14-06-2004, 19:45
En ce jour de grâce présidentielle, le président Bouchet ne réclame finalement que la queue et les oreilles de maîstre Perrin, la mise à mort a été ordonnée de vive voix, l'homme tient sa victime expiatoire, point de rédemption pour ce fornicateur, avoir péché par la chair semble mettre notre traiteur intraitable hors de lui.
Bouchet charge quand Perrin décharge.
La consommation à 4,5 millions d'euros n'est plus à l'ordre du jour, à la commanderie on améliore les passes, en profondeur si possible, Perrin ne l'a que trop bien con pris.
L'homme est de chair et cher sera le con promis.
Ah Laure Rohr, coupable de s'être abandonnée, alain l'a prise sans rechigner, ni resigner puisque évain sait.
Alors, devant tant de fourberie de Scapine, mon canard se déchaîne et sa plume se revolte le bounty.
J'accuse
Monsieur le Président,
Connaissant le souci de votre juste gloire, si heureuse jusqu'ici, l'heure n'et plus à la cocuphonie médiatique.
La calomnie semble vous élever au titre suprême de co-menteur de la légion d'honneur.
L'aura de votre présidence semble moindre, l'entente cordiale post divorce d'avec Perrin tourne à la Bérésina, Satan l'habite mais sa dame est saine pourtant.
Ne voyez vous pas Monsieur le président que le peuple se lasse, à défaut de se prélasser, alors que Perrin lui s'enlasse et bientôt cent liasses.
Puisque vouz avez osé, j'oserai aussi. La vérité, je la dirai, si la justice, régulièrement saisie, ne la faisait pas, pleine et entière, mais pas la justice divine ou celle des hommes de lex, non celle du Vel, elle seule peut émettre un jus de jument dernier. Mon devoir est de parler, je ne veux plus être complice.
Vous êtes un nain posteur, quid de vos promesses, l'OM se meurt, "les raisons de la colère" ne font qu'accentuer la grande dépression collective, Stein et Beck n'ont plus que des soucis et des chromosomes à votre edgard, trisomie 21 voilà votre nouvel affect à Sion.
Votre action se résume à des effets d'annonce et à amasser le plus de fric possible, mais le sportif reste ennuyeux voire orphelin depuis 1993.
Quel ennui au Vel, et là je vais me faire violence, parce que tout le monde est fautif, coupable de léthargie collective, les supporters se font calmer à coups de perrin démission et se font flouer par le régional de l'étape qui en matière de dérapages verbaux n'a rien à vous envier cher président, Pat et Marc Oni la voix de son maitre.
Le discours de la méthode la caution Marseillaise nous a valu une finale de coupe d'europe, moi je suis partisan, comme Perrin d'ailleurs, de la croupe de l'autre, la Vénus du McDO de Millau a plus d'atouts(chements).
Je ne suis pas de votre comité de soutien, je ne fais pas mienne votre rhétorique qui consiste à mettre en lumière des faits que tout un chacun ne connaît que trop bien, l'OM génère la passion, l'excès, la convoitise, la haine, la mise à l'index et parfois le majeur plus que l'index étant de mise, mais permettez moi de vous dire, Mister President, "qu'une saison blanche et sèche" de plus pourrait très vite se résumer à "un voyage au bout de l'enfer" suivi "d'une mort à l'arrivée", la votre mon cher et non celle d'un commis voyageur.
Et vous pourriez ainsi passer très vite de vie à trépas, comme votre "empire des loups" le fait subir à la Perrine effarouchée, chez les vétos on appelle ça la Perrinetoxique Infectieuse Fiéline.
Tant et tant de choses me gavent, quand allez vous enfin annoncer l'arrivée des joueurs de renommée promis, parce que le "qui veut gagner des millions" ne semble pour l'instant convaincre que peu de monde.
Votre discours face caméra semble moins bien passer face à face, Diouf s'émousse et brouille les pistes, la caution Marseillaise ne dit plus rien, et votre cour est devenue aphone.
