21-03-2005, 01:50
En même temps, on compare tout et n'importe quoi aujourd'hui.... Melville est éternel, pas touche.
Le Péril jeune est considéré comme la meilleure entrée en matière dans son oeuvre réticente aux plus profondes analyses.
Ni pour ni contre je n'ai pas vu, je m'abstiens donc. J'ai vu Peut être aussi mais c'est un autre sujet de plaisanterie. Allez je vais faire dans l'élitisme bien crasse et citer quelques revues intello-parigot
Les Cahiers :
"Le cinéaste est encore une fois à son aise dans la blague potache et terriblement maladroit dans l'analyse introspective des forces obscures travaillant les caractères en profondeur."
Télérama
"Plus que de la violence des jeunes, voilà probablement de quoi voulait parler Klapisch : la bêtise crasse que ses personnages ont reçue en partage. La connerie noire qui baigne ce film sombre. Un vaste sujet qui reste, malheureusement, à l'état brut"
Ah ben non tiens, même Première n'a pas aimé
"Ici, Klapisch n'a pas à rougir de l'efficacité de son scénario (...), ni de son honorable séquence de casse. Mais il ne faut pas chercher le suspense, l'ambiguïté ou la dimension tragique qui font la richesse du genre dans Les Affranchis ou Le Samouraï, auxquels le réalisateur fait référence. "
Le Péril jeune est considéré comme la meilleure entrée en matière dans son oeuvre réticente aux plus profondes analyses.
Ni pour ni contre je n'ai pas vu, je m'abstiens donc. J'ai vu Peut être aussi mais c'est un autre sujet de plaisanterie. Allez je vais faire dans l'élitisme bien crasse et citer quelques revues intello-parigot
Les Cahiers :
"Le cinéaste est encore une fois à son aise dans la blague potache et terriblement maladroit dans l'analyse introspective des forces obscures travaillant les caractères en profondeur."
Télérama
"Plus que de la violence des jeunes, voilà probablement de quoi voulait parler Klapisch : la bêtise crasse que ses personnages ont reçue en partage. La connerie noire qui baigne ce film sombre. Un vaste sujet qui reste, malheureusement, à l'état brut"
Ah ben non tiens, même Première n'a pas aimé
"Ici, Klapisch n'a pas à rougir de l'efficacité de son scénario (...), ni de son honorable séquence de casse. Mais il ne faut pas chercher le suspense, l'ambiguïté ou la dimension tragique qui font la richesse du genre dans Les Affranchis ou Le Samouraï, auxquels le réalisateur fait référence. "
La nuit appelle l'aurore. Chef de la police secrète du C.C.C.