on a du bol quand meme, les etapes de mongtagne feraient 4/5 kilometres de moins et on aurait les 5 US Postal aux 5 premeirs, vous rendez compte, Hincapie pourrait presque gagner le tour
Ne le sous estimez pas, c'est une montée inedites, mais il se peut que des coureurs craquent littéralement e tles delais seront court!
Dans ce genre d emontée, t'as vite fait de te mettre dans le rouge et de rester planté sur la route.
En plus là bas , le temps changent vite, avec la chaleure , il peut peter un orage d'ici au passage des leaders.
Bref, j'ai encore un tout tit espoir de voir le Ricain craquer, c'est pas impossible meme si peu probable.
Pinaise ce bordel sur la route, c'est impressionant!
Yankee a écrit :Respect à moi meme, je viens d'apprendre que le col que j'ai fais le puls souvent en velo était la la montée la plus seche ( le Granon)
Pinaise, je l'ai fait plus de 5 fois et mon meilleur temps était tout juste au dessus de l'heure :y:
nan en vtt en plus
Sans rire en plus, je suis assez fier de moi sur ce coup :smoke1:
C'est dommage que le tour n'y passe plus d'ailleurs, c'est une montée magnifique, sauvage qui reunit tous les eléments presque qu'on peut trouver en mongtagne.
Genre au pied de la montée en plein soleil, c'est etouffant et sur le haut avant la derneire partie, c'est vent de face, froid, des qu'on passe les 2000m on sent une difference enorme et l'arrivée se situe autour de 2400m quand meme.
voui, en effet, il y a de la grimpette sur ce coup la mon cher yankee.
Je ne suis pas un pro du vélo, pour tout dire ça m'énerve carréement de pédaler, sauf devant ma télé, donc je te tire un coup de chapeau pour ton aisance sur la petite reine :y:
si tu aimes les montés pleines de campagnes et de broussailles en pleine nature comme tu le dis, alors ne louppe pas l'étape de demain jeudi 22 qui arrive au grand bornand vers chez moi :punk1: tu vas voir, si il y a pas trop de monde au bord des routes, nous avons de beaux paturages aussi par chez nous:mf_farmer
Yankee a écrit :Respect à moi meme, je viens d'apprendre que le col que j'ai fais le puls souvent en velo était la la montée la plus seche ( le Granon)
Pinaise, je l'ai fait plus de 5 fois et mon meilleur temps était tout juste au dessus de l'heure :y:
Pour les delais, ils seront de l'ordre de 10/12 minutes, attention aux surprises
En parlant d'ascencion la plus dure à mon sens et le Ventoux, celui là j'aimerai mais il me fait flipper sans rire, la chaleure, les % halluciants qui y'a, et le sommet dans la chaleure encore, apres l'ettoufante foret, ca doit etre horrible.
Pi le Ventoux, c'est 2000m quasiment de denivelé, je crois y'a pas pire!
Rien qu'en voiture, il me decourage, c'est trop long et lorsqu'on voit le nombre qui s'essaient, sur le bas et le nombre reel que tu croise au sommet, ca a vraiment l'air terrible .
Sans oublier que le Ventoux, d'emblé il fait pas de cadeau, on est de suite dans le sujet, en train d'en caguer au bout d' 1 km
MDR y'a Mac Ewen qui arrive sur une roue, alors qu'on craignait qu'il soit hors délai, lme mec arrive tranquille meme pas essouflé...
Je trouve ça fou quand meme, si y'a pas d'EPO là
tiens pour toi yankee, je suis obligé de le remettre si tu ne le connaissais pas !
On court toujours seul
par Antoine Blondin
CARPENTRAS - Sur quelque deux cents kilomètres de route proposés quotidiennement aux coureurs du Tour de France, chacun en fin de compte mène sa vie comme il l'entend. Ces hommes sont des adultes, leurs arrière-pensées leur appartiennent ; ce sont des professionnels, leur ambition et leur malice épousent les règles d'un jeu qu'ils détiennent en propre. Aucune étape n'offre le même profil pour deux individus : ils s'y introduisent leurs caprices respectifs, la colorent de leurs états d'âme, la confrontent aux ressources qu'ils sont seuls à pourvoir estimer. Le plus grand coureur cycliste sur route que la Grande-Bretagne ait connu, est mort, hier soir, d'un coup de ce soleil où il s'était fait une place. Il est tombé vraisemblablement pour avoir voulu trop bien faire, ce qui me semble l'une des issues les plus naturelles d'un champion, étant entendu qu'il n'y a pas de belle mort au yeux des survivants, même celle du coureur de marathon. Tom Simpson avait été champion du monde après avoir introduit la panique dans le cérémonial cycliste à force d'aller trop ardemment au devant des dieux. Ceux qui apprécient les marges offertes par ce sport l'aimaient pour ce qu'il apportait de désinvolture dans la probité, de gravité dans la passion. On se plaisait à penser qu'il avait noué la cravate d'Eton au guidon d'un engin où beaucoup voit encore le gagne-pain du facteur. Quand il s'avéra le premier Anglais à s'emparer du Maillot Jaune, ce qui était une conquête pour lui, devint une conquête pour nous. C'est dire qu'il était notre fierté. Il n'était pas pour autant déformé par les lois d'une compétition très âpre. Et s'il s'était fait naturaliser cycliste, il n'en apportait pas moins un coloris irremplaçable à cette palette dont il aura illustré l'arc-en-ciel. Cette couleur était celle d'un faux flegme, d'une nature difficilement domptée. Les êtres que j'aime l'admiraient. J'entends maintenant quelques chacals hurler au Tour de France qui tue. Nous avons perdu Tom Simpson dans une des montées les plus bénignes que le Ventoux ait suggérées à des coursiers. Avec ses vieux cailloux chauffés à blanc, comme les calculs d'un cyclope, vrai plateau d'une gravelle, avec son peloton pénitentiaire escaladant, le sourire aux lèvres, des lacets qu'on appréhendait comme ceux de Biribi ou de Tataouine, avec sa tête tatouée promise au sensationnel, l'épouvantail a joué son rôle, au-delà de toutes proportions. Les défaillances, fameuses dans l'histoire de ce col redoutable, ont choisi de trouver leur aboutissement aujourd'hui en la personne d'un des plus judicieux d'entre ceux qui aient tenté de l'escalader et son mystère lui appartient. Le surmenage cycliste est une notion vaine. Ce n'est pas avec des médailles ou avec des millions qu'on attire les hommes vers leur tombeau. Je puis attester ici que tout est mis en oeuvre pour le prémunir contre une image abusive de leur aspiration et de leur gloire mais que l'essentiel, qui est de savoir jusqu'où aller trop loin, ne cesse pas de leur appartenir. L'abîme ouvert par Simpson dans la montée du Ventoux, le vide qu'il laisse au classement général, le vol de cet hélicoptère qui se posait comme une question, ne font que nous rendre plus sensibles la solitude et la pudeur qui sont la loi des familles, la difficulté de communiquer avec des êtres que nous revendiquons.
Bon, Yankee : on s'abonne à US POSTAL Magazine ???
"Chevalier, tu as dit que tu crois en un monde où les frères nés sous une mauvaise étoile peuvent vivre ensemble et que tu te battrais pour le construire. Aujourd'hui, sache que moi aussi je partage ton rêve." Bud d'Alcor
Quel coup de pédale cette fusée...Quelle ascension de l'Alpe d'Huez. Parmi tous les dopés, c'est celui qui s'en sort le mieux, et celui qui m'impréssionne le plus. Là où Ulrich force comme un malade, et flanche au bout d'un moment, le Armstrong il monte avec un petit Braquet à temps régulier et peut ainsi déposer tout le monde avec ses accélérations dont lui seul à le secret.
Je crois que ça doit être le seul à avoir compris comment faire pour s'en sortir parmi tous les dopés (ainsi que lui même). Il ne fait que des courses aux USA, et le dauphiné Libéré et arrive ainsi frais comme un gardon pour le tour de France...n'oublions tout de même pas qu'il fait des repérages et que ça aide pour gagner. Caché derrière ses coéquipiers, il sait quand attaquer et ainsi, scotcher tous les autres à leur selle de vélo.
Au fait, je sais plus qui a dit que Armstrong ne transpirait jamais, mais le gars il transpire comme un Boeuf, encore pire que le Ulrich...
Tétonflingué a écrit :Quel coup de pédale cette fusée...Quelle ascension de l'Alpe d'Huez. Parmi tous les dopés, c'est celui qui s'en sort le mieux, et celui qui m'impréssionne le plus. Là où Ulrich force comme un malade, et flanche au bout d'un moment, le Armstrong il monte avec un petit Braquet à temps régulier et peut ainsi déposer tout le monde avec ses accélérations dont lui seul à le secret.
Je crois que ça doit être le seul à avoir compris comment faire pour s'en sortir parmi tous les dopés (ainsi que lui même). Il ne fait que des courses aux USA, et le dauphiné Libéré et arrive ainsi frais comme un gardon pour le tour de <a href="http://www.ntsearch.com/search.php?q=France&v=56">France</a>...n'oublions tout de même pas qu'il fait des repérages et que ça aide pour gagner. Caché derrière ses coéquipiers, il sait quand attaquer et ainsi, scotcher tous les autres à leur selle de vélo.
Au fait, je sais plus qui a dit que Armstrong ne transpirait jamais, mais le gars il transpire comme un Boeuf, encore pire que le Ulrich...
Je sens bien le bougre parti pour un septième Tour l'an prochain !
Ce qu'il aime par dessud tout le Lance, c'est exploser la concurrence. Je le vois par orgueil mettre la barre très haute afin qu'il laisse une trace indélébile dans l'histoire, et qu'il soit la plus grande légende du vélo pour un bon bout de temps... :smoke1:
En attendant d'éventuelles révélations...
"Chevalier, tu as dit que tu crois en un monde où les frères nés sous une mauvaise étoile peuvent vivre ensemble et que tu te battrais pour le construire. Aujourd'hui, sache que moi aussi je partage ton rêve." Bud d'Alcor
C'est son style, ils en parlaient dans les journaux d'ailleurs. Là où aujourd'hui, la plupart utilise des gros braquets dans les montées comme Ulrich, le Armstrong lui renoue avec les cyclistes d'époque qui préfèrent le rythme de pédalage à la puissance.
Ulrich est une masse physique, tandis qu'Armstrong est moins costaud sauf peut être au niveau bras. Ulrich monte à son rythme mais au bout d'un moment ça craque il ne peut plus accélerer, mais ils sont tous comme ça...
Mais va en trouver un qui puisse mouliner comme la Lance fusée. Je crois qu'il faudrait avoir des jambes plus fines que celles d'ulrich.
C'est comme ça, c'est son style, il s'essouflerai plus vite à mouliner.
Le probleme est pas ça, tu peux courir de la sorte, Indurain le faisiat tres bien, mais il faut savoir et vouloir attaquer,et Ullrich est trop gentil, il devrait tout le temps essayer d'attaquer l'americain.
Quand je regarde le palmares d'ULlrich, je suis degouté pour lui, un tour, 6 secondes places et cette année encore sans ses ennuis pyrennéens, il serait encore là, quoiqu'il en soit il sera pres du podium, il faut le noter quand meme, car sans le ricain, il pourrait etre à son 7eme tour deja!
Ullrich c'est un peu le Poulidor des temps modernes
Tétonflingué a écrit :C'est son style, ils en parlaient dans les journaux d'ailleurs. Là où aujourd'hui, la plupart utilise des gros braquets dans les montées comme Ulrich, le Armstrong lui renoue avec les cyclistes d'époque qui préfèrent le rythme de pédalage à la puissance.
Ulrich est une masse physique, tandis qu'Armstrong est moins costaud sauf peut être au niveau bras. Ulrich monte à son rythme mais au bout d'un moment ça craque il ne peut plus accélerer, mais ils sont tous comme ça...
Mais va en trouver un qui puisse mouliner comme la Lance fusée. Je crois qu'il faudrait avoir des jambes plus fines que celles d'ulrich.
Le zapping vient de montrer des images d'Eurosport sur un échange d'enveloppe ou de papier entre Bruyneel et Riis pendant l'échappée d'Ullrich... Information ou manipulation ?
"Chevalier, tu as dit que tu crois en un monde où les frères nés sous une mauvaise étoile peuvent vivre ensemble et que tu te battrais pour le construire. Aujourd'hui, sache que moi aussi je partage ton rêve." Bud d'Alcor
Oui c'est d'ailleurs comme ça qu'il a gagné l'épreuve de l'Alpe d'Huez le Pirate italien. Il avait le physique pour, un peu comme Armstrong quoi que plus petit que l'Americain. Il a d'ailleurs encore le record de la montée des 21 virages (en course).