24-02-2004, 07:39
(Modification du message : 26-02-2004, 08:09 par boeuf mode.)
Dnipropetrovsk. Un nom à coucher dehors. Le genre de truc imprononçable même à jeun quand tu suces des caillasses façon Démosthène. Le genre de blaze qui t'écorche la menteuse illico et qui te décroche les maxillaires en deux coulées gros si t'insistes. Bonjour l'apnée ! T'as intérêt à prendre ton souffle avant de déclamer la chose si tu veux pas qu'on te sorte fissa la tente à oxygène. A côté de ça, bredouiller anticonstitutionnellement ou péripatéticienne, le soir au fond des bois ou le long des golfes clairs, c'est du pipi de chat, voire de la roupie de sansonnet...
Dnipropetrovsk. On va pas caguer dans la colle. C'est tout sauf un ténor dans le grand concert des joutes du vieux continent. Plutôt incontinent. Ça tiendrait plus du castrat au niveau de ses conquêtes en Euro-trophées divers et avariés. Si ! Y'a bien deux quarts de finales en coupe des Crampons dans la musette mais ça remonte au siècle dernier en 85 puis en 90. Un bail ! Pareil pour leur championnat, deux titres mais c'était du temps de l'Union des Républiques Soviétiques Socialistes. Ça nous rajeunit pas. Depuis, y'a pas mal de flotte qu'a coulé sous les ponts du Dniepr... Après, nada, peau de zob, désert de Gobi, un palmarès vierge comme le trou du cul d'une nonne, un curriculum vitae aussi fourni que la toison capillaire du nigaud. Cette disette du résultat, ça vous rappelle rien, les amibes ?
Dnipropetrovsk. C'est tout de même huit internationaux. Sept ukrainiens et un moldave. Ça vous classe un OM, ça madame. Avec des noms aussi ronflants que Maksymyuk ou Mykhailenko en passant par Venhlinskyy, Rykun et autre Medin. Le tout est coaché par Evgeniy Kucherevskiy, sorte de Guy Roux local. Bref, un aréopage aussi connu que la planète Saturne. Et encore chez elle, on sait qu'il y a un anneau autour. Cerise sur le cake, tout ce petit monde est en vacances pour cause de grand froid. Leur championnat s'est arrêté avant les frimas orientaux. Ils sont actuellement en tournée de remise en forme chez les mangeurs de poulpe du côté de Marbella and co. Gageons qu'ils ne soient pas venus en péninsule ibérique uniquement pour se faire bronzer la couenne...
Marseille. Sur les quais de Vieux Port, on peut pas vraiment affirmer que c'est tout calme. Les noms d'oiseaux ici, ça vole bas, plus que les pigeons place Vendôme. Faut dire, le jeu pratiqué par l'OM est si peu attractif présentement qu'il ferait louper une couvée de singes sans le moindre blême. Le moins qu'on puisse est que ça rue dans les brancards et pas simplement au niveau des virages. En rab, le dircom du staff de l'équarrisseur a eu le nez creux de faire pondre un logo new look en pleine crise d'identité du club. En voilà une idée qu'elle est pas bonne. Chez le supporter de base, le holà est de mise surtout pas la ola. Ça sent le résiné rue Négresko pour certains. Pourrait y avoir de l'épuration technique dans les hautes sphères...
Marseille. Pendant ce temps-là, à la Commanderie, l'la caution Marseillaise tente de sauver les meubles. Sézigue, il a hérité d'un drôle d'imbroglio. Des quidams qu'ont toutes les peines du monde à aligner trois passes d'affilée, c'est pas évident pour lui. Soit il file à l'anglaise, soit il joue à celle-ci. Mais, balancer de loin sur Didier l'embrouille, ça se décrypte désormais plus facilement pour un défenseur lambda que n'importe quel hiéroglyphe de la pyramide de Kheops. Sauf que le pharaon chez nous, il risque bien d'être aux abonnés absents jeudi pour cause de bobos. Quoiqu'il en soit, faudrait qu'il retrouve son poids de forme, histoire de peser un peu plus sur les défenses. Vous avez dit paradoxal ?
