12-07-2004, 12:07
Avant-propos du redacteur, toute invraisemblance, erreur, omission ou exagération n'est pas fortuite mais certainement délibérée de ma part, n'en déplaise aux puristes de l'exactitude et de l'exhaustivité des faits avancés.
L'histoire nous enseigne qu'il ne faut jamais oublier son passé, illustre ou peu glorieux, il sert de référence pour certains, mais il est parfois préférable de le travestir pour s'en amuser gentiment.
Celle qui m'a été contée par un ultra plus que convaincu mais malgré tout désabusé est la source de cette tranche d'histoire...
1993, la génèse, la quête du saint Graal est enfin achevée, les troupes romaines de l'empereur Caligula et notoirement celles de maître Capello, sont défaites (1-0) par un esclave affranchi et devenu libre en terre du milieu (marseillais), Bolicus, sa revanche sur le sort fut (de chêne c'est meilleur pour le vieillissement divin) impitoyable.
Humilié par les hordes slaves orthodoxes dont l'oriflamme était une étoile rouge, à une époque où le patriarche pope Diouf n'était pas encore entré en religion et se contentait de monnayer au plus offrant ses bipèdes enchaînés, il prit le temps d'occir les hordes païennes locales et sécha ses larmes dans son coliseum de l'avenue Michelet.
Bolicus honora tout un peuple en lui offrant le calice si précieux et tant convoité.
Les jeux du cirque se passaient à Lutèce mais tout le monde savait que "le parc est parisien et les princes sont olympiens", la cohorte olympienne avancée inéxorablement, imperturbable, sûr d'elle et de son chef Nanard le barbare, l'armée levée par le cousin belge affutait ses glaives, crampons, pelle pour jean-jacques, rien ne pouvait nous arriver, les transes s'organisaient dans chaque coin de la cité, le murmure grandissant de l'apogée olympienne se faisait entendre jusqu'en terra incognita.
Le souffle de la victoire se fit entendre dans toutes les contrées, à jamais les premiers et les scribes de l'imprimer sur leur papier russe (abramovitch Corp.)
Oui mais voilà, un groupuscule influant et conspirateur fomentait depuis quelques temps déjà la chute de l'empire "oùtoument".
Le coup fut terrible et profond, la fronde machiavellique fit vaciller le colosse aux pieds d'argile, le vésuve breton s'acharna sur la provence, telle la peste à venir de 1720, nous fumes bannis et traités comme des pestiférés, nul soutien ne vint nous épauler, il y eut bien l'épisode de la course de char le fameux "Quadrige" moteur turbo 12 cylindres enviés, un dépité et même notre Vercingetorix de la mitterrandie qui tenta vainement d'absoudre le corrupteur corrompu en lui adressant publiquement et officiellement son attachement et l'amitié qu'il lui portait, malheureusement rien ne serait désormais plus comme avant.
Le sacre allait être de courte durée, la liesse aussi d'ailleurs, tous étaient d'accord pour anéantir la gloire passée, l'effacer de la mémoire collective, que seul ne perdure le sentiment de tricherie et de méfiance à notre égard.
le temps des vaches maigres arriva, les mercenaires fuirent au plus vite la galère, l'édifice sombra dans les méandres de la D2, une division guerrière titannesque, une lutte de tous les instants pour reprendre vie et se sortir du magma de la médiocrité.
Mais le glaive et la balance (non je ne vise personne en particulier) étaient toujours aux aguets, et les peines et sanctions tombèrent comme prévues.
L'ère des danses du ventre orgiaques et du plaisir des yeux se diluèrent dans le jugement dernier, Nanard le barbare fut déchu et expatrié, interdiction absolue de faire prévaloir quelque prérogative que ce soit dans l'enceinte du Vel antique.
Il fut chassé, conspué et sommé de quitter au plus vite le monde de la "caballe".
Il faut reconstruire, trouver un nouveau roitelet, la tâche est ardue mais pas désespérée.
Les hiéroglyphes de la maison blanche vont être confiés à un helvette richissime, emprunté de maladresse mais intrônisé par le bourgmestre Gaudin, gloire à toi RLDicus, mène nous à nouveau vers les champs de bataille glorieux et que notre aura soit restaurée, la voie Aurelienne passant par les alyscamps t'attend, les champs élysées de nos gloires passées n'ont que trop sommeillé, battons à nouveau le fer et que notre rayonnement illumine une nouvelle fois les théâtres antiques.
Seulement voilà, le dechiffrage du signe égyptien MIDO par Champo(my)lion à coup de verres de rosé n'a pas le même effet que la pierre de rosette.
Plus inquiétant et affligeant a été la succession de petits caporaux au sommet de la pyramide hiérarchique de l'OMelisque, pire encore les héros d'hier se sont avérés être les bourreaux d'aujourd'hui, le retour programmé de Nanard le barbare va vite tourner à la bérésina, une campagne de Russie en annonçant peut-être une autre (see you soon DD and take care...).
