Non mais c'est comme "Mais qui a tué Pamela Rose ?", film qu'il vaut mieux voir 2 fois en fait car y'a plein de bêtises cachées en second plan qu'on zappe parfois (souvent) lors de la première vision. D'ailleurs, j'ai très peu aimé la première vision. La seconde a fait remonter le film dans mon estime.
(25-01-2011, 18:39)Nil Sanyas a écrit : Non mais c'est comme "Mais qui a tué Pamela Rose ?", film qu'il vaut mieux voir 2 fois en fait car y'a plein de bêtises cachées en second plan qu'on zappe parfois (souvent) lors de la première vision. D'ailleurs, j'ai très peu aimé la première vision. La seconde a fait remonter le film dans mon estime.
Prépare-toi quand même, c'est au 8ème degré... ou pas.
Un genre de dialogue type qui me revient à peu prêt:
- Qu'allons nous faire inspecteur ?
- Nous allons inspecter les lieux.
- Mais inspecteur... il fait nuit.
- Oui, mais j'ai une lampe.
- Que vous êtes intelligent inspecteur!
- Oui, c'est pour ca que je suis inspecteur.
Voila voila
L'art est un labyrinthe dont la prouesse est de trouver l'entrée.
Ed Wood, avec 3 cartons et 2 punaises, il te faisait la planète mars
Par dessus, tu rajoutes les dialogues cités par Aqwarium, tu fermes les yeux, tu te mets Jean Michel Jarre et tu y es
Honte à ceux qui n'ont pas regardé Brazil... Il n'est jamais trop tard pour se rattraper
D'ailleurs je recommande bandits, bandits qu'il a réalisé avant, et qui a préparé Brazil.
Terry Gilliam fait parti du top 5 de mes réalisateurs préférés.
Ce mec est un génie, il touche à tout (dessinateur, scénariste, acteur, pub, réalisateur...).
Il arrive à mettre une atmosphère spéciale dans ses films, chose que peu réussisse.
Les Monty Python, Las Vegas Parano, l'armée des 12 singes, les aventures du baron de Münchhausen ou Tideland, tous des chefs d'oeuvre, certains incompris ou ignorés
Dommage que les producteurs ne l'est pas toujours suivi dans des projets un peu fou certe, mais qui sortent de l'ordinaire, avec une imagination folle
"La propagande est aux démocraties ce que la violence est aux dictatures."
Noam Chomsky