Vous n'êtes plus au Nouvel Obs, à traquer l'enveloppe au fond du jardin, aussi cultivé soit-il, le jugement dernier approche.
Entendez-vous poindre la révolte des gueux, vox populi vox dei, n'en déplaise à Mr Raffarin et à vous même, vous ne pourrez pas vous soustraire à la vindicte des petites gens, leur clairvoyance vaut tout autant que la vôtre, le dédain semble être votre marque de fabrique, loin de moi la volonté de faire un delit de faciès tant la sale gueule vous l'aviez déjà.
De tous les présidents olympiens encore en mémoire, vous me sembliez être le plus approprié, abstraction faite de Nanard Ier, d'où ce sentiment étrange qui me traverse la chine, ma contradiction et ma confusion sont flagrantes, alors hâtez vous mon ami car la recherche du temps perdu est comme la hausse du prix des cigarettes et la dérive des continents, inéluctable..
Dreyfus a été en son temps conspué, insulté, sali, mais je n'ai jamais fait partie de la meute quand la caravane passait, malgré son air lunatique, l'homme n'a jamais changé son fusil d'épaule et pourtant dieu sait qu'a sa place j'aurais tout envoyer valser, pas en quatre temps mais en quatrième vitesse.
Il a été le Schpountz, le Monsieur Jean du Papet et de l'Ugolin, on l'a même emmené au 36 quai des orfèvres pour de sombres affaires de cours bis et de dubithon, mais les enfants de se marrer quand on sait que les tontons flingueurs n'étaient jamais très loin.
Robert louis était innocent, sa maladresse a failli le perdre et nous avec.
Je ne suis militant d'aucune cause car me réserve le droit (au but) de pouvoir penser avec ma tête et non celle d'un quelconque meneur de croupions.
Je n'ai qu'une passion (non en fait j'en ai plein d'autres mais là c'est pour la théatralité de l'effet), celle de l'OM, au nom du supporter qui a tant souffert et qui a droit au bonheur. Ma protestation enflammée n'est que le gris de mon âme. Qu'on ose donc me traduire en cour d'assises (loge présidentielle de préférence tant qu'à faire) et que l'enquête ait lieu au grand jour !
J'attends.
Bouchet charge quand Perrin décharge.
La consommation à 4,5 millions d'euros n'est plus à l'ordre du jour, à la commanderie on améliore les passes, en profondeur si possible, Perrin ne l'a que trop bien con pris.
L'homme est de chair et cher sera le con promis.
Ah Laure Rohr, coupable de s'être abandonnée, alain l'a prise sans rechigner, ni resigner puisque évain sait.
Alors, devant tant de fourberie de Scapine, mon canard se déchaîne et sa plume se revolte le bounty.
J'accuse
Monsieur le Président,
Connaissant le souci de votre juste gloire, si heureuse jusqu'ici, l'heure n'et plus à la cocuphonie médiatique.
La calomnie semble vous élever au titre suprême de co-menteur de la légion d'honneur.
L'aura de votre présidence semble moindre, l'entente cordiale post divorce d'avec Perrin tourne à la Bérésina, Satan l'habite mais sa dame est saine pourtant.
Ne voyez vous pas Monsieur le président que le peuple se lasse, à défaut de se prélasser, alors que Perrin lui s'enlasse et bientôt cent liasses.
Puisque vouz avez osé, j'oserai aussi. La vérité, je la dirai, si la justice, régulièrement saisie, ne la faisait pas, pleine et entière, mais pas la justice divine ou celle des hommes de lex, non celle du Vel, elle seule peut émettre un jus de jument dernier. Mon devoir est de parler, je ne veux plus être complice.
Vous êtes un nain posteur, quid de vos promesses, l'OM se meurt, "les raisons de la colère" ne font qu'accentuer la grande dépression collective, Stein et Beck n'ont plus que des soucis et des chromosomes à votre edgard, trisomie 21 voilà votre nouvel affect à Sion.