Le chant des partisans se faisant murmure, l'idole passée s'en est allée comme une starlette désenchantée, fini le feu sacré, les chants grégoriens assourdissant les plus téméraires, place aux querelles, à la délation, le marché noir de nos nuits blanches, les faux et usages de faux, les fous et usages de fous, des réseaux de collabos mis en exergue, trafics d'influence exacerbés, rien ne nous sera donc épargné.
C'est à ce moment là que ma faiblesse d'esprit m'a fait quitter le vaisseau fantôme, le chant du cygne persistant m'a contraint à delaisser mon abonnement, j'ai connu des moments de peine énormissimes, la raillerie, on m'a traité de traitre, de quitter le navire dans la tourmente, sauf que j'étais de ceux qui allaient se frapper les joutes peu bandantes de la deuxième division , pas trop blindée celle là et sans le général Leclerc, et finalement ce qui allait suivre m'a conforté dans ma prise de position.
Les épisodes contemporains et burlesques de la Courbis Corporation, le sambathique "Ah Belle la Bragaette", le toreador Clemente et le troyen qui n'aura finalement jamais vaincu Pâris puisque c'est Philoctète qui lui fera mordre la poussière, néanmoins Cassandre la devineresse aura droit à une gorgée du nectar des dieux l'hydrOMel.
Nous sommes désormais au début d'un nouveau siécle, et à l'instar de Victor Hugo je pourrais dire que ce siècle avait 4 ans et que de grandes espérances (Dickens et pas dick heinz) sont à venir, mais le nouveau soutier risque de s'échouer sur les bancs sablonneux qui mènent vers l'arche perdue du savoir, ce nouveau conquistador n'est pas à la tête d'une invincible armada, nous ne possédons que la Niña, point de Pinta et de Santa Maria, et son emblématique figure de proue, la Black pearl, risque de faire chavirer tout le vaisseau de l'angoisse si un armateur ruskoff fortuné se l'approprie.
Nous sommes à la croisée des chemins, des sentiers tortueux qui sait, il y a la fameuse règle des "faire", "le vouloir faire", "le savoir faire" et "le pouvoir faire", laquelle va s'appliquer cette année, réponse bientôt au vu des résultats, pourvu qu'un quatrième ne vienne pas troubler le trio infernal, "le plus rien à faire" synonyme de chaos assuré et donc d'apocalypse biblique et fin du mOMde.
L'on dit que parfois l'histoire se répète, mais cette répétition devient lassante depuis quelques années maintenant, rien , pas le moindre sursaut d'orgueil, des blah blah et encore des blah blah, mais pour un petit trophée on peut toujours se lamenter et faire comme ma soeur Anne qui ne voit inlassablement rien venir.
Angelus ou tocsin, tout est dans la sonorité, vivas ou insultes, là sera la finalité.
L'histoire nous enseigne qu'il ne faut jamais oublier son passé, illustre ou peu glorieux, il sert de référence pour certains, mais il est parfois préférable de le travestir pour s'en amuser gentiment.
Celle qui m'a été contée par un ultra plus que convaincu mais malgré tout désabusé est la source de cette tranche d'histoire...
1993, la génèse, la quête du saint Graal est enfin achevée, les troupes romaines de l'empereur Caligula et notoirement celles de maître Capello, sont défaites (1-0) par un esclave affranchi et devenu libre en terre du milieu (marseillais), Bolicus, sa revanche sur le sort fut (de chêne c'est meilleur pour le vieillissement divin) impitoyable.
Humilié par les hordes slaves orthodoxes dont l'oriflamme était une étoile rouge, à une époque où le patriarche pope Diouf n'était pas encore entré en religion et se contentait de monnayer au plus offrant ses bipèdes enchaînés, il prit le temps d'occir les hordes païennes locales et sécha ses larmes dans son coliseum de l'avenue Michelet.
Bolicus honora tout un peuple en lui offrant le calice si précieux et tant convoité.
Les jeux du cirque se passaient à Lutèce mais tout le monde savait que "le parc est parisien et les princes sont olympiens", la cohorte olympienne avancée inéxorablement, imperturbable, sûr d'elle et de son chef Nanard le barbare, l'armée levée par le cousin belge affutait ses glaives, crampons, pelle pour jean-jacques, rien ne pouvait nous arriver, les transes s'organisaient dans chaque coin de la cité, le murmure grandissant de l'apogée olympienne se faisait entendre jusqu'en terra incognita.
Le souffle de la victoire se fit entendre dans toutes les contrées, à jamais les premiers et les scribes de l'imprimer sur leur papier russe (abramovitch Corp.)
Oui mais voilà, un groupuscule influant et conspirateur fomentait depuis quelques temps déjà la chute de l'empire "oùtoument".
Le coup fut terrible et profond, la fronde machiavellique fit vaciller le colosse aux pieds d'argile, le vésuve breton s'acharna sur la provence, telle la peste à venir de 1720, nous fumes bannis et traités comme des pestiférés, nul soutien ne vint nous épauler, il y eut bien l'épisode de la course de char le fameux "Quadrige" moteur turbo 12 cylindres enviés, un dépité et même notre Vercingetorix de la mitterrandie qui tenta vainement d'absoudre le corrupteur corrompu en lui adressant publiquement et officiellement son attachement et l'amitié qu'il lui portait, malheureusement rien ne serait désormais plus comme avant.
Le sacre allait être de courte durée, la liesse aussi d'ailleurs, tous étaient d'accord pour anéantir la gloire passée, l'effacer de la mémoire collective, que seul ne perdure le sentiment de tricherie et de méfiance à notre égard.
le temps des vaches maigres arriva, les mercenaires fuirent au plus vite la galère, l'édifice sombra dans les méandres de la D2, une division guerrière titannesque, une lutte de tous les instants pour reprendre vie et se sortir du magma de la médiocrité.
Mais le glaive et la balance (non je ne vise personne en particulier) étaient toujours aux aguets, et les peines et sanctions tombèrent comme prévues.
L'ère des danses du ventre orgiaques et du plaisir des yeux se diluèrent dans le jugement dernier, Nanard le barbare fut déchu et expatrié, interdiction absolue de faire prévaloir quelque prérogative que ce soit dans l'enceinte du Vel antique.
Il fut chassé, conspué et sommé de quitter au plus vite le monde de la "caballe".
Il faut reconstruire, trouver un nouveau roitelet, la tâche est ardue mais pas désespérée.
Les hiéroglyphes de la maison blanche vont être confiés à un helvette richissime, emprunté de maladresse mais intrônisé par le bourgmestre Gaudin, gloire à toi RLDicus, mène nous à nouveau vers les champs de bataille glorieux et que notre aura soit restaurée, la voie Aurelienne passant par les alyscamps t'attend, les champs élysées de nos gloires passées n'ont que trop sommeillé, battons à nouveau le fer et que notre rayonnement illumine une nouvelle fois les théâtres antiques.
Seulement voilà, le dechiffrage du signe égyptien MIDO par Champo(my)lion à coup de verres de rosé n'a pas le même effet que la pierre de rosette.
Plus inquiétant et affligeant a été la succession de petits caporaux au sommet de la pyramide hiérarchique de l'OMelisque, pire encore les héros d'hier se sont avérés être les bourreaux d'aujourd'hui, le retour programmé de Nanard le barbare va vite tourner à la bérésina, une campagne de Russie en annonçant peut-être une autre (see you soon DD and take care...).
Le chant des partisans se faisant murmure, l'idole passée s'en est allée comme une starlette désenchantée, fini le feu sacré, les chants grégoriens assourdissant les plus téméraires, place aux querelles, à la délation, le marché noir de nos nuits blanches, les faux et usages de faux, les fous et usages de fous, des réseaux de collabos mis en exergue, trafics d'influence exacerbés, rien ne nous sera donc épargné.
C'est à ce moment là que ma faiblesse d'esprit m'a fait quitter le vaisseau fantôme, le chant du cygne persistant m'a contraint à delaisser mon abonnement, j'ai connu des moments de peine énormissimes, la raillerie, on m'a traité de traitre, de quitter le navire dans la tourmente, sauf que j'étais de ceux qui allaient se frapper les joutes peu bandantes de la deuxième division , pas trop blindée celle là et sans le général Leclerc, et finalement ce qui allait suivre m'a conforté dans ma prise de position.
Les épisodes contemporains et burlesques de la Courbis Corporation, le sambathique "Ah Belle la Bragaette", le toreador Clemente et le troyen qui n'aura finalement jamais vaincu Pâris puisque c'est Philoctète qui lui fera mordre la poussière, néanmoins Cassandre la devineresse aura droit à une gorgée du nectar des dieux l'hydrOMel.
Nous sommes désormais au début d'un nouveau siécle, et à l'instar de Victor Hugo je pourrais dire que ce siècle avait 4 ans et que de grandes espérances (Dickens et pas dick heinz) sont à venir, mais le nouveau soutier risque de s'échouer sur les bancs sablonneux qui mènent vers l'arche perdue du savoir, ce nouveau conquistador n'est pas à la tête d'une invincible armada, nous ne possédons que la Niña, point de Pinta et de Santa Maria, et son emblématique figure de proue, la Black pearl, risque de faire chavirer tout le vaisseau de l'angoisse si un armateur ruskoff fortuné se l'approprie.
Nous sommes à la croisée des chemins, des sentiers tortueux qui sait, il y a la fameuse règle des "faire", "le vouloir faire", "le savoir faire" et "le pouvoir faire", laquelle va s'appliquer cette année, réponse bientôt au vu des résultats, pourvu qu'un quatrième ne vienne pas troubler le trio infernal, "le plus rien à faire" synonyme de chaos assuré et donc d'apocalypse biblique et fin du mOMde.
L'on dit que parfois l'histoire se répète, mais cette répétition devient lassante depuis quelques années maintenant, rien , pas le moindre sursaut d'orgueil, des blah blah et encore des blah blah, mais pour un petit trophée on peut toujours se lamenter et faire comme ma soeur Anne qui ne voit inlassablement rien venir.
Angelus ou tocsin, tout est dans la sonorité, vivas ou insultes, là sera la finalité.