Marseille. Niet à Tcherno-bile ! On va pas se prendre le chou plus que ça ! Ça sent pas encore l'odeur du sapin. Manger les pissenlits par la racine, c'est pas notre verre à vodka ! Même sans Batlles suspendu pour une vieille affaire girondine, sans Sommeil déjà aligné cette saison par Manchester City en UEFA, on se doit de mettre au pas ces petits hommes venus de l'Est ! Gaffe, hors de question de se fourrer une quelconque chapka sur les esgourdes, les lascars aiment à évoluer en contre... Et tandis que Lolo Blanc est annoncé un peu partout comme le futur messie, va falloir en attendant étaler sur le gazon ce qui reste de tripes. Face aux canaris dimanche, après une bonne entame, l'OM est retombée dans ses travers du moment. Des rouages grippés dans la transmission et des défaillances humaines à l'arrière. Ça grince de partout... Vite José, mets de l'huile !
boeuf mode :stretcher
Dnipropetrovsk. On va pas caguer dans la colle. C'est tout sauf un ténor dans le grand concert des joutes du vieux continent. Plutôt incontinent. Ça tiendrait plus du castrat au niveau de ses conquêtes en Euro-trophées divers et avariés. Si ! Y'a bien deux quarts de finales en coupe des Crampons dans la musette mais ça remonte au siècle dernier en 85 puis en 90. Un bail ! Pareil pour leur championnat, deux titres mais c'était du temps de l'Union des Républiques Soviétiques Socialistes. Ça nous rajeunit pas. Depuis, y'a pas mal de flotte qu'a coulé sous les ponts du Dniepr... Après, nada, peau de zob, désert de Gobi, un palmarès vierge comme le trou du cul d'une nonne, un curriculum vitae aussi fourni que la toison capillaire du nigaud. Cette disette du résultat, ça vous rappelle rien, les amibes ?
Dnipropetrovsk. C'est tout de même huit internationaux. Sept ukrainiens et un moldave. Ça vous classe un OM, ça madame. Avec des noms aussi ronflants que Maksymyuk ou Mykhailenko en passant par Venhlinskyy, Rykun et autre Medin. Le tout est coaché par Evgeniy Kucherevskiy, sorte de Guy Roux local. Bref, un aréopage aussi connu que la planète Saturne. Et encore chez elle, on sait qu'il y a un anneau autour. Cerise sur le cake, tout ce petit monde est en vacances pour cause de grand froid. Leur championnat s'est arrêté avant les frimas orientaux. Ils sont actuellement en tournée de remise en forme chez les mangeurs de poulpe du côté de Marbella and co. Gageons qu'ils ne soient pas venus en péninsule ibérique uniquement pour se faire bronzer la couenne...
Marseille. Sur les quais de Vieux Port, on peut pas vraiment affirmer que c'est tout calme. Les noms d'oiseaux ici, ça vole bas, plus que les pigeons place Vendôme. Faut dire, le jeu pratiqué par l'OM est si peu attractif présentement qu'il ferait louper une couvée de singes sans le moindre blême. Le moins qu'on puisse est que ça rue dans les brancards et pas simplement au niveau des virages. En rab, le dircom du staff de l'équarrisseur a eu le nez creux de faire pondre un logo new look en pleine crise d'identité du club. En voilà une idée qu'elle est pas bonne. Chez le supporter de base, le holà est de mise surtout pas la ola. Ça sent le résiné rue Négresko pour certains. Pourrait y avoir de l'épuration technique dans les hautes sphères...
Marseille. Pendant ce temps-là, à la Commanderie, l'la caution Marseillaise tente de sauver les meubles. Sézigue, il a hérité d'un drôle d'imbroglio. Des quidams qu'ont toutes les peines du monde à aligner trois passes d'affilée, c'est pas évident pour lui. Soit il file à l'anglaise, soit il joue à celle-ci. Mais, balancer de loin sur Didier l'embrouille, ça se décrypte désormais plus facilement pour un défenseur lambda que n'importe quel hiéroglyphe de la pyramide de Kheops. Sauf que le pharaon chez nous, il risque bien d'être aux abonnés absents jeudi pour cause de bobos. Quoiqu'il en soit, faudrait qu'il retrouve son poids de forme, histoire de peser un peu plus sur les défenses. Vous avez dit paradoxal ?
Marseille. Niet à Tcherno-bile ! On va pas se prendre le chou plus que ça ! Ça sent pas encore l'odeur du sapin. Manger les pissenlits par la racine, c'est pas notre verre à vodka ! Même sans Batlles suspendu pour une vieille affaire girondine, sans Sommeil déjà aligné cette saison par Manchester City en UEFA, on se doit de mettre au pas ces petits hommes venus de l'Est ! Gaffe, hors de question de se fourrer une quelconque chapka sur les esgourdes, les lascars aiment à évoluer en contre... Et tandis que Lolo Blanc est annoncé un peu partout comme le futur messie, va falloir en attendant étaler sur le gazon ce qui reste de tripes. Face aux canaris dimanche, après une bonne entame, l'OM est retombée dans ses travers du moment. Des rouages grippés dans la transmission et des défaillances humaines à l'arrière. Ça grince de partout... Vite José, mets de l'huile !
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