Votre action se résume à des effets d'annonce et à amasser le plus de fric possible, mais le sportif reste ennuyeux voire orphelin depuis 1993.
Quel ennui au Vel, et là je vais me faire violence, parce que tout le monde est fautif, coupable de léthargie collective, les supporters se font calmer à coups de perrin démission et se font flouer par le régional de l'étape qui en matière de dérapages verbaux n'a rien à vous envier cher président, Pat et Marc Oni la voix de son maitre.
Le discours de la méthode la caution Marseillaise nous a valu une finale de coupe d'europe, moi je suis partisan, comme Perrin d'ailleurs, de la croupe de l'autre, la Vénus du McDO de Millau a plus d'atouts(chements).
Je ne suis pas de votre comité de soutien, je ne fais pas mienne votre rhétorique qui consiste à mettre en lumière des faits que tout un chacun ne connaît que trop bien, l'OM génère la passion, l'excès, la convoitise, la haine, la mise à l'index et parfois le majeur plus que l'index étant de mise, mais permettez moi de vous dire, Mister President, "qu'une saison blanche et sèche" de plus pourrait très vite se résumer à "un voyage au bout de l'enfer" suivi "d'une mort à l'arrivée", la votre mon cher et non celle d'un commis voyageur.
Et vous pourriez ainsi passer très vite de vie à trépas, comme votre "empire des loups" le fait subir à la Perrine effarouchée, chez les vétos on appelle ça la Perrinetoxique Infectieuse Fiéline.
Tant et tant de choses me gavent, quand allez vous enfin annoncer l'arrivée des joueurs de renommée promis, parce que le "qui veut gagner des millions" ne semble pour l'instant convaincre que peu de monde.
Votre discours face caméra semble moins bien passer face à face, Diouf s'émousse et brouille les pistes, la caution Marseillaise ne dit plus rien, et votre cour est devenue aphone.
Vous n'êtes plus au Nouvel Obs, à traquer l'enveloppe au fond du jardin, aussi cultivé soit-il, le jugement dernier approche.
Entendez-vous poindre la révolte des gueux, vox populi vox dei, n'en déplaise à Mr Raffarin et à vous même, vous ne pourrez pas vous soustraire à la vindicte des petites gens, leur clairvoyance vaut tout autant que la vôtre, le dédain semble être votre marque de fabrique, loin de moi la volonté de faire un delit de faciès tant la sale gueule vous l'aviez déjà.
De tous les présidents olympiens encore en mémoire, vous me sembliez être le plus approprié, abstraction faite de Nanard Ier, d'où ce sentiment étrange qui me traverse la chine, ma contradiction et ma confusion sont flagrantes, alors hâtez vous mon ami car la recherche du temps perdu est comme la hausse du prix des cigarettes et la dérive des continents, inéluctable..
Dreyfus a été en son temps conspué, insulté, sali, mais je n'ai jamais fait partie de la meute quand la caravane passait, malgré son air lunatique, l'homme n'a jamais changé son fusil d'épaule et pourtant dieu sait qu'a sa place j'aurais tout envoyer valser, pas en quatre temps mais en quatrième vitesse.
Il a été le Schpountz, le Monsieur Jean du Papet et de l'Ugolin, on l'a même emmené au 36 quai des orfèvres pour de sombres affaires de cours bis et de dubithon, mais les enfants de se marrer quand on sait que les tontons flingueurs n'étaient jamais très loin.
Robert louis était innocent, sa maladresse a failli le perdre et nous avec.
Je ne suis militant d'aucune cause car me réserve le droit (au but) de pouvoir penser avec ma tête et non celle d'un quelconque meneur de croupions.
Je n'ai qu'une passion (non en fait j'en ai plein d'autres mais là c'est pour la théatralité de l'effet), celle de l'OM, au nom du supporter qui a tant souffert et qui a droit au bonheur. Ma protestation enflammée n'est que le gris de mon âme. Qu'on ose donc me traduire en cour d'assises (loge présidentielle de préférence tant qu'à faire) et que l'enquête ait lieu au grand jour !
J'attends.