04-02-2004, 23:05
N’étant pas Colombo, ma femme m’a quand même dit : « Ah, enfin ils ont gagné... ! »
Ce match était selon certains, importantissime !
Match en retard contre un reléguable potentiel, il est des importances d’ailleurs qui se révèlent vite circonstancielles. En effet le match perdu contre Sochaux ne l’était pas, il faut dire que ce n’était à priori pas le même calibre… Donc après un match quand même important contre une équipe importante, puis perdu, il est plus important de gagner 3 points contre une équipe peu importante, vous me suivez ?
Donc c’est plus du foot, c’est de la comptabilité type boite de chaussure…
Bon alors ce match ?
1° mi-temps :
Marseille organisé en 5-4-1 a choisi de privilégier la défense, laissant Drogba en pointe, , la consigne semble clair : pas de but !
Pendant les 15 premières minutes le jeu au sol est relativement simple et plaisant mais tout de même relativement inefficace, puisque il n’y aura en tout et pour tout qu’un seul tir à mettre sur le compte des marseillais. Montpellier se verra refuser un but à la 31’ suite à une charge sur Barthez. On passera sur les diverses frictions opposant les 2 équipes, maintenant cela devient commun.
Stérilité et annihilation sont donc les maîtres mots de cette première période.
Pause :
Cela faisait longtemps que je n’avais pas vu la fraise que Loulou a en guise de pif, remarquable ! D’autant qu’elle aurait été, semble t’il se faire rosir, rôtir, que sais-je, à l’Ile Maurice (dixit)…
Un bel entracte !
2° mi-temps :
A la 59’ Marlet remplace Meriem qui a été peu en vue, le jeu étant reparti sur les mêmes bases qu’en première période.
La 62’ est la seule minute de vrai football de ce match : Battles dont l’apport technique est évident ouvre par-dessus la défense en direction de Drogba qui frappe et marque à l’aveugle après rebond. Géant ! C’est ça le foot qu’on aime.
A la 67’ le mauvais foot reprend ses droits : Rui Pataca est descendu dans la surface, Mr Colombo, l’inspecteur la bavure, ne moufte pas… Alain Perrin si tu me lis, sache que tu es parti AVANT que la chance ne sourit enfin à l’OM…
Enfin, ne soyons pas trop regardant et faisons comme si tout cela n’avait pas d’odeur.
Rui Pataca tenta la minute suivante une reprise de volée admirable pour revenir au score, mais la chance comme chacun sait est difficile à « apprivoiser ».
Au final, Montpellier perd une nouvelle fois, l’OM gagne certes, mais on est encore loin du compte.
Ce match était selon certains, importantissime !
Match en retard contre un reléguable potentiel, il est des importances d’ailleurs qui se révèlent vite circonstancielles. En effet le match perdu contre Sochaux ne l’était pas, il faut dire que ce n’était à priori pas le même calibre… Donc après un match quand même important contre une équipe importante, puis perdu, il est plus important de gagner 3 points contre une équipe peu importante, vous me suivez ?
Donc c’est plus du foot, c’est de la comptabilité type boite de chaussure…
Bon alors ce match ?
1° mi-temps :
Marseille organisé en 5-4-1 a choisi de privilégier la défense, laissant Drogba en pointe, , la consigne semble clair : pas de but !
Pendant les 15 premières minutes le jeu au sol est relativement simple et plaisant mais tout de même relativement inefficace, puisque il n’y aura en tout et pour tout qu’un seul tir à mettre sur le compte des marseillais. Montpellier se verra refuser un but à la 31’ suite à une charge sur Barthez. On passera sur les diverses frictions opposant les 2 équipes, maintenant cela devient commun.
Stérilité et annihilation sont donc les maîtres mots de cette première période.
Pause :
Cela faisait longtemps que je n’avais pas vu la fraise que Loulou a en guise de pif, remarquable ! D’autant qu’elle aurait été, semble t’il se faire rosir, rôtir, que sais-je, à l’Ile Maurice (dixit)…
Un bel entracte !
2° mi-temps :
A la 59’ Marlet remplace Meriem qui a été peu en vue, le jeu étant reparti sur les mêmes bases qu’en première période.
La 62’ est la seule minute de vrai football de ce match : Battles dont l’apport technique est évident ouvre par-dessus la défense en direction de Drogba qui frappe et marque à l’aveugle après rebond. Géant ! C’est ça le foot qu’on aime.
A la 67’ le mauvais foot reprend ses droits : Rui Pataca est descendu dans la surface, Mr Colombo, l’inspecteur la bavure, ne moufte pas… Alain Perrin si tu me lis, sache que tu es parti AVANT que la chance ne sourit enfin à l’OM…
Enfin, ne soyons pas trop regardant et faisons comme si tout cela n’avait pas d’odeur.
Rui Pataca tenta la minute suivante une reprise de volée admirable pour revenir au score, mais la chance comme chacun sait est difficile à « apprivoiser ».
Au final, Montpellier perd une nouvelle fois, l’OM gagne certes, mais on est encore loin du compte.