Score du match si les attaquants avaient fait devant le but ce qu'ils auraient dû faire selon Dugarry : 8-5.
Score du match si les attaquants avaient fait devant le but ce que faisait Dugarry en son temps: 0-0.
@ les Cahiers du Football
Punaise, je comprendrais jamais ce besoin qu'ont les gens de flirter avec la mort ou l'adrénaline.
Moi si je veux de l'adrénaline, je bois. Puis vouloir voler c'est con, est ce qu'on demande aux pigeons de conduire des bagnoles à 300 km/h ?
Déja qu'au premier étage de la Tour Eiffel je flippe.... Si mes pieds touchent pas la terre, je sens comme une faux au dessus de moi. Et dire que des mecs s'en foutent. Chapeau, ou tant pis, pour eux.
(06-11-2011, 13:53)el chi a écrit : Punaise, je comprendrais jamais ce besoin qu'ont les gens de flirter avec la mort ou l'adrénaline.
Moi si je veux de l'adrénaline, je bois. Puis vouloir voler c'est con, est ce qu'on demande aux pigeons de conduire des bagnoles à 300 km/h ?
Déja qu'au premier étage de la Tour Eiffel je flippe.... Si mes pieds touchent pas la terre, je sens comme une faux au dessus de moi. Et dire que des mecs s'en foutent. Chapeau, ou tant pis, pour eux.
Cher Chi, faut qu'on s'explique.
Déjà, de l'adrénaline si tu bois, faut m'expliquer ce que tu bois
Sinon, concernant les pigeons, à chaque fois que je vois un rapace enrouler un thermique à l'aise alors que je galère a essayer de monter, c'est exactement comme ça que je me rassure.
- Monsieur le faucon, tu fais le malin, mais au 400 mètres nage libre, j'te nique!
Sinon, je te rassure, entre un baptême de vol et ces illuminés, y'a quand même de l'espace.
L'art est un labyrinthe dont la prouesse est de trouver l'entrée.
(06-11-2011, 17:19)Aqwarium a écrit : Bon, j'ai jamais essayé de voler avec un escabeau mais pourquoi pas.
L'atterrissage, c'est un peu chaud à mon avis ceci-dit.
Sinon, je me répète :
Le vertige, c'est quand on a peur de tomber.
En l'air, on est déjà en train de tomber.
Donc si les pieds ne touchent pas le sol, point de vertige.
Keep on, je te l'offre ton baptême.
ouais genre la blague du mec qui dit que le plus dur c'est pas la chute mais l'atterrissage tu la feras pas à moi.
J'anticipe trop moa !
D2solé mais le truc de tu sautes d'abord tu réfléchis après, non. puis faudrait être con, ça voudrait dire que tes gestes les plus fous, tu ne calcules pas les probabilités de malchance, non réussite, ou autres.... Donc je répète, je vous laisse vous éclater à faire du parachute avec des sacs Carrefour, moi je vous attends au bar
(06-11-2011, 18:57)el chi a écrit : ouais genre la blague du mec qui dit que le plus dur c'est pas la chute mais l'atterrissage tu la feras pas à moi.
J'anticipe trop moa !
D2solé mais le truc de tu sautes d'abord tu réfléchis après, non. puis faudrait être con, ça voudrait dire que tes gestes les plus fous, tu ne calcules pas les probabilités de malchance, non réussite, ou autres.... Donc je répète, je vous laisse vous éclater à faire du parachute avec des sacs Carrefour, moi je vous attends au bar
Rho s'te mauvaise foie
Je disais que l'atterrissage, ca doit être dur avec un escabal.
Sinon, t'as entièrement raison, c'est le genre de truc qu'il ne faut faire que si on en a envie.
Donc, attend au barapente, le baleineau a l'air motivé, il te convaincra par la suite.
L'art est un labyrinthe dont la prouesse est de trouver l'entrée.
pfff il a même pas réussi à me faire sauter dans le Vieux Port...
N'empêche qu'heureusement que j'ai pas eu ça pour mon enterrment de vie de garçon, que ce soit parachute ou saut à l'élastique je me serais faché et refusé de faire le truc.
M'enfin je déconne, je conçois que la décharge d'adré doit être kiffante et l'impression de vol sublime mais c'est trop pour moi. je vous rappelle que moi je marche généralement
<VRP>
Non, mais le parapente, rien à voir avec la chute libre ou l'élastique.
D'ailleurs le but, c'est de monter, pas de descendre.
Donc, pas tellement d'adrénaline. Finalement, ça s'apparente plus à de la plongée, trois dimensions, super zen, toussa toussa.
L'autre jour, j'ai passé une heure a gratter un relief et a lutter.
Un coup, j'avais gagné 50 mètres, 50 secondes après j'avais tout reperdu. J'ai quand même réussi a remonter jusqu'à 200 mètres au dessus le décollage pour finalement aller me poser avant de mourir congelé.
Tu vois, c'est tout cool.
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Edith: bon sinon, direction paname demain matin. On boit un coup ou bien ?
L'art est un labyrinthe dont la prouesse est de trouver l'entrée.