Kill Nigo Vol. 1
Pourquoi la caution Marseillaise va réussir son Paris.
Demie saison à la satisfaction variable, les vicissitudes multiples conduisent à un jugement très nuancé sur le bilan d’activité de l’OM version José. La fin de l’année 2003 fut marquée par deux évènements majeurs, d’une part l’éviction du bourrin troyen et d’autre part l’imbroglio du divin chauve qui a dû se refaire un scalp avec cette mésaventure. En marge de ces gaudrioles, des moyens financiers et humains importants ont été mobilisés tout au long de cette saison terne dans l’optique de limiter un éventuel nouveau couac. Malgré les tempêtes qui se sont abattues sur Marseille à la fin du mois de décembre, suite à un novembre cauchemardesque, et qui ont affaibli la robustesse de l’édifice olympien, les transformations opérées sous la tutelle de José n’ont pas conduit aux retombées escomptées lors de la grande distribution des carottes de fin de saison, dommageable pour un Ânigo.
la caution Marseillaise va réussir parce qu’il est garant de l’esprit du club, celui qui devrait normalement nous faire aller droit au but, et non plus droit dans le mur. Il suffit pour s’en convaincre d’observer lors de chacune de ses réactions à chaud, l’émotion qui le submerge lorsqu’il évoque l’OM, son OM. Encore en fin de match dimanche, le cri du c½ur d’un Marseillais pur jus lancé à son bien-aimé pour lui signifier qu’il avait la carrure mais aussi la mémoire de l’éléphant. Hé oui la passion est sans limite, excepté celle des mots, chez l’ex-minot qui dévoilait ainsi au grand jour tout l’amour et l’admiration qu’il portait au père Noël. Plus fort que l’oignon, l’la caution Marseillaise vous tire les larmes à travers l’angoisse qu’il véhicule. Avec un brin d’imagination, on devine très bien qu’il ait pu soigner des p’tits noiseaux blessés à ses heures perdues, avant de s’apercevoir qu’ils ne bougeaient plus que par la force des vers qui les habitaient.
Le Mambo du démago …
Second point plaidant en sa faveur, la séduction du public, son ex-statut de minot comme rappelé plus haut lui confère un capital sympathie rarement observé auprès du public marseillais, au point que son patronyme fut scandé un long moment lors de la … défaite suédoise, hé oui encore une dirons-les félons. Sa grande force, une démagogie poussée à l’extrême, stratégie inconsciente ou réfléchie, dans tous les cas, ça fonctionne aussi bien auprès des joueurs que du supporter moyen. Les sarcastiques trouveront toujours le moyen d’ajouter que la meilleur manière de ruiner un pays est de le confier aux démagogues et que cela doit logiquement s’appliquer à l’OM, enfin souhaitons que ce raccourci ne soit qu’une impasse pour les persifleurs de tous bords.
Point très positif également, une entente parfaite avec le Pape qui va permettre au club d’accroître son efficacité en matière de recrutement. Adieux les cabres aux sabots de plomb qui finissent inévitablement dans d’autres pâturages moins accueillants, place à des joueurs désirés et désirables, on devrait toujours penser à la revente. Quoi qu’il en soit, il est loin le temps des présidents omnipotents voire impotents pour ne par dire incontinents, qui imposaient leurs dernières trouvailles malheureuses. Il n’y a guère plus qu’au Real ou à Cheslsky qu’on croire encore à ces pratiques tombées en désuetude, avec d’autres richesses il est vrai.
En outre, José la caution Marseillaise possède au plus profond de lui talent hors pair, qui lui octroie une efficacité maximale lors des causeries d’avant-match, un discours qui tient sur un timbre poste, la voilà sa grande force, ce que beaucoup d’autres entraîneurs ne sont pas en mesure de faire, mis à part Daniel Jeandupeux peut-être, José le maîtrise comme personne. L’avantage, un discours facile à retenir, rapide à comprendre, de surcroît accessible à tous, simple à mettre en ½uvre et offrant une autonomie accrue.
Finalement et cela constitue sa plus grande réussite aux manettes de l’OM, un parcours en coupe d’Europe digne des plus grandes heures des invasions olympiennes en terres étrangères, hostiles à la minorité du petit olympique lyonnais, mais familières à la horde marseillaises qui n’hésite jamais à avaler les kilomètres pour goûter à quelques minutes de gloire. Ce somptueux parcours nous a laissé entrevoir les prémices de ce que pourrait être la saison à venir, un groupe de « va-t-en-guerre » soudé qui va chercher les bons résultats dans ses tripes à défauts de les trouver dans ses analyses d’urine.
En guise de conclusion, la saison qui s’annonce sera décisive pour notre José. A l’issue de celle-ci, Christophe Bouchet, qui n’est plus un apprenti, devra trancher sur le sort du Nigo, qui n’est plus un agneau, pour savoir à quelle sauce il sera dévoré.
Débandade à suivre …
Erby & Vodevil.
Pourquoi la caution Marseillaise va réussir son Paris.
