Si comme moi vous n’y comprenez plus rien au foot, lisez ce qui suit. Pour les autres définitions à vos claviers.
Les moyens humains.
Arbitre : Tout de noir vêtu, cet homme gesticulant sifflet à la bouche aux quatre coins du terrain, provoque chez le supporter un syndrome proche de celui de Gilles de la Tourette grâce à des décisions plus que douteuses, un club du Sud fait généralement les frais de ces décisions incongrues. L’arbitre de foot est globalement trop intelligent pour être supporter et pas assez doué pour être footballeur.
Arbitre de touche : Longeant la ligne de touche comme un automate, l’arbitre de touche agite le bras la main vissée sur son drapeau pour signaler des hors-jeu imaginaires. Cet assistant de l’homme en noir, est choisit principalement en fonction de son degré de myopie et accessoirement pour sa réputation de mouchard glanée dans sa période prépubaire.
Femmes de joueurs : Compte tenu du fait, que le joueur de foot est forcément hétérosexuel, il est accompagné d'une jeune femme souvent à forte poitrine qui ne parle pas (en même temps, elle n'est pas là pour ca). Jolie et docile, la femme de joueur a derrière elle une carrière de mannequin, d'actrice, de girl's band ou de coiffeuse. Elle n'a pas peur de déménager au gré des contrats de son époux et n'hésites pas à se colorier le visage de blanc, de bleu et de rouge (ridicule !) si son tendre époux devient sélectionnable en équipe de France. @ The Girl
Joueur : Homme en short tapant dans le ballon avec plus ou moins d’intelligence, on distingue trois catégories d’acteurs : le peintre, le bon et la star. Le peintre représente la plus grosse part de joueurs évoluant en Ligue 1, dans certaines équipes remplaçant, il passe dans d’autres quasi titulaire, le type même de joueurs que le supporter rêve de ne pas avoir. Le bon joueur est une personne connaissant les bases du foot, on dit souvent de lui que c’est un travailleur de l’ombre, un porteur d’eau ou un joueur quelconque qui peut rendre service, ce genre de joueur parvient de temps à autres à changer de catégorie. La star, l’idéal du supporter et de l’entraîneur, permet d’obtenir le rêve éveillé au prix fort. La star est bien entendu une utopie pour un championnat comme le notre.
Remplaçant : Appartenant très souvent à la catégorie des peintres ou des coiffeurs, le remplaçant vient poser son postérieur sur le banc de touche les jours de matchs. Rempli d’aigreur et submergé par des douleurs musculaires liées à une trop longue inactivité, il se dit généralement meilleur que le titulaire. Parfois, certains d’entre eux constituent les piliers d’un « loft » ou d’une équipe de CFA.
Supporter : Aisément reconnaissable pour sa propension à brailler comme un âne tout en portant les couleurs de son club favoris, le supporter est avant tout un passionné. Préférant utiliser son écharpe façon ventilateur à défaut de l’avoir autour du cou, il aime exposer son point de vue à l’homme en noir à coup de noms d’oiseau, mettant en doute la sexualité de l’intéressé lorsque son équipe ne tourne pas rond.
Les gestes qui sauvent.
Amorti de la poitrine : geste diaboliquement technique consistant à contrôler un ballon à mi-hauteur avec la partie supérieure du torse. L'individu cardiaque, asmathique ou fragile des pectoraux aura du mal à le réaliser, surtout si le ballon est très bien gonflé ! L'amorti de la poitrine peut très facilement être contré par le high kick : pied levé par l'adversaire au niveau des poumons. L'avantage ? Un superbe tatouage de six beaux crampons sur le torse ! Les maîtres du contrôle poitrine : El Karkouri, Llacer, Bakayoko, Pierre-Yves André, Philippe Delaye et... Patrick Bruel. @ Mathildien75
Main : extremité distale du membre supérieur du footballeur, que celui-ci doit maintenir à distance du référentiel rebondissant, à moins de s'appeler Dino Zoff ou Fabien Barthez. Lorsque un contact survient de manière involontaire entre la main d'un joueur et le référentiel rebondissant, les adversaires du joueur incriminé crient "Main !", ses partenaires répliquent "Involontaire !" et l'arbitre dit "Jouez, jouez !" sauf s'il s'appelle Monsieur Bré. Lorsque ce contact survient de manière volontaire, le fautif est sanctionné d'un coup franc ou d'un pénalty si le joueur se trouve dans la surface de réparation, ou de rien du tout s'il s'appelle Bernard Mendy. Pour toutes ces raisons, les footballeurs sont également appelés "manchots" par certains rugbymen aigris. @ Campana
Panenka : Façon désinvolte et ironique de tirer un penalty. Il consiste en une suptile petite pichenette qui ridiculisera le gardien (1) ou alors une pichenette foireuse qui ridiculisera le tireur (2).
(1) la version d' Antonin Panenka lors de la finale du Championnat d'Europe 1976 à Belgrade, en Yougoslavie, qui opposait la Tchécoslovaquie à la République fédérale d'Allemagne, Les deux équipes ont terminé le match à égalité (2-2)...Panenka le tchéque est le dernier tireur, Si il marque, la Tchécoslovaquie devient championne d'Europe...dans les buts allemands se trouve Sepp Maier. Panenka s'élance pour réaliser une pichenette qui va rentrer dans l'histoire du jeu.
(2) La version Eric Cantona en coupe de france, avec Bordeaux, face à Beauvais ( à vérifier ) , sur un terrain boueux...le ballon s'élève pour atterir à 10 cm de la ligne et se planter dans la boue. Bordeaux est éliminé par une équipe de D2. @ Lx_here
Pénalty (ou coup de pied de réparation) : coup franc effectué suite à une faute commise dans la surface de réparation, depuis un rond blanc (dessiné à la chaux sur la pelouse) situé à onze mètres de la ligne de but. On peut tirer de différentes manières, mais son objectif principal n'est ni de décapiter le gardien, ni de viser les tribunes derrière les cages. Ames sensibles s'abstenir ! Cet exercice demande sang froid, application et concentration. Les plus grands représentants : Maxime Bossis en 1982 (France-Allemagne), Michel Platini en 1986 ( France-Brésil), Roberto Baggio en 1994 (Italie-Brésil) et Raul en 2000 (France-Espagne). @ Mathildien75
Tacle : geste défensif du défenseur ou du joueur non porteur du ballon dribblé et/ou humilié par son adversaire direct (parfois même indirect !). Le tacle est conseillé sur les pelouses tendres voire bien grasses de manière à être intitulé "glissé" et à protéger celui qui l'exécute de toute égratignure sur la cuisse (ça nous est arrivé à tous !). Fait avec grâce ou agressivité, le tacle pourra vous valoir un carton jaune voire rouge selon les arbitres (sauf si vous portez le maillot du PSG cette saison ! ). Ses plus dignes représentants sont à l'heure actuelle Francis Llacer, Taribo West ou Cyril Rool mais l'Histoire du football en a connu d'autres très célèbres tels que Mozer, Di Meco ou l'équipe d'Argentine de 1990. @ Mathildien75
Les accessoires du foot.
Carton : Petit rectangle se déclinant en trois couleurs jaune, rouge ou vert, il constitue le joujou préféré de l’arbitre après le sifflet de gendarme. Fréquemment, le carton est sous-utilisé ou sur-employé et rarement lorsque cela est nécessaire.
Crampon de 18 : Composé essentiellement d’aluminium, le bon vieux crampon de 18 est utilisé par les joueurs pour éviter la glissade sur terrains gras, malheureusement il devient rapidement une arme dangereuse lorsqu’il se trouve entre les mains d’un Llacer.
Feuille de match : Bout de papier, livré avant chaque début de rencontre, où sont couchés les noms de vingt-deux acteurs et dix peintres. Périodiquement, la présence de certains patronymes fait l’objet de vives contestations de la part d’un chef pingouin ne sachant que faire pour gagner.
Maillot : Signe ostentatoire du footballeur, au même titre que le short et les chaussettes, montrant son appartenance à un club et déclenchant de moins en moins un sentiment d’amour. Expression liée : « mouiller le maillot ».
Référentiel bondissant : Appelé aussi ballon par les puristes , cet objet de forme sphérique constitue la cible privilégiée des joueurs en maillot lorsqu’il s’agit d’adresser un coup de panard. Seules quelques rares exceptions s’évertuent à utiliser leurs pieds à d’autres fins.
Sifflet : A défaut d’avoir le bâton, l’arbitre a le sifflet de gendarme, ce petit instrument à vent lui sert à stopper net et parfois de manière abusive les actions en cours dans l’unique but de générer la colère et l ‘énervement chez le joueur.
Les lieux.
Stade : Enceinte mythique ou terrain de campagne, le stade accueille aussi bien les rencontres prestiges que les parties de foot des joueurs du dimanche. A noter que l’ambiance à l’intérieur de celui-ci est très inégale selon la ville où il se situe.
Tribune : Repère des supporters et autres stars du showbiz, on y distingue les forts en gueule et haut en couleur jamais avares lorsqu’il s’agit de donner de la voix pour porter leurs joueurs vers la victoire, malheureusement la surdité est très répandue dans le milieu du foot, et puis il y a les costumes-cravates, des coincés du cul qui se contentent d’applaudir quand le ballon franchit une ligne de but singeant d’autres ramolli du bulbe.
Terrain d’entraînement : Lieu où les joueurs se retrouvent en semaine afin d’y préparer dans les meilleures conditions les rencontres futures et d’y réviser leurs gammes, pour finalement n’en faire qu’à leur tête et oublier tous sens tactiques les jours de matchs et par la même prendre une sévère déculottée.
Expressions footballistiques.
Faire une Belmadi : Action consistant à jeter sa chaussure dans la tribune afin de blesser volontairement les hooligans mécontents qui vous ont conspué pendant tout le match. Attention au revers de la médaille : risque de suspension ainsi qu'une forte amende. @MooM
Faire une Cantona : Action consistant à péter un cable et à répondre aux insultes d'un supporter écervellé (variété à poils ras). Accompagné d'une cantonade à moitié ratée déstinée à blesser l'individu vociférant. Nécessite des notions de full contact. @ MooM
Faire une Ferguson : Action consistant pour un entraineur à envoyer violemment sa chaussure sur l'arcade sourcillère de son meilleur joueur afin de lui faire comprendre qu'il doit se donner à fond sur le terrain plutôt que de s'épuiser sur le corps siliconé d'une ex-chanteuse pop anorexique. @ Campana
Le Llacer : Caractérise un joueur sanguin à la semelle facile. Par frustration et par privation de ballons, le Llacer ne rate que très rarement la carotide adverse. Cantonné dans un rôle de figurant, la coutume veut qu’il apparaisse en fin de match pour réchauffer les chevilles ennemies.
Loft : Principe importé des médias par le commissaire Valence, il vise à entraîner chez l’indésirable un sentiment de lassitude provoquant ainsi un départ anticipé vers des divisions inférieures. Le loft peut-être apparenté à un placard doré.
Manger la feuille de Match : Situation par laquelle un geste technique d'attaque inconsidéré (ou inconscient) vient empêcher la concrétisation d'un but manifestement tout fait et par là même, donner la victoire. Rien à part ce geste ne devait détourner le ballon de sa destination finale.
Ex: Sytchev contre Auxerre. A contrario : "Sauver la feuille de match", même situation mais défensivement. @ Felow
Simulation : Tradition provenant de l’autre côté des Alpes et héritée de la Comedia del Arte, cette tendance à tomber dans la surface révèle le désir d’acteur-comédien refoulé chez le joueur de foot. Une dérivée de cette pratique s’applique au faute imaginaire, le joueur feint alors une faute énorme n’hésitant pas à se rouler à terre en criant comme un cochon qu’on égorge. Les meilleurs dans la maîtrise de cet art sont majoritairement Italiens et attaquants.
:meuh
Les moyens humains.
Arbitre : Tout de noir vêtu, cet homme gesticulant sifflet à la bouche aux quatre coins du terrain, provoque chez le supporter un syndrome proche de celui de Gilles de la Tourette grâce à des décisions plus que douteuses, un club du Sud fait généralement les frais de ces décisions incongrues. L’arbitre de foot est globalement trop intelligent pour être supporter et pas assez doué pour être footballeur.
Arbitre de touche : Longeant la ligne de touche comme un automate, l’arbitre de touche agite le bras la main vissée sur son drapeau pour signaler des hors-jeu imaginaires. Cet assistant de l’homme en noir, est choisit principalement en fonction de son degré de myopie et accessoirement pour sa réputation de mouchard glanée dans sa période prépubaire.
Femmes de joueurs : Compte tenu du fait, que le joueur de foot est forcément hétérosexuel, il est accompagné d'une jeune femme souvent à forte poitrine qui ne parle pas (en même temps, elle n'est pas là pour ca). Jolie et docile, la femme de joueur a derrière elle une carrière de mannequin, d'actrice, de girl's band ou de coiffeuse. Elle n'a pas peur de déménager au gré des contrats de son époux et n'hésites pas à se colorier le visage de blanc, de bleu et de rouge (ridicule !) si son tendre époux devient sélectionnable en équipe de France. @ The Girl
Joueur : Homme en short tapant dans le ballon avec plus ou moins d’intelligence, on distingue trois catégories d’acteurs : le peintre, le bon et la star. Le peintre représente la plus grosse part de joueurs évoluant en Ligue 1, dans certaines équipes remplaçant, il passe dans d’autres quasi titulaire, le type même de joueurs que le supporter rêve de ne pas avoir. Le bon joueur est une personne connaissant les bases du foot, on dit souvent de lui que c’est un travailleur de l’ombre, un porteur d’eau ou un joueur quelconque qui peut rendre service, ce genre de joueur parvient de temps à autres à changer de catégorie. La star, l’idéal du supporter et de l’entraîneur, permet d’obtenir le rêve éveillé au prix fort. La star est bien entendu une utopie pour un championnat comme le notre.
Remplaçant : Appartenant très souvent à la catégorie des peintres ou des coiffeurs, le remplaçant vient poser son postérieur sur le banc de touche les jours de matchs. Rempli d’aigreur et submergé par des douleurs musculaires liées à une trop longue inactivité, il se dit généralement meilleur que le titulaire. Parfois, certains d’entre eux constituent les piliers d’un « loft » ou d’une équipe de CFA.
Supporter : Aisément reconnaissable pour sa propension à brailler comme un âne tout en portant les couleurs de son club favoris, le supporter est avant tout un passionné. Préférant utiliser son écharpe façon ventilateur à défaut de l’avoir autour du cou, il aime exposer son point de vue à l’homme en noir à coup de noms d’oiseau, mettant en doute la sexualité de l’intéressé lorsque son équipe ne tourne pas rond.
Les gestes qui sauvent.
Amorti de la poitrine : geste diaboliquement technique consistant à contrôler un ballon à mi-hauteur avec la partie supérieure du torse. L'individu cardiaque, asmathique ou fragile des pectoraux aura du mal à le réaliser, surtout si le ballon est très bien gonflé ! L'amorti de la poitrine peut très facilement être contré par le high kick : pied levé par l'adversaire au niveau des poumons. L'avantage ? Un superbe tatouage de six beaux crampons sur le torse ! Les maîtres du contrôle poitrine : El Karkouri, Llacer, Bakayoko, Pierre-Yves André, Philippe Delaye et... Patrick Bruel. @ Mathildien75
Main : extremité distale du membre supérieur du footballeur, que celui-ci doit maintenir à distance du référentiel rebondissant, à moins de s'appeler Dino Zoff ou Fabien Barthez. Lorsque un contact survient de manière involontaire entre la main d'un joueur et le référentiel rebondissant, les adversaires du joueur incriminé crient "Main !", ses partenaires répliquent "Involontaire !" et l'arbitre dit "Jouez, jouez !" sauf s'il s'appelle Monsieur Bré. Lorsque ce contact survient de manière volontaire, le fautif est sanctionné d'un coup franc ou d'un pénalty si le joueur se trouve dans la surface de réparation, ou de rien du tout s'il s'appelle Bernard Mendy. Pour toutes ces raisons, les footballeurs sont également appelés "manchots" par certains rugbymen aigris. @ Campana
Panenka : Façon désinvolte et ironique de tirer un penalty. Il consiste en une suptile petite pichenette qui ridiculisera le gardien (1) ou alors une pichenette foireuse qui ridiculisera le tireur (2).
(1) la version d' Antonin Panenka lors de la finale du Championnat d'Europe 1976 à Belgrade, en Yougoslavie, qui opposait la Tchécoslovaquie à la République fédérale d'Allemagne, Les deux équipes ont terminé le match à égalité (2-2)...Panenka le tchéque est le dernier tireur, Si il marque, la Tchécoslovaquie devient championne d'Europe...dans les buts allemands se trouve Sepp Maier. Panenka s'élance pour réaliser une pichenette qui va rentrer dans l'histoire du jeu.
(2) La version Eric Cantona en coupe de france, avec Bordeaux, face à Beauvais ( à vérifier ) , sur un terrain boueux...le ballon s'élève pour atterir à 10 cm de la ligne et se planter dans la boue. Bordeaux est éliminé par une équipe de D2. @ Lx_here
Pénalty (ou coup de pied de réparation) : coup franc effectué suite à une faute commise dans la surface de réparation, depuis un rond blanc (dessiné à la chaux sur la pelouse) situé à onze mètres de la ligne de but. On peut tirer de différentes manières, mais son objectif principal n'est ni de décapiter le gardien, ni de viser les tribunes derrière les cages. Ames sensibles s'abstenir ! Cet exercice demande sang froid, application et concentration. Les plus grands représentants : Maxime Bossis en 1982 (France-Allemagne), Michel Platini en 1986 ( France-Brésil), Roberto Baggio en 1994 (Italie-Brésil) et Raul en 2000 (France-Espagne). @ Mathildien75
Tacle : geste défensif du défenseur ou du joueur non porteur du ballon dribblé et/ou humilié par son adversaire direct (parfois même indirect !). Le tacle est conseillé sur les pelouses tendres voire bien grasses de manière à être intitulé "glissé" et à protéger celui qui l'exécute de toute égratignure sur la cuisse (ça nous est arrivé à tous !). Fait avec grâce ou agressivité, le tacle pourra vous valoir un carton jaune voire rouge selon les arbitres (sauf si vous portez le maillot du PSG cette saison ! ). Ses plus dignes représentants sont à l'heure actuelle Francis Llacer, Taribo West ou Cyril Rool mais l'Histoire du football en a connu d'autres très célèbres tels que Mozer, Di Meco ou l'équipe d'Argentine de 1990. @ Mathildien75
Les accessoires du foot.
Carton : Petit rectangle se déclinant en trois couleurs jaune, rouge ou vert, il constitue le joujou préféré de l’arbitre après le sifflet de gendarme. Fréquemment, le carton est sous-utilisé ou sur-employé et rarement lorsque cela est nécessaire.
Crampon de 18 : Composé essentiellement d’aluminium, le bon vieux crampon de 18 est utilisé par les joueurs pour éviter la glissade sur terrains gras, malheureusement il devient rapidement une arme dangereuse lorsqu’il se trouve entre les mains d’un Llacer.
Feuille de match : Bout de papier, livré avant chaque début de rencontre, où sont couchés les noms de vingt-deux acteurs et dix peintres. Périodiquement, la présence de certains patronymes fait l’objet de vives contestations de la part d’un chef pingouin ne sachant que faire pour gagner.
Maillot : Signe ostentatoire du footballeur, au même titre que le short et les chaussettes, montrant son appartenance à un club et déclenchant de moins en moins un sentiment d’amour. Expression liée : « mouiller le maillot ».
Référentiel bondissant : Appelé aussi ballon par les puristes , cet objet de forme sphérique constitue la cible privilégiée des joueurs en maillot lorsqu’il s’agit d’adresser un coup de panard. Seules quelques rares exceptions s’évertuent à utiliser leurs pieds à d’autres fins.
Sifflet : A défaut d’avoir le bâton, l’arbitre a le sifflet de gendarme, ce petit instrument à vent lui sert à stopper net et parfois de manière abusive les actions en cours dans l’unique but de générer la colère et l ‘énervement chez le joueur.
Les lieux.
Stade : Enceinte mythique ou terrain de campagne, le stade accueille aussi bien les rencontres prestiges que les parties de foot des joueurs du dimanche. A noter que l’ambiance à l’intérieur de celui-ci est très inégale selon la ville où il se situe.
Tribune : Repère des supporters et autres stars du showbiz, on y distingue les forts en gueule et haut en couleur jamais avares lorsqu’il s’agit de donner de la voix pour porter leurs joueurs vers la victoire, malheureusement la surdité est très répandue dans le milieu du foot, et puis il y a les costumes-cravates, des coincés du cul qui se contentent d’applaudir quand le ballon franchit une ligne de but singeant d’autres ramolli du bulbe.
Terrain d’entraînement : Lieu où les joueurs se retrouvent en semaine afin d’y préparer dans les meilleures conditions les rencontres futures et d’y réviser leurs gammes, pour finalement n’en faire qu’à leur tête et oublier tous sens tactiques les jours de matchs et par la même prendre une sévère déculottée.
Expressions footballistiques.
Faire une Belmadi : Action consistant à jeter sa chaussure dans la tribune afin de blesser volontairement les hooligans mécontents qui vous ont conspué pendant tout le match. Attention au revers de la médaille : risque de suspension ainsi qu'une forte amende. @MooM
Faire une Cantona : Action consistant à péter un cable et à répondre aux insultes d'un supporter écervellé (variété à poils ras). Accompagné d'une cantonade à moitié ratée déstinée à blesser l'individu vociférant. Nécessite des notions de full contact. @ MooM
Faire une Ferguson : Action consistant pour un entraineur à envoyer violemment sa chaussure sur l'arcade sourcillère de son meilleur joueur afin de lui faire comprendre qu'il doit se donner à fond sur le terrain plutôt que de s'épuiser sur le corps siliconé d'une ex-chanteuse pop anorexique. @ Campana
Le Llacer : Caractérise un joueur sanguin à la semelle facile. Par frustration et par privation de ballons, le Llacer ne rate que très rarement la carotide adverse. Cantonné dans un rôle de figurant, la coutume veut qu’il apparaisse en fin de match pour réchauffer les chevilles ennemies.
Loft : Principe importé des médias par le commissaire Valence, il vise à entraîner chez l’indésirable un sentiment de lassitude provoquant ainsi un départ anticipé vers des divisions inférieures. Le loft peut-être apparenté à un placard doré.
Manger la feuille de Match : Situation par laquelle un geste technique d'attaque inconsidéré (ou inconscient) vient empêcher la concrétisation d'un but manifestement tout fait et par là même, donner la victoire. Rien à part ce geste ne devait détourner le ballon de sa destination finale.
Ex: Sytchev contre Auxerre. A contrario : "Sauver la feuille de match", même situation mais défensivement. @ Felow
Simulation : Tradition provenant de l’autre côté des Alpes et héritée de la Comedia del Arte, cette tendance à tomber dans la surface révèle le désir d’acteur-comédien refoulé chez le joueur de foot. Une dérivée de cette pratique s’applique au faute imaginaire, le joueur feint alors une faute énorme n’hésitant pas à se rouler à terre en criant comme un cochon qu’on égorge. Les meilleurs dans la maîtrise de cet art sont majoritairement Italiens et attaquants.
:meuh
Starfuckers
Some men need some killer weed, some men need cocaine ...
My God sits in the back of the limousine.
It's better to burn out than to fade away
You, Sarkozy and the Devil Makes 3.
Some men need some killer weed, some men need cocaine ...
My God sits in the back of the limousine.
It's better to burn out than to fade away
You, Sarkozy and the Devil Makes 3.