25-07-2007, 00:32
JCh a écrit :Sinon, dans 70% du parcours de la grande boucle, un leader se "repose" dans le peloton en tournant les jambes à 100 Tpm... Il y a des journée ou des coureurs ne font presque pas d'effort s'il sont bien placé !J'ai fais un peu de vélo, il y a quelques années, j'ai fais toutes les bosses de la région et quelques cols des alpes en cyclotouriste.
Voilà pour vous éclaircir un peu sur les péjugées qu'un "fouteux" moyen à sur le vélo...
Si vous avez d'autres question ??? :Beep
Mon avis sur cette question est que tu reposes dans le paquet quand tu gères une avance, encore qu'il faut rester vigilant pour éviter la chute et c'est usant. Je suis d'accord avec toi pour dire que le dopage évite les douleurs, mais avant tout c'est pour la gagne, sinon a quoi servirait de se doper si tu ne gagnes pas au moins une étape ne pas souffrir ? Mieux vaut rester à la maison.
Sinon je pense qu' un leader se doit de répondre aux attaques diverses et de faire des différences dans des étapes stratégiques, un moment donné il est obligé d'appuyer sur les pédales. Tu te laisses éventuellement aspirer sur du plat, en descente, mais dés que la route s'élève y a personne pour t'aider, sans parler des étapes chronométrées.
J'ai le souvenir de Stephen Roche je ne sais plus ou, arriver à l'agonie pour défendre sa place.
Maintenant dans le triathlon d'Embrun auquel tu as participé et pour lequel j'ai également de part mon boulot participer une demi douzaine de fois à l'organisation, j'ai vu des centaines de coureurs terminer sous perfusions sous les tentes de la sécurité civile. J'en ai vu aussi, le lendemain de l'embruman partir faire 100 bornes a vélo pour le décrassage, c'est inhumain....
Pour rejoindre Frana, si j'apprenais qu'à l'OM le dopage est une institution comme cela semble l'être dans le vélo ou l'athlétisme, j'arrête tout et je me consacre a mon autre sport favori qu'est la pétanque......L'anis est une plante et non pas un produit pharmaceutique, même si après s'en être injecté 3 ou 4 ballons, les boules on les voit grosses comme des pastèques.