30-05-2004, 14:35
Ils sont déjà rentrés ou vont rentrer prochainement dans les ordres, ou dans le rang c'est selon, le petit Benoît, milieu de terrain défensif qui n’hésite pas à faire usage de ses brillantes ouvertures, Sacristi qu’il est bon. Après un court passage dans l’Hérault, le Pape se décida à rapporter de son périple les seize cierges qui furent allumés cette saison à la Mosson, Habib Bamogo. Ensuite, par la bonté qui qualifie le Black Pontif, le pardon fut accordé à Juda qui avant de rallier la noble cause fît un dernier chemin de croix, comme pour mieux se faire adouber sur l’autel du Vel, au Stade de France vilipendé par des hérétiques, nul doute que ses ultimes baisers furent chaleureux à leur égard après avoir soulevé le Saint Graal. Avec ce châtiment, on accuserait presque Dehu d’avoir déjà croqué dans la Melrose alors qu’il n’en est rien. En gros, notre ecclésiastique en chef est déjà parvenu à indiquer le chemin de la terre promise et de l’étoile du Bouchet aux trois Mages sus-cités et ce n’était pas une messe à faire.
Toujours à la recherche des futures merveilles du microcosme marseillais, le Pape mobile parcours de long en large, et surtout de travers en ce moment, les citadelles européennes pour y dénicher LE joyau parmi les joyaux. Les promesses divines semblent avoir été oubliées au confessionnal …
Bréchet : Ex-pensionnaire de l’arrière-garde Lyonnaise, dont le parcours n’est pas sans rappeler les souffrances d’un certain Christ en terre catalane, pourrait être l’élu désigné par notre Eminence grise pour occuper le flanc gauche, véritable couloir des courants d’air. Choix déconcertant pour un jeune prosélite sur le flanc justement, meurtri par les blessures et souffrant du manque de considération de son entraîneur. Dans le cadre de sa venue, un prêt avec achat en option paraît la solution la plus sage afin d’éviter le désarroi et inspirer la pitié, dans le cas contraire le montant de la clause ne devra pas être rédhibitoire à l’image du montant d’un chameau qui va nous coûter au final le prix d’une oasis.
Serginho : Sorte de Sorin à la brésilienne, grande énigme de ce marché aux ânes, profil intéressant, bon dribleur, buteur très occasionnel, mais qui peine à prendre place su la Cène milanaise. Pour un trentenaire, le prêt semble également être la solution adéquate en attendant une résurrection sur le Mont Olympe et avant de distribuer les pains dopés à l’Euro.
Alvaro : Allié à l’ange Gabriel, ce défenseur de l’attaquant veuf de tout soutien et orphelin de tout ballon formait cette année une des plus solides charnières centrales espagnoles. Teintée d’un succès d’estime, sa carrière s’arrête pour le moment aux portes du paradis de tout Brésilien qui se respecte, n’ayant pour l’heure pas encore trouvé les clés du succès. Objet de multiples convoitises, les Italiens et Espagnols ne laisseront pas si facilement passer ce qui pourrait apparaître comme une révélation pour des croyants convertis aux joutes de la Liga.
Pourrait également rejoindre l’Arche phocéen en cas d’alliance commune, Super Mario Yepes quand il aura décidé où positionner sa « préférence marseillaise » sur l’échelle de son compte en banque, Sylvain Armand si le pacte avec le Diable n’était pas définitivement scellé comme le laissait espérer, il y a peu, notre Saint Christophe. Et comme Saint Thomas, on passera vite sur les mirages Abidal ou Giuly qui masquent d’autres voies plus sérieuses ainsi que les sempiternels Sorin, Muller et autres prophéties plus singulières. Voilà pour les derniers cancans en date, en attendant que les dernières trouvailles des grenouilles de bénitier sortent à l’oraison. Amen.
Vodevil.
Toujours à la recherche des futures merveilles du microcosme marseillais, le Pape mobile parcours de long en large, et surtout de travers en ce moment, les citadelles européennes pour y dénicher LE joyau parmi les joyaux. Les promesses divines semblent avoir été oubliées au confessionnal …
Bréchet : Ex-pensionnaire de l’arrière-garde Lyonnaise, dont le parcours n’est pas sans rappeler les souffrances d’un certain Christ en terre catalane, pourrait être l’élu désigné par notre Eminence grise pour occuper le flanc gauche, véritable couloir des courants d’air. Choix déconcertant pour un jeune prosélite sur le flanc justement, meurtri par les blessures et souffrant du manque de considération de son entraîneur. Dans le cadre de sa venue, un prêt avec achat en option paraît la solution la plus sage afin d’éviter le désarroi et inspirer la pitié, dans le cas contraire le montant de la clause ne devra pas être rédhibitoire à l’image du montant d’un chameau qui va nous coûter au final le prix d’une oasis.
Serginho : Sorte de Sorin à la brésilienne, grande énigme de ce marché aux ânes, profil intéressant, bon dribleur, buteur très occasionnel, mais qui peine à prendre place su la Cène milanaise. Pour un trentenaire, le prêt semble également être la solution adéquate en attendant une résurrection sur le Mont Olympe et avant de distribuer les pains dopés à l’Euro.
Alvaro : Allié à l’ange Gabriel, ce défenseur de l’attaquant veuf de tout soutien et orphelin de tout ballon formait cette année une des plus solides charnières centrales espagnoles. Teintée d’un succès d’estime, sa carrière s’arrête pour le moment aux portes du paradis de tout Brésilien qui se respecte, n’ayant pour l’heure pas encore trouvé les clés du succès. Objet de multiples convoitises, les Italiens et Espagnols ne laisseront pas si facilement passer ce qui pourrait apparaître comme une révélation pour des croyants convertis aux joutes de la Liga.
Pourrait également rejoindre l’Arche phocéen en cas d’alliance commune, Super Mario Yepes quand il aura décidé où positionner sa « préférence marseillaise » sur l’échelle de son compte en banque, Sylvain Armand si le pacte avec le Diable n’était pas définitivement scellé comme le laissait espérer, il y a peu, notre Saint Christophe. Et comme Saint Thomas, on passera vite sur les mirages Abidal ou Giuly qui masquent d’autres voies plus sérieuses ainsi que les sempiternels Sorin, Muller et autres prophéties plus singulières. Voilà pour les derniers cancans en date, en attendant que les dernières trouvailles des grenouilles de bénitier sortent à l’oraison. Amen.
Vodevil.
Starfuckers
Some men need some killer weed, some men need cocaine ...
My God sits in the back of the limousine.
It's better to burn out than to fade away
You, Sarkozy and the Devil Makes 3.
Some men need some killer weed, some men need cocaine ...
My God sits in the back of the limousine.
It's better to burn out than to fade away
You, Sarkozy and the Devil Makes 3.