Demie saison à la satisfaction variable, les vicissitudes multiples conduisent à un jugement très nuancé sur le bilan d’activité de l’OM version José. La fin de l’année 2003 fut marquée par deux évènements majeurs, d’une part l’éviction du bourrin troyen et d’autre part l’imbroglio du divin chauve qui a dû se refaire un scalp avec cette mésaventure. En marge de ces gaudrioles, des moyens financiers et humains importants ont été mobilisés tout au long de cette saison terne dans l’optique de limiter un éventuel nouveau couac. Malgré les tempêtes qui se sont abattues sur Marseille à la fin du mois de décembre, suite à un novembre cauchemardesque, et qui ont affaibli la robustesse de l’édifice olympien, les transformations opérées sous la tutelle de José n’ont pas conduit aux retombées escomptées lors de la grande distribution des carottes de fin de saison, dommageable pour un Ânigo.
la caution Marseillaise va réussir parce qu’il est garant de l’esprit du club, celui qui devrait normalement nous faire aller droit au but, et non plus droit dans le mur. Il suffit pour s’en convaincre d’observer lors de chacune de ses réactions à chaud, l’émotion qui le submerge lorsqu’il évoque l’OM, son OM. Encore en fin de match dimanche, le cri du c½ur d’un Marseillais pur jus lancé à son bien-aimé pour lui signifier qu’il avait la carrure mais aussi la mémoire de l’éléphant. Hé oui la passion est sans limite, excepté celle des mots, chez l’ex-minot qui dévoilait ainsi au grand jour tout l’amour et l’admiration qu’il portait au père Noël. Plus fort que l’oignon, l’la caution Marseillaise vous tire les larmes à travers l’angoisse qu’il véhicule. Avec un brin d’imagination, on devine très bien qu’il ait pu soigner des p’tits noiseaux blessés à ses heures perdues, avant de s’apercevoir qu’ils ne bougeaient plus que par la force des vers qui les habitaient.
Le Mambo du démago …
Second point plaidant en sa faveur, la séduction du public, son ex-statut de minot comme rappelé plus haut lui confère un capital sympathie rarement observé auprès du public marseillais, au point que son patronyme fut scandé un long moment lors de la … défaite suédoise, hé oui encore une dirons-les félons. Sa grande force, une démagogie poussée à l’extrême, stratégie inconsciente ou réfléchie, dans tous les cas, ça fonctionne aussi bien auprès des joueurs que du supporter moyen. Les sarcastiques trouveront toujours le moyen d’ajouter que la meilleur manière de ruiner un pays est de le confier aux démagogues et que cela doit logiquement s’appliquer à l’OM, enfin souhaitons que ce raccourci ne soit qu’une impasse pour les persifleurs de tous bords.
Point très positif également, une entente parfaite avec le Pape qui va permettre au club d’accroître son efficacité en matière de recrutement. Adieux les cabres aux sabots de plomb qui finissent inévitablement dans d’autres pâturages moins accueillants, place à des joueurs désirés et désirables, on devrait toujours penser à la revente. Quoi qu’il en soit, il est loin le temps des présidents omnipotents voire impotents pour ne par dire incontinents, qui imposaient leurs dernières trouvailles malheureuses. Il n’y a guère plus qu’au Real ou à Cheslsky qu’on croire encore à ces pratiques tombées en désuetude, avec d’autres richesses il est vrai.
En outre, José la caution Marseillaise possède au plus profond de lui talent hors pair, qui lui octroie une efficacité maximale lors des causeries d’avant-match, un discours qui tient sur un timbre poste, la voilà sa grande force, ce que beaucoup d’autres entraîneurs ne sont pas en mesure de faire, mis à part Daniel Jeandupeux peut-être, José le maîtrise comme personne. L’avantage, un discours facile à retenir, rapide à comprendre, de surcroît accessible à tous, simple à mettre en ½uvre et offrant une autonomie accrue.
Finalement et cela constitue sa plus grande réussite aux manettes de l’OM, un parcours en coupe d’Europe digne des plus grandes heures des invasions olympiennes en terres étrangères, hostiles à la minorité du petit olympique lyonnais, mais familières à la horde marseillaises qui n’hésite jamais à avaler les kilomètres pour goûter à quelques minutes de gloire. Ce somptueux parcours nous a laissé entrevoir les prémices de ce que pourrait être la saison à venir, un groupe de « va-t-en-guerre » soudé qui va chercher les bons résultats dans ses tripes à défauts de les trouver dans ses analyses d’urine.
En guise de conclusion, la saison qui s’annonce sera décisive pour notre José. A l’issue de celle-ci, Christophe Bouchet, qui n’est plus un apprenti, devra trancher sur le sort du Nigo, qui n’est plus un agneau, pour savoir à quelle sauce il sera dévoré.
Débandade à suivre …
Erby & Vodevil.
Starfuckers
Some men need some killer weed, some men need cocaine ...
My God sits in the back of the limousine.
It's better to burn out than to fade away
You, Sarkozy and the Devil Makes 3.
Some men need some killer weed, some men need cocaine ...
My God sits in the back of the limousine.
It's better to burn out than to fade away
You, Sarkozy and the Devil Makes 3.