12-09-2003, 18:20
(Modification du message : 17-01-2004, 08:22 par boeuf mode.)
Rillettes sous les aisselles
Nan monsieur, çà sent pas bon le promu, cette année! Si d'aventure, vous vous laissez aller à jeter un cil sur les positions respectives de nos newbees, vous vous rendrez compte fissa que c'est pas vraiment Byzance pour la troïka des transfuges de Ligue 2. Tout ce petit monde caracolent déjà joyeusement en queue de peloton, la peur au ventre et les valises pleines
Le MUC 72, nouveau fleuron de la cité sarthoise ne fait pas exception à la règle. Après voir flambé à l'étage inférieure la saison dernière, la sympathique troupe du sémillant Goudet joue désormais les utilités et surtout le maintien. Et c'est pas la fessée déculottée at home infligée récemment par les mangeurs de choucroute qui va la sortir du pétrin.
Faut dire que le jeu développé par les Jaune et Rouge, çà a tendance à provoquer l'anxiété. Pire, le bourdon. A force de les mater le long de sa ligne de touche, il diffuse plus à la cantonade uniquement des rillettes sous les bras, coach Thierry Very dick, il donne carrément dans le Gulf Stream sous le joufflu.
Comme dirait Bernie Bonvoisin, son salaire, c'est le salaire de la sueur à l'éducateur. Sézigue, les déodorisants de chez Narta, il se les fait livrer par container. Au jour d'aujourd'hui, un vaporisateur classique, çà lui fait pas une mi-temps. Faut avouer qu'un but marqué en cinq matchs, çà fait tache, voire auréole
Remarque bien, c'est pas que la faute au Cousin. L'animation offensive mancelle ressemble au désert de Gobi en hiver. Le grand blanc. Recherche meneur de jeu désespérément. Si y'en a un qui plafonne dans la ligne droite des Hunaudières, qu'on l'amène illico au training. Parce qu'on peut pas dire que pour l'heure, à Léon Bollée, on est affaire à des bolides
Question arrière-garde, c'est pas non plus le Pérou. Capron en renfort, on va pas se convaincre que çà glace le raisiné. Eddie sois bon, y'a que dans la chanson des Chaussettes Noires qu'on peut y croire. Pis, cerise sur le gâteux, ils viennent de perdre leur défenseur nordique Dan Eggen, victime d'une fracture de fatigue. Comme si çà suffisait pas
A la Commanderie, çà transpire mais uniquement du bonheur. Les sécrétions liquides relatives à la crainte, on les laisse à nos adversaires. Qu'on se le dise, l'OM new-look impressionne. Faut comprendre, on a sacrément renouvelé les cadres de l'attaque à l'intersaison. Y'a eu un chassé-croisé digne des grandes transhumances estivales. Un wagon de chèvres s'en est allé et les nouveaux arrivants n'ont pas tardé à trouver leurs marques.
A l'image de Drogba, qui remplace avantageusement son compatriote tueur de gabians remercié à l'amiable, les recrues olympiennes veulent casser la baraque. Tandis que Vachousek fait parler sa technique, Meriem et Marlet sont déjà dans le coup, motivés comme des morts de faim sur un sandwich SNCF. Bon, pour Mido, faudra attendre encore un peu. L'égyptien aime la vie et elle le lui rend bien
Quoiqu'il en soit, en cet an II de l'ère Bouchet-Perrin, on aimerait assurément voir un OM se sortir les tripes face à cet aréopage bien néophyte de charcutiers traiteurs. Une pâtée mémorable leur ferait un bien immense et leur rappellerait tout de go l'avenir de leur profession
:français: c'est avec émotion que je livre ici-même ce premier édito!
que la fête commence!
Nan monsieur, çà sent pas bon le promu, cette année! Si d'aventure, vous vous laissez aller à jeter un cil sur les positions respectives de nos newbees, vous vous rendrez compte fissa que c'est pas vraiment Byzance pour la troïka des transfuges de Ligue 2. Tout ce petit monde caracolent déjà joyeusement en queue de peloton, la peur au ventre et les valises pleines
Le MUC 72, nouveau fleuron de la cité sarthoise ne fait pas exception à la règle. Après voir flambé à l'étage inférieure la saison dernière, la sympathique troupe du sémillant Goudet joue désormais les utilités et surtout le maintien. Et c'est pas la fessée déculottée at home infligée récemment par les mangeurs de choucroute qui va la sortir du pétrin.
Faut dire que le jeu développé par les Jaune et Rouge, çà a tendance à provoquer l'anxiété. Pire, le bourdon. A force de les mater le long de sa ligne de touche, il diffuse plus à la cantonade uniquement des rillettes sous les bras, coach Thierry Very dick, il donne carrément dans le Gulf Stream sous le joufflu.
Comme dirait Bernie Bonvoisin, son salaire, c'est le salaire de la sueur à l'éducateur. Sézigue, les déodorisants de chez Narta, il se les fait livrer par container. Au jour d'aujourd'hui, un vaporisateur classique, çà lui fait pas une mi-temps. Faut avouer qu'un but marqué en cinq matchs, çà fait tache, voire auréole
Remarque bien, c'est pas que la faute au Cousin. L'animation offensive mancelle ressemble au désert de Gobi en hiver. Le grand blanc. Recherche meneur de jeu désespérément. Si y'en a un qui plafonne dans la ligne droite des Hunaudières, qu'on l'amène illico au training. Parce qu'on peut pas dire que pour l'heure, à Léon Bollée, on est affaire à des bolides
Question arrière-garde, c'est pas non plus le Pérou. Capron en renfort, on va pas se convaincre que çà glace le raisiné. Eddie sois bon, y'a que dans la chanson des Chaussettes Noires qu'on peut y croire. Pis, cerise sur le gâteux, ils viennent de perdre leur défenseur nordique Dan Eggen, victime d'une fracture de fatigue. Comme si çà suffisait pas
A la Commanderie, çà transpire mais uniquement du bonheur. Les sécrétions liquides relatives à la crainte, on les laisse à nos adversaires. Qu'on se le dise, l'OM new-look impressionne. Faut comprendre, on a sacrément renouvelé les cadres de l'attaque à l'intersaison. Y'a eu un chassé-croisé digne des grandes transhumances estivales. Un wagon de chèvres s'en est allé et les nouveaux arrivants n'ont pas tardé à trouver leurs marques.
A l'image de Drogba, qui remplace avantageusement son compatriote tueur de gabians remercié à l'amiable, les recrues olympiennes veulent casser la baraque. Tandis que Vachousek fait parler sa technique, Meriem et Marlet sont déjà dans le coup, motivés comme des morts de faim sur un sandwich SNCF. Bon, pour Mido, faudra attendre encore un peu. L'égyptien aime la vie et elle le lui rend bien
Quoiqu'il en soit, en cet an II de l'ère Bouchet-Perrin, on aimerait assurément voir un OM se sortir les tripes face à cet aréopage bien néophyte de charcutiers traiteurs. Une pâtée mémorable leur ferait un bien immense et leur rappellerait tout de go l'avenir de leur profession
:français: c'est avec émotion que je livre ici-même ce premier édito!
que la fête commence!