12-10-2003, 03:33
(Modification du message : 06-12-2003, 11:37 par boeuf mode.)
Manger des pissenlits par le Racing
Halte-là ! Que nenni ! Nothing, nada, peau de zob, on lâche rien... On va pas en Alsace pour casser sa pipe. Bouffer de la plante diurétique, très peu pour nos vessies. Ces dernières n'ont rien de lanterne même si elles sont illuminées pour l'heure par la vague des succès et par leur arrosage associé ! Dame, çà sollicite l'organe, la victoire. On boit des bulles avec les balles au fond.
Rapport aux racines, Strasbourg semble enfin retrouver les siennes. Exit les multinationales Mac Cormack and co, terminado Proisy et son attache-case pari gogo, mais retour au terroir, aux valeurs traditionnelles, aux vertus de l'humus Voici venu l'Egon, 72 printemps tout mouillé, aussi populiste que l'autre était pisse-menu. Cet homme-là monsieur pratique le bain de foule jusque dans la tempête et s'immisce dans le kop strasbourgeois comme un canidé dans un jeu de quilles
Remarque bien, çà a du bon l'authentique. Les croqueurs de bretzel pratiquent un jeu plaisant ce qui n'était pas arrivé depuis Mathusalem ou presque. Ils pointent leur museau en septième position sous la houlette d'un Kombouaré dont les débuts au plus au niveau sont plus qu'encourageants. Faut dire, ils se sont correctement musclés à l'intersaison.
Sur les rives du Rhin ont débarqué pêle-mêle, une vieille gloire nommé Dutruel, un récupérateur inlassable en la personne de Farnerud, Pontus Frangibus pas l'Arlésienne de l'OM, et un duo africain d'attaquants Niang-Mouloungui. Associés à Ljuboja, tout nouvel international serbe, ces deux-là peuvent faire trembler plus d'un stoppeur majeur et vacciné.
Dans l'inventaire local, on oubliera pas le vétéran Martins à la manette et le colosse Bassila en position d'essuie-glaces. Certes, les proprios ont résilié un Beye au profit de qui vous savez mais est-ce vraiment une moins-value ? De toute façon, fallait faire des éconocroques. C'est pas simple dans le secteur Est. Faut pas croire, même la perte de Gress jadis n'avait pas allégé la masse salariale
A propos de surcharge pondérale, on a perdu Carrasso dans le match caritatif organisé par Zizou, le divin tonsuré. Ligaments croisés, sa saison au Cédric est déjà terminée avant même d'avoir commencé. Perrin s'est déjà mis en quête d'un suppléant. On recause de Barthez qui passe le plus clair de son temps à cirer les bancs humides de la perfide Albion. Le blême, c'est que l'homme à la boule de billard la plus lustrée de l'hexagone palpe un salaire de nabab et que Bob le Flambeur en a marre de cracher au bassinet
Alors on fait comment ? On peut engager des mi-portions, comme le suggère amicalement le quotidien du sportif en pyjama-charentaises, type Heurtebis, Cassard, Durand ou Porato. M'enfin, c'est pas Fort Knox, ceusses-là. Çà fait des lustres qui z'ont ouvert leur cage et pas simplement aux zozieaux. En attendant Godot ou autre Isaksonn , il nous reste le dernier des Gavanon
Quoiqu'il en soit cette escapade à la Meinau ne s'annonce pas comme un voyage de noces. Sans Mido et Vachousek privés de riesling pour cause de suspension, l'OM se présente avec des arguments offensifs un tantinet à la baisse. Peut-être l'occasion de faire monter d'un cran Marlet qui n'a pas encore trouvé sa place de prédilection au sein du collectif. Au côté de notre chasseur d'ivoire, il peut constituer vendredi un redoutable tandem de prédateurs au pays des cigognes
Halte-là ! Que nenni ! Nothing, nada, peau de zob, on lâche rien... On va pas en Alsace pour casser sa pipe. Bouffer de la plante diurétique, très peu pour nos vessies. Ces dernières n'ont rien de lanterne même si elles sont illuminées pour l'heure par la vague des succès et par leur arrosage associé ! Dame, çà sollicite l'organe, la victoire. On boit des bulles avec les balles au fond.
Rapport aux racines, Strasbourg semble enfin retrouver les siennes. Exit les multinationales Mac Cormack and co, terminado Proisy et son attache-case pari gogo, mais retour au terroir, aux valeurs traditionnelles, aux vertus de l'humus Voici venu l'Egon, 72 printemps tout mouillé, aussi populiste que l'autre était pisse-menu. Cet homme-là monsieur pratique le bain de foule jusque dans la tempête et s'immisce dans le kop strasbourgeois comme un canidé dans un jeu de quilles
Remarque bien, çà a du bon l'authentique. Les croqueurs de bretzel pratiquent un jeu plaisant ce qui n'était pas arrivé depuis Mathusalem ou presque. Ils pointent leur museau en septième position sous la houlette d'un Kombouaré dont les débuts au plus au niveau sont plus qu'encourageants. Faut dire, ils se sont correctement musclés à l'intersaison.
Sur les rives du Rhin ont débarqué pêle-mêle, une vieille gloire nommé Dutruel, un récupérateur inlassable en la personne de Farnerud, Pontus Frangibus pas l'Arlésienne de l'OM, et un duo africain d'attaquants Niang-Mouloungui. Associés à Ljuboja, tout nouvel international serbe, ces deux-là peuvent faire trembler plus d'un stoppeur majeur et vacciné.
Dans l'inventaire local, on oubliera pas le vétéran Martins à la manette et le colosse Bassila en position d'essuie-glaces. Certes, les proprios ont résilié un Beye au profit de qui vous savez mais est-ce vraiment une moins-value ? De toute façon, fallait faire des éconocroques. C'est pas simple dans le secteur Est. Faut pas croire, même la perte de Gress jadis n'avait pas allégé la masse salariale
A propos de surcharge pondérale, on a perdu Carrasso dans le match caritatif organisé par Zizou, le divin tonsuré. Ligaments croisés, sa saison au Cédric est déjà terminée avant même d'avoir commencé. Perrin s'est déjà mis en quête d'un suppléant. On recause de Barthez qui passe le plus clair de son temps à cirer les bancs humides de la perfide Albion. Le blême, c'est que l'homme à la boule de billard la plus lustrée de l'hexagone palpe un salaire de nabab et que Bob le Flambeur en a marre de cracher au bassinet
Alors on fait comment ? On peut engager des mi-portions, comme le suggère amicalement le quotidien du sportif en pyjama-charentaises, type Heurtebis, Cassard, Durand ou Porato. M'enfin, c'est pas Fort Knox, ceusses-là. Çà fait des lustres qui z'ont ouvert leur cage et pas simplement aux zozieaux. En attendant Godot ou autre Isaksonn , il nous reste le dernier des Gavanon
Quoiqu'il en soit cette escapade à la Meinau ne s'annonce pas comme un voyage de noces. Sans Mido et Vachousek privés de riesling pour cause de suspension, l'OM se présente avec des arguments offensifs un tantinet à la baisse. Peut-être l'occasion de faire monter d'un cran Marlet qui n'a pas encore trouvé sa place de prédilection au sein du collectif. Au côté de notre chasseur d'ivoire, il peut constituer vendredi un redoutable tandem de prédateurs au pays des cigognes