04-03-2011, 19:21
Cinq équipes en quatre points, cette année la ligue 1 a le goût du bouchon…doit-on pour autant affirmer qu’il ne s’agit pas d’un grand cru ?
Quand on consulte la carte des 20 on se rend vite compte que l’offre s’est éventée et qu’elle est loin de provoquer l’ivresse.
Cinq grands crus et quinze petits naïfs…
Certes cinq équipes se disputent le bouquet mais les olympiques ne produisent pas de football champagne, les cotes du Rhône comme de Provence ont perdu quelques degrés dans les sites de paris en ligne et que dire des terroirs reconnus, le Bordeaux côtoie la piquette, Auxerre en Bourgogne accumule les pépins, et le petit dernier d’Arles – Avignon ayant raté ses greffes s’identifie au sot terne…tout est en somme lié !
Seuls quelques primeurs bretons, parisiens et lillois semblent enfin récolter après avoir tant vendangé.
Chambré mais pas trop…
Une croissance difficile, une maturité tardive, un manque de cuisse, de corps et de caractère et les consommateurs français usent et abusent de critiques acides et de jugements hâtifs.
Le millésime manque d’étoffe et d’équilibre, aussitôt on prévoit une mise en bière ce qui est pour le moins paradoxal…
Lit devin…
Dans un précédent éditorial, un habile feuilletoniste, en position horizontale, se voyait réincarner dans la peau d’un brillant stratège et accomplissait de grandes prouesses, hélas, il n’était pas dans un état de perception ordinaire, ses facultés s’étaient évanouies, un peu comme celles de notre argentin de Porto qui se madérise au fil des mois.
Suggestion digestive…
Pour ceux qui en ont lourd sur l’estomac, gros sur la patate, les nauséeux, les écœurés, ceux qui ne supportent pas de voir la vitesse de Rémy mal utilisée, je préconise l’achat futur d’un passeur de premier ordre, ce qui se fait de meilleur dans notre terroir hexagonal, le brillantissime sochalien Marvin Martin.
Une cuvée Rémy Martin plairait assurément aux vieillards maniaques !
La seule arme qui m'intéresse, c'est le tire-bouchon !
Prétendait Jean Carmet qui maniait aussi bien le spirituel que le spiritueux.
Connaissant le pragmatisme de notre maître de chai et son réalisme à toute épreuve, nul doute qu’il possède l’accessoire ad hoc.
On en a connu qui privilégiaient l’étiquette mais qui ne nous faisaient jamais déguster…avec Dédé le champagne ça se sabre !
Le bouchon ça se tête ou ça se met…
L’habile joueur de pétanque avec sang froid et précision conjugue le premier verbe, l’implacable rugbyman use du second avec rