27-11-2003, 20:14
(Modification du message : 07-12-2003, 10:21 par boeuf mode.)
Eau et gaz à tous les étages
Depuis le dernier OM-PSG de sinistre mémoire, il s'en est passé des vertes et des pas mûres au sein de la maison rouge et bleue. En haut-lieu du consortium Vivendi univers sale, on a commencé par virer tous les cadres ou presque, du big boss de canal aux ramasseurs de baballes, des gonzesses pas trop moches aux suceurs de balloches, en passant par le président délégué, le coach et les majorettes.
Le moins qu'on puisse dire est qu'on a fait du ménage bourru du côté de Paname. Exit Pervers Perpère et sa tronche d'énarque lénifiant, autant premier de la classe affaire que bonnet d'âne balle aux pieds. Adios Luis le bossu parti se requinquer sur son terroir d'origine. Bye bye Couture, Xavier de son petit nom, lourdé à la fois de la chaîne cryptée et du cur de la belle Claire. A ne pas confondre avec l'abbé Pierre
Sur le terrain, ça a pas mal valsé aussi, merci. Le rongeur carioca en avait plein l'arrière-train de traîner ses guêtres dans les boites enfumées de Pantruche. Il écume désormais les hauts-lieux de la vie nocturne catalane. Accessoirement, quand il a fini de rayer le parquet des pistes de danse, il fait le bonheur des socios du Camp Nou.
A part ça, on a essayé de se débarrasser d'Andre Luis en le prêtant aux Corinthians. Peine perdue car la peine capitale est abolie dirait le grand Serge. Aux dernières nouvelles, il aurait été remercié et son retour au bercail est redouté par le staff technique du camp des Loges. Faut dire qu'il est sous contrat avec le PSG jusqu'en 2007... Pour sa part, Pochettino, l'homme de la pampa, s'en est allé découvrir les vins fins du Médoc.
Que reste-il de nos amours ? Pas grand-chose à vrai dire, d'autant plus que Fourre-tout, dont le patronyme évoque plus un bric-à-brac qu'une chanson douce, a engagé en premier lieu un nettoyeur. Un vrai, un spécialiste des fongicides et autres herbicides, une sorte d'aérosol sur deux pattes vite surnommé Baygon vert par ses employés à cause de son passage remarqué chez Rhône-Poulenc. Sa véritable identité : Bertrand Méheut. Sa mission : remettre de l'ordre fissa dans la chaîne à péage et réanimer en passant le PSG.
Dame, il a pas fallu lui dire deux fois au défoliant. Il a d'abord investi dans la Graille. La tortore, y'a que ça de vrai. Quand l'appétit va, tout va dixit le vieil adage. Ensuite, il a fallu trouver un entraîneur. Pas confondre, les entraîneuses, c'est l'apanage du bois de boulogne. Les tours de passe-passe, ils en ont fait le deuil à Saint-Germain depuis le départ du magicien aux dents qui poussent. Ni une ni deux on a intronisé Coach Vahid
Lui, c'est une sorte de compromis entre le vampire de Düsseldorf et un épouvantail kossovar. Vaut mieux l'avoir en photo dans son salon ou dans sa piaule qu'en présentiel. C'est le genre de gugusse à faire louper une couvée de singes. Quand il sourit, c'est toute votre tapisserie qui rend l'âme. Quand il sort une vanne, vous devez couper illico le compteur d'eau.
Il est venu, il a vu, il a vaincu parfois, convaincu moins souvent. Sauf à l'extérieur. C'est bien là que le bât blesse. Au Parc des Princes, les troupes parisiennes piétinent et peinent à faire le jeu. Chez l'habitant par contre, on se recroqueville sur soi-même et on frappe en contre. On reconnaît bien la tactique fourbe du bosniaque. Tous derrière et Pauleta devant dans le rôle du petit cheval blanc.
C'est bien à ce Pedro-là qu'il va falloir faire gaffe dimanche. Une seconde d'inattention de notre arrière-garde et c'est la balle au fond des filets du croate. Lui qui ironisait encore l'autre jour entre deux déprimes. Il faudrait Barthez à un poteau et moi à l'autre qui disait. Face au lusitanien, ce serait pas du luxe. Mieux, à défaut de nous faire une belle jambe, ça rassurerait au niveau du palpitant.
M'enfin, vaut mieux n'en rire que n'en pleurer. Là, si on est pas motivé, faudra penser à changer de turbin, les aminches. Faire des ménages ou investir dans le CAC40. Se reconvertir dans la mode ou songer à repasser son bac. Vu les bonnes dispositions affichées contre le Real on attend une victoire sinon rien. Ou alors un Ricard mais à très forte dose. Un jaune des plus balaise qui nous éviterait d'être vert de rage
boeuf mode :drapeau_c
Depuis le dernier OM-PSG de sinistre mémoire, il s'en est passé des vertes et des pas mûres au sein de la maison rouge et bleue. En haut-lieu du consortium Vivendi univers sale, on a commencé par virer tous les cadres ou presque, du big boss de canal aux ramasseurs de baballes, des gonzesses pas trop moches aux suceurs de balloches, en passant par le président délégué, le coach et les majorettes.
Le moins qu'on puisse dire est qu'on a fait du ménage bourru du côté de Paname. Exit Pervers Perpère et sa tronche d'énarque lénifiant, autant premier de la classe affaire que bonnet d'âne balle aux pieds. Adios Luis le bossu parti se requinquer sur son terroir d'origine. Bye bye Couture, Xavier de son petit nom, lourdé à la fois de la chaîne cryptée et du cur de la belle Claire. A ne pas confondre avec l'abbé Pierre
Sur le terrain, ça a pas mal valsé aussi, merci. Le rongeur carioca en avait plein l'arrière-train de traîner ses guêtres dans les boites enfumées de Pantruche. Il écume désormais les hauts-lieux de la vie nocturne catalane. Accessoirement, quand il a fini de rayer le parquet des pistes de danse, il fait le bonheur des socios du Camp Nou.
A part ça, on a essayé de se débarrasser d'Andre Luis en le prêtant aux Corinthians. Peine perdue car la peine capitale est abolie dirait le grand Serge. Aux dernières nouvelles, il aurait été remercié et son retour au bercail est redouté par le staff technique du camp des Loges. Faut dire qu'il est sous contrat avec le PSG jusqu'en 2007... Pour sa part, Pochettino, l'homme de la pampa, s'en est allé découvrir les vins fins du Médoc.
Que reste-il de nos amours ? Pas grand-chose à vrai dire, d'autant plus que Fourre-tout, dont le patronyme évoque plus un bric-à-brac qu'une chanson douce, a engagé en premier lieu un nettoyeur. Un vrai, un spécialiste des fongicides et autres herbicides, une sorte d'aérosol sur deux pattes vite surnommé Baygon vert par ses employés à cause de son passage remarqué chez Rhône-Poulenc. Sa véritable identité : Bertrand Méheut. Sa mission : remettre de l'ordre fissa dans la chaîne à péage et réanimer en passant le PSG.
Dame, il a pas fallu lui dire deux fois au défoliant. Il a d'abord investi dans la Graille. La tortore, y'a que ça de vrai. Quand l'appétit va, tout va dixit le vieil adage. Ensuite, il a fallu trouver un entraîneur. Pas confondre, les entraîneuses, c'est l'apanage du bois de boulogne. Les tours de passe-passe, ils en ont fait le deuil à Saint-Germain depuis le départ du magicien aux dents qui poussent. Ni une ni deux on a intronisé Coach Vahid
Lui, c'est une sorte de compromis entre le vampire de Düsseldorf et un épouvantail kossovar. Vaut mieux l'avoir en photo dans son salon ou dans sa piaule qu'en présentiel. C'est le genre de gugusse à faire louper une couvée de singes. Quand il sourit, c'est toute votre tapisserie qui rend l'âme. Quand il sort une vanne, vous devez couper illico le compteur d'eau.
Il est venu, il a vu, il a vaincu parfois, convaincu moins souvent. Sauf à l'extérieur. C'est bien là que le bât blesse. Au Parc des Princes, les troupes parisiennes piétinent et peinent à faire le jeu. Chez l'habitant par contre, on se recroqueville sur soi-même et on frappe en contre. On reconnaît bien la tactique fourbe du bosniaque. Tous derrière et Pauleta devant dans le rôle du petit cheval blanc.
C'est bien à ce Pedro-là qu'il va falloir faire gaffe dimanche. Une seconde d'inattention de notre arrière-garde et c'est la balle au fond des filets du croate. Lui qui ironisait encore l'autre jour entre deux déprimes. Il faudrait Barthez à un poteau et moi à l'autre qui disait. Face au lusitanien, ce serait pas du luxe. Mieux, à défaut de nous faire une belle jambe, ça rassurerait au niveau du palpitant.
M'enfin, vaut mieux n'en rire que n'en pleurer. Là, si on est pas motivé, faudra penser à changer de turbin, les aminches. Faire des ménages ou investir dans le CAC40. Se reconvertir dans la mode ou songer à repasser son bac. Vu les bonnes dispositions affichées contre le Real on attend une victoire sinon rien. Ou alors un Ricard mais à très forte dose. Un jaune des plus balaise qui nous éviterait d'être vert de rage
boeuf mode :drapeau_c