Citation :
Tu vois j'envie ces footballeurs qui font le "métier" qu'ils aiment et qui, dès l'encaissement du premier gros chèque, pensent immédiatement à leurs parents, à améliorer leur condition de vie... On pourra toujours dire d'eux qu'ils sont cons, mal instruits et patin couffin, mais pour certains, ils sont dans le vrai.
Alors on me dira "c'est facile avec l'argent qu'ils ont..." Et bien non, les maisons de retraite minables regorgent de vieillard dont la famille jouit pourtant d'une situation aisée. Mais c'est devenu comme ça, on préfère le confort à l'honneur.
Aïe, les maisons de retraite, l'institution que je déteste le plus.
Bon je ne vais pas faire une généralité de mon expérience perso.
Pour des raisons familiales à la con que je ne vais pas exposer ici mais qui me restent bien ancrées au fond du teston, mon grand-père paternel a été placé en maison de retraite.
Y'a un truc que je n'oublierai jamais, c'est le jour où on est allé le voir avec mon père, il était attaché sur une chaise, placé devant une fenêtre avec vue sur la route.
punaise, et je me fous de choquer Pierre , Paul ou Jacques, les maisons de retraite établissent un véritable racket organisé, à l'époque mon père lachait près de 10 000 balles par mois pour le "confort" de son père, et maintenant j'ai la conviction que des mailtrances il en a subi et pas qu'un peu.
J'en veux pour preuve que ce même jour juste avant qu'on ne reparte, mon grand-père a empoigné le bras de mon père en le suppliant de ne pas le laisser là, en lui disant qu'il avait peur et qu'il voulait mourir, rien que d'en reparler j'en ai les larmes aux yeux et j'ai une montée de colère identique à celle que j'ai exprimée au responsable de la maison de retraite à l'époque, franchement rien à caguer de savoir que mon grand-père était un cas difficile, parce que pour encaisser illico la thune c'était loin d'être un cas difficile, et les bourre-pif comme soins à prodiguer, c'est un peu trop basique comme posologie.
Et comme toi Zakk, je me mettrai en quatre pour que mes vieux ne finissent pas comme des miséreux dans ces putains de mouroirs, c'est le moins que je puisse faire tant ils se sont privés pour qu'on ait ce que eux n'ont pas eu la chance d'avoir.
J'ai franchement pas honte des mes origines sociales, mes parents sont issus d'un milieu ouvrier et je suis franchement fier de mon padré qui est devenu un agrégé de Mathématiques reconnu pour sa qualité humaine et professionnelle, il ne le doit qu'à lui même et à mes grand-parents qui lui ont tout sacrifié.
Et bien sûr Zakk que les footeux ont raison d'offrir à la famille toute la sécurité que procure le fric, j'en ferais autant si j'avais les moyens qu'ils ont.
Et pour clôturer ce post, faut que je bosse un peu aussi, l'instruction c'est une chose mais elle ne confère pas de qualités humaines, et puis c'est quoi l'instruction, le nombre d'études après le bac, j'en ai quelques unes et je n'y crois pas, mais là je vais pas trop m'avancer parce que je commence à prendre de l'avance sur le prochain billet.
Le monde est égoïste disait Lapalisse... chacun pour sa gueule, l’intérêt des gens pour les autres suit une logique décroissante partant de soi, leurs familles, leurs amis, leurs connaissances et le reste... reste qui n’a d’intérêt que parce qu’il est inhumain, abstrait.
Je crois profondément à la nature fondamentalement individualiste de l’Homme. La société actuelle se contentant juste de dédouaner ses ouailles d’une certaine culpabilité. On institutionnalise gratis !
Je crois même que la charité provient d’une certaine forme d’égoïsme... on donne un sens évident a sa vie... Sens beaucoup plus compliqué à trouver par soi que par les autres.
Je vois dans ce réflexe d’égocentrisme le principal obstacle à l’organisation d’une société axée sur la satisfaction réelle des besoins collectifs. La seule erreur de Marx.
L’égoïsme préexiste à la société, le capitalisme l’a compris depuis des lustres et n’en ai qu’un outil de son expression.
Alors, bien sur les religions sont dangereuses, mais elles ont l’avantage d’avoir l’ambition de limiter le rôle de nos egos difformes.
Je suis plus de l'avis de Rousseau sur le fait que l'homme est fondamentalement bon, et que c'est la société qui le pervertit.
Je reste persuadé qu'on ne naît pas fondamentalement égoïste ou égocentrique mais que le monde dans lequel nous vivons et les modèles qui nous sont exposés forgent notre comportement.
L'une des prérogatives de la religion c'est effectivement de louer l'amour entre les êtres, la charité et la paix. Mais pour cela, elle doit ouvrir les yeux sur son monde et la réalité, sinon elle devient l'opiom dont parlait Marx...
La vraie question sur la religion (quelle qu'elle soit) réside dans sa capacité à s'adapter au monde actuel. On ne peut pas demander à des fidèles de vivre en 2004 comme dans l'Antiquité. Bien entendu, ne soyons pas naïfs, des dogmes religieux qui évoluent, c'est une sorte de reniement inadmissible !
Mais tous ces discours "décalés" sont forcément en partie à l'origine du désintéressement et de la décrédibilisation des religions...
"Chevalier, tu as dit que tu crois en un monde où les frères nés sous une mauvaise étoile peuvent vivre ensemble et que tu te battrais pour le construire. Aujourd'hui, sache que moi aussi je partage ton rêve." Bud d'Alcor
Je voudrais juste ajouter que bien souvent, il faut se garder de juger les espoirs et croyances des gens qui nous entourent.
La vie peut être très difficile et ce pour tout le monde, même ceux qui ont "tout". (à voir le comportement de personnes plus qu'aisées, on peut se poser la question de savoir s'il est plus facile d'être heureux "riche" que dans le besoin).
Pour revenir sur la religion, j'ai trop d'exemples de ce qu'elle peut apporter aux croyants, jusqu'à en sauver quelques uns, pour leur opposer mon discour de non croyant et l'Histoire.
Les chrétiens d'aujourd'hui (je ne parle que de ce que je connais) ne sont pas responsable de l'inquisition ni des positions du Pape. Ils vivent dans la foie (comme l'alcool dans le mien).
On ne peut pas être opposé à la religion comme on ne peut être opposé à la politique. On ne peut juger ceux qui croient mais seulement les propos tenus.
Quand aux personnes agées, mes grands parents étant morts ou en bonne santé (mentale et physique), je n'ai pas d'exemple à donner sur les maisons de retraite, je me content de penser que je n'y laisserais pas mourrir mes parents et que malheureusement elles restent souvent la seule solution pour des personnes qui ne peuvent assumer une personne grabataire.
Bien vu Clarky ton idée de billet d'humeur, la liberté d'expression éxiste, la preuve, on est pas tous toujours d'accord.
Tu parles espagnol? Mais tu crois que tu m'impressionnes? Moi je sais dire "Allons à la plage Monsieur Renard" : Vamos a la playa Senior Zorro! (...) Non mais pour qui tu me prends, je rêve! La fromagerie en bas de chez moi elle vendait trois choses: du fromage, des ouiches lorraines et de la bouffe chinoise... Alors toi, mec, avec tes régimes à la con, tu me fais bien marrer : t'as devant toi le spécialiste de la ouiche lorraine!
Mathildien75 a écrit :Je suis plus de l'avis de Rousseau sur le fait que l'homme est fondamentalement bon, et que c'est la société qui le pervertit.
Je reste persuadé qu'on ne naît pas fondamentalement égoïste ou égocentrique mais que le monde dans lequel nous vivons et les modèles qui nous sont exposés forgent notre comportement.
L'une des prérogatives de la religion c'est effectivement de louer l'amour entre les êtres, la charité et la paix. Mais pour cela, elle doit ouvrir les yeux sur son monde et la réalité, sinon elle devient l'opiom dont parlait Marx...
La vraie question sur la religion (quelle qu'elle soit) réside dans sa capacité à s'adapter au monde actuel. On ne peut pas demander à des fidèles de vivre en 2004 comme dans l'Antiquité. Bien entendu, ne soyons pas naïfs, des dogmes religieux qui évoluent, c'est une sorte de reniement inadmissible !
Mais tous ces discours "décalés" sont forcément en partie à l'origine du désintéressement et de la décrédibilisation des religions...
Je loue ton optimisme et ta foi en l'Homme Mat, mais je n'y crois plus. Le rôle de la société dans la perversion de l'âme ! a mon sens elle se contente au mieux d'entretenir nos vilains refexes au pire de les attiser...
L'histoire n'est pas linéaire, les sociétés ont changé de nature, pas l'homme.Il me semble que l'Histoire n'est qu'un long réquisitoire... nous avons toujours été coupable de médiocrité, l'actualité me pousse a dire que ça ne risque pas de changer. Seul l'usage du passé composé m'évite de m'insulter plus directement...
Coupable d'intolérance, coupable d'agressivité, coupable d'obscurantisme, coupable d'égoïsme... et coupable de betise. Voilà mes enseignements de l'Histoire de l'Homme. Rien de folichon !
L'amour du prochain , je n'y croit plus guère, et comme le dit si justement Math, l'homme s'oxyde au contacte de la société dans laquelle il est censé s'épanouïr.
On naît avec un code génétique qui regorge de petits gènes prêts à l'emploi, la prédisposition du sens de la vie.
On ne devient pas ce qu'on est forcément au départ, on se pervertit plus ou moins, la tentation ici n'est plus un île mais un continent, alors égoïstes, je pense sincèrement qu'on l'est tous, religieux et laïques.
Quant au sens de la vie, je me pose encore parfois la question de savoir si la vie a un sens, quand je vois ce qu'on est en train de laisser derrière nous mieux vaut faire le naif et se dire que jusque là tout va bien.
On peut vivre dans la foi Mac, mais certains vivent, et très bien, DE la foi, les marchands du temple se gavent.
Et que dire de toutes ces sectes et goupuscules qui ont des connexions au plus haut niveau de notre société, quid des témoins de Jehovah, de l'Eglise de la Scientologie et de la Nation of Islam qui deverse sa haine à travers l'un de ses leaders, ce brave Farrakhan.
Bah je préfère croire aux mystères de la Science, même si certaines découvertes scientifiques ont contribué à perpétuer des atrocités
Nous avons beau nous convaincre que le sens de la vie est une quète, il ne s'agit que d'une frustration.
" L'essentiel est d'accepter que le monde soit cette fête en larmes, toujours semblable, toujours diverse, dont la clé nous échappe. " (Jean d'O)
L'essentiel est d'oublier que l'on n'a aucune chance... de foncer, sur un malentendu on peut toujours être heureux et se satisfaire de notre propre médiocrité... (Les Bronzés)
Tout est si compliqué, tout est si insensé qu'il me semble illusoire de croire qu'il est possible de réellement comprendre les choses et les gens. Nos analyses sont souvent au mieux inutiles et au pire erronées.
Mathildien75 a écrit :Je suis plus de l'avis de Rousseau sur le fait que l'homme est fondamentalement bon, et que c'est la société qui le pervertit.
Je reste persuadé qu'on ne naît pas fondamentalement égoïste ou égocentrique mais que le monde dans lequel nous vivons et les modèles qui nous sont exposés forgent notre comportement.
Pour moi, ceci est un non-sens. L'Homme ne naît ni bon ni mauvais. La notion de bien et de mal fait référence à des codes moraux qui varient selon les sociétés. La morale est l'instrument par lequel une société Humaine se structure et s'organise, celle-ci est dépendante des conditions de vie et des besoins.
L’animal ne se soucie pas de savoir s’il est égoïste ou pas, seul sa survie et/ou celle de sont espèce lui importe. Bien souvent un animal blessé est laissé par ses congénères surtout si cela permet aux autres de se sauver comme dans le cas d’une antilope blessée par un lion.
L’égoïsme tout comme l’entraide sont des notions parfaitement Humaines grandement ancrée dans nos sociétés et qui font de l’une, une valeur négative et de l’autre, une valeur positive.
Fiscale poursuite
"Lyon ne cède pas à l'abattement" (Reuters). Pierre Mondy veut une exonération totale.
Plutot de l'avis du degommeur de mouettes ! l'analyse de codes moraux (qu'ils soient d'origine religieuse, sociale ou guerrière) est un exercice particulièrement nécessaire a la compréhension des sociétés.
Une autre question me turpipine: c'est qui la société ?
Bakayoyo a écrit :Nous.
C'est pour ça que je ne crois pas que la société nous pervertissent, car la société c'est ce que nous en faisons.
Edit: a la réflexion, ma dernière remarque est un peu facile, car la question Homme/société n'est pas sans rappeler celle oeuf/poule.
Exactement Bakayoyo, moi je te dirais que l'Homme a fait la société et que la société a défait l'Homme.
Après vouloir donner absolument une définition de la Société, je laisse ça aux sociétaires de l'Académie Française.
La société d'un point de vue purement technique ça me gonfle un peu, l'aspect communauté, lois, théorie de l'arbitraire, bref, la société c'est tout ce que l'homme a en lui et exprime au quotidien.
Et la société est sociétés : société générale, société des nations, sociétés commerciales, société protectrice des animaux , société du spectacle, société écran, jeux de sociétés, etc...
Tu te plies au système, tu paies tes impôts ou alors tu fous tout dans un paradis fiscal, t'es redevable envers la société, tu fais un pet de travers, un mot plus haut que l'autre, un téléchargement sur la mule prohibé, un dépassement de vitesse, un verre de trop, j'en passe et des meilleurs, et t'es bon pour la sociéte des malfrats.
La société n'est pas liberticide, enfin tout dépend de quelle société l'on parle, mais elle en a parfois des des relents
Maintenant si tu veux je peux te parler de la satiété :whistling
Je ne suis pas vraiment d'accord avec Math...Le mythe du bon sauvage je n'y crois pas trop, quant aux écrits de Rousseau, je pense que ça l'arrangeait bien de mettre ses faiblesses et le mal qu'il a commis (je pense à ses enfants notamment...) sur le compte de la société. Son autobiographie repose en effet sur ce principe : je fais ma théorie à la con et je me pose en exemple afin de mieux me déculpabiliser.
Pour moi nous sommes ce que nous sommes, la vie en société n'a qu'un impact superficiel sur notre nature et son influence sur nos actes ne s'opère que dans des les conditions où la société fonctionne pour nous. C'est à dire que lorsque tout va comme prévu, ou plutôt lorsque nos petits bonheurs et malheurs n'échappent pas à la normalité, nous obéissons aux règles implicites de la société et conservons le comportement que celle-ci nous a imposé.
En revanche, lorsque une situation imprévue se présente, lorsque quelque chose nous place à la marge de la société, c'est là qu'on observe la véritable nature des gens...Quand les gens sont dos au mur, dans des situations critiques, on observe les véritables comportements, on distingue facilement les courageux et les laches, les égoïstes et les altruistes, les vertueux et les raclures...
Secrétaire Général de la branche OpiOMane du C.C.C
Maitre_Zakk a écrit :Je ne suis pas vraiment d'accord avec Math...Le mythe du bon sauvage je n'y crois pas trop, quant aux écrits de Rousseau, je pense que ça l'arrangeait bien de mettre ses faiblesses et le mal qu'il a commis (je pense à ses enfants notamment...) sur le compte de la société. Son autobiographie repose en effet sur ce principe : je fais ma théorie à la con et je me pose en exemple afin de mieux me déculpabiliser.
Pour moi nous sommes ce que nous sommes, la vie en société n'a qu'un impact superficiel sur notre nature et son influence sur nos actes ne s'opère que dans des les conditions où la société fonctionne pour nous. C'est à dire que lorsque tout va comme prévu, ou plutôt lorsque nos petits bonheurs et malheurs n'échappent pas à la normalité, nous obéissons aux règles implicites de la société et conservons le comportement que celle-ci nous a imposé.
En revanche, lorsque une situation imprévue se présente, lorsque quelque chose nous place à la marge de la société, c'est là qu'on observe la véritable nature des gens...Quand les gens sont dos au mur, dans des situations critiques, on observe les véritables comportements, on distingue facilement les courageux et les laches, les égoïstes et les altruistes, les vertueux et les raclures...
Et je dirais même plus: notre nature a un impact énorme sur la vie en société...
Clarky a écrit :Exactement Bakayoyo, moi je te dirais que l'Homme a fait la société et que la société a défait l'Homme.
Après vouloir donner absolument une définition de la Société, je laisse ça aux sociétaires de l'Académie Française.
La société d'un point de vue purement technique ça me gonfle un peu, l'aspect communauté, lois, théorie de l'arbitraire, bref, la société c'est tout ce que l'homme a en lui et exprime au quotidien.
Et la société est sociétés : société générale, société des nations, sociétés commerciales, société protectrice des animaux , société du spectacle, société écran, jeux de sociétés, etc...
Tu te plies au système, tu paies tes impôts ou alors tu fous tout dans un paradis fiscal, t'es redevable envers la société, tu fais un pet de travers, un mot plus haut que l'autre, un téléchargement sur la mule prohibé, un dépassement de vitesse, un verre de trop, j'en passe et des meilleurs, et t'es bon pour la sociéte des malfrats.
La société n'est pas liberticide, enfin tout dépend de quelle société l'on parle, mais elle en a parfois des des relents
Maintenant si tu veux je peux te parler de la satiété :whistling
Maitre_Zakk a écrit :quant aux écrits de Rousseau, je pense que ça l'arrangeait bien de mettre ses faiblesses et le mal qu'il a commis (je pense à ses enfants notamment...) sur le compte de la société...
homeralb a écrit :clarky un anarchiste parmi nous ????:mf_laug2
Je me doutais bien qu'un jour on allait me la faire, la belle affaire:whistling
Le "Ni Dieu ni maître" m'aurait bien tenté pendant ma jeunesse de jeune adulte un peu béta et revendicatif, mais malheureusement, je vais te décevoir, je ne crois pas à ce genre de conception, la société du chaos, sans foi ni loi c'est de l'utopie.
Et cynisme ne veut pas forcément dire anarchiste, je serais plutôt à l'opposé de cette violence, plus un pacifiste qui sait néanmoins distribuer s'il le faut.
Après c'est qu'une question d'interprétation et de culture personnelle, l'on grandit dans un milieu social qui nous fait voir les choses différemment, moi je considère que la société (encore elle la garce ) dans laquelle je vis ne me convient pas ou plus, je suis certainement un doux rêveur, mais je ne pense qu'à me casser dans ma forêt Ardéchoise et y vivre paisiblement, sans informatique, pollution et autre connard qui me pompe toute la journée pour savoir si AMD c'est mieux qu'Intel et s'il faut un switch plutôt qu'un Hub pour un réseau de 8 postes maxi, cascade cascade le tout et tu sauras, si je n'avais pas des devoirs parentaux je me serais déjà barré, c'est une certitude, maintenant je suis comme tout le monde, je participe à la vie sociétale et je constate, subjectivement assurément, que tout est loin d'aller bien ici-bas
Alors tiers-mondain ou tiers-mondiste, chez nous on a le quart-monde et je constate simplement que y'a pas mal de gars qui s'en battent les papailles.
Coluche n'est plus là pour l'ouvrir et ce n'est pas le discours sur la fracture sociale qui fait avancer le schmilblick.
Clarky a écrit :Je me doutais bien qu'un jour on allait me la faire, la belle affaire:whistling
Le "Ni Dieu ni maître" m'aurait bien tenté pendant ma jeunesse de jeune adulte un peu béta et revendicatif, mais malheureusement, je vais te décevoir, je ne crois pas à ce genre de conception, la société du chaos, sans foi ni loi c'est de l'utopie.
Et cynisme ne veut pas forcément dire anarchiste, je serais plutôt à l'opposé de cette violence, plus un pacifiste qui sait néanmoins distribuer s'il le faut.
Après c'est qu'une question d'interprétation et de culture personnelle, l'on grandit dans un milieu social qui nous fait voir les choses différemment, moi je considère que la société (encore elle la garce ) dans laquelle je vis ne me convient pas ou plus, je suis certainement un doux rêveur, mais je ne pense qu'à me casser dans ma forêt Ardéchoise et y vivre paisiblement, sans informatique, pollution et autre connard qui me pompe toute la journée pour savoir si AMD c'est mieux qu'Intel et s'il faut un switch plutôt qu'un Hub pour un réseau de 8 postes maxi, cascade cascade le tout et tu sauras, si je n'avais pas des devoirs parentaux je me serais déjà barré, c'est une certitude, maintenant je suis comme tout le monde, je participe à la vie sociétale et je constate, subjectivement assurément, que tout est loin d'aller bien ici-bas
Alors tiers-mondain ou tiers-mondiste, chez nous on a le quart-monde et je constate simplement que y'a pas mal de gars qui s'en battent les papailles.
Coluche n'est plus là pour l'ouvrir et ce n'est pas le discours sur la fracture sociale qui fait avancer le schmilblick.
c'est sûr ce soir je meurs moins idiot:huh: même si je ne partage pas ta pensée neanmoins je la respecte . En ce qui me concerne j'opterai volontiers pour un tiers-mondiste au lieu d'un tiers-mondain
Citation :Maladroit...peut-être.
En attendant dès qu'on lui fait remarquer qu'il s'enflamme il n'oublie pas de tailler des costards (je suis par exemple le beauf de forum, un footix, le sosie de webmastre, raï a eu son lot aussi, comme Cheesy.........Bizarrement BM n'y a pas eu droit)
Faut peut-être, de temps à temps, tourner 7 fois le clavier avant de l'ouvrir et de s'en prendre à tout le monde.....
Au départ, j'ai réagi car je trouve stupide une certaine définition du supporter.
J'ai du mal aussi à lire que lorsqu'on a participé de près ou de loin à la réalisation du "M" de Marseille sur un tifo, on peut prétendre être plus qu' "spectateur" au vélodrome.
Ceci dit je ne réagirai plus sur ces posts
Primo, je tiens à dire que je ne partage pas le point de vue qu'a Yankee sur RAI, ils ont un contentieux, après tout c'est pas mon problème, je ne suis pas mère Thérésa, ni le condé de service qui va intervenir, y'a les MP pour ça.
J'apprécie RAI à travers l'échange que j'ai pu avoir avec lui dans ce même topic, je me fous de savoir qu'il pense différemment, je ne vais pas lui planter des insultes pour si peu.
Quant à Yankee, j'ai eu une prise de bec au tout début de ma vie sur le forum, je pensais vraiment que c'était un petit con de base, mais mes à priori mis de côté, je me suis aperçu que le minot est un écorché vif, et pour des raisons que je n'ai pas à étaler ici, Yankee est en ce moment un impulsif.
Je vous assure que le fait de l'avoir rencontré casse l'image du supporter débile que vous pouvez vous en faire, on est franchement à des années lumière d'avoir la même optique sur des sujets sensibles, mais ce mec là a quelque chose de foncièrement bon, ce n'est pas un gros bourrin.
Maintenant on n'est pas obligé de plaire à tout le monde, je pense que c'est la devise de Yankee, que je fais mienne aussi d'ailleurs, mais les posts sont parfois bien trompeurs, dans les deux sens.
Pour répondre à Mac bou, je te dirai que je dois être moi aussi un footix, violent parfois dans mes propos mais néanmoins un footix puisque je ne m'abonne plus, je vais en Ganay et privilégie ma vie de famille à un match de l'OM.
Je ne vais pas revenir sur la déf du bon et du mauvais supporter, c'est une belle connerie tout ça, on est tous supporters point barre, après le reste c'est du snobisme.
Et tu dis que y'a pas d'attaques contre Boeuf parce qu'il est responsable du site, ma foi, moi je vais dire à Boeuf et l'attaquer en direct live, c'est quoi ces liens vers le FIGARO si tu continues je vais balancer ceux du Nouvel Obs et de Libé
Faut que chacun apprenne à prendre un peu sur soi parce qu'aussi non on n'est pas prêts de sortir de l'auberge...de jeunesse.