton rompu. Ca permet de se découvrir des deux côtés. Puis on a un groupe qui vit bien ensemble alors pourquoi ne pas le faire. Si on avait des problèmes à l’intérieur, on ne le ferait pas. On préparé Barcelone sur trois jours mais l’objectif c’est Saint-Étienne. On a fait un programme sur quinze jours. Après le match, vendredi on arrive vers 16h. Ils auront samedi et dimanche repos, mais lundi ça attaque avec deux séances. On ne voulait pas que ces quinze jours soient inoccupés. Les joueurs importants sont en équipe nationale, c’est un groupe qui est amoindri et ça permet à certain de décompresser et on ne veut pas ça. On veut rester sous pression.
Vous pourrez aussi travailler tactiquement avec Brahim et Dehu ?
On a beaucoup travaillé tactiquement ces deux semaines. Sans eux, mais je pense que c’est plus facile de travailler et d’expliquer à deux joueurs que de faire travailler un ensemble. Faire comprendre les mêmes choses au même moment à un groupe, ce n’est pas simple. Fred et Brahim son des garçons intelligents et expérimentés donc ce n’est pas un problème. Par contre on va continuer à bosser parce qu’on s’aperçoit tout ce qu’on a fait en préparation tactique avec l’occupation de zone, le pressing, défendre en montant, le replacement, ça commence à être intéressant maintenant mais il nous a fallu du temps.
Pédretti et Costa ne seront pas là contre Saint-Étienne. Dehu peut jouer devant la défense ?
Ca fait partie d’une solution, mais il y a aussi Brahim qui peut rentrer. Il y a aussi la possibilité de faire jouer un garçon comme Leyti N’Diaye, qui a déjà joué à Cuiseaux en 6. Il y a plein de réflexions à avoir mais il faudra voir l’état de Fred et de Brahim. On ne veut pas brûler les étapes. Je ne sais pas comment ils vont réagir au travail. On le constatera par rapport au travail qu’on a effectué à partir d’aujourd’hui jusqu’à la veille de Saint-Étienne parce que contre Barcelone je ne m’attends pas à des miracles. Il ne faut pas qu’il y ait de rechute. On ne peut pas faire n’importe quoi dans le travail et les voir se blesser de nouveau. Ca serait dommage. Là on est au bout et derrière on a une série. On va à Lens, on reçoit Monaco, on va à Paris. Ces trois matchs sont compliqués, Saint-Étienne aussi. On ne doit pas faire n’importe quoi. S’ils sont utilisables, on les utilisera au plus tôt. Moi je veux surtout gagner Saint-Étienne pour faire un bon match, une série de trois et rester vraiment coller au haut du tableau.
Comment avez-vous trouvé Saint-Étienne ?
C’est une équipe pleine de valeurs, avec beaucoup de tempérament, de générosité. Elle a des difficultés pour marquer, mais ça ne sera pas le même match qu’elle a fait chez elle par rapport à ce qu’elle fera ici. Je m’attends à voir une équipe regroupée, ce n’est pas un derby mais c’est tout comme. Marseille Saint-Étienne ça va se jouer dans les tribunes et sur le terrain. Il y a un bion spectacle. Les verts ont de nombreux supporteurs qui se déplacent et ce match leur tient à c½ur. C’est une première grosse affiche, mais les matchs qui arrivent ils faut les prendre les uns après les autres. Si on commence à regarder ça, on a l’impression que c’est une montagne qui nous attend et qu’on doit le grimper. Mais il faut les jouer et se régaler. C’est du bonheur ces matchs. Il arrivera ce qu’il arrivera mais jusqu’à présent on ne s’est pas tellement posé de question. On a pris les matchs comme ils arrivaient mais là on a de quoi répondre. On a de quoi se défendre, on n’est pas les parents pauvres de ce championnat au contraire. Je pense qu’on a de quoi rivaliser avec ces équipes. Si on est comme on est en ce moment, il n’y a pas de problème. On sera bien là.
C’est votre rendez-vous coupe d’Europe ?
Exact. C’est ce qu’on se disait. On a dit que chaque match serait un match de coupe, là on y vraiment dans un match de coupe d’Europe. Monaco c’est un match de Champion's League, Lens c’est de ce niveau là, Saint-Étienne c’est l’équivalent d’un gros match UEFA, donc voilà. Il n’y a plus de petit match. Même si on n’en a pas eu trop jusqu’à maintenant. Nous on n’a pas eu l’impression d’en faire. Même si contre Istres tout le monde a eu l’impression que c’était un match où Istres n’a pas joué. Ils n’ont pas joué peut-être, mais c’est aussi parce nous on a empêché Istres de jouer. Il ne faut pas retirer autant de valeur à la victoire que ce qu’elle a. Il faut féliciter les joueurs lorsqu’ils le méritent. On a dominé la rencontre. Savoir pourquoi Istres n’a pas joué, c’est parce que l’OM a bien entamé son match.
:smoke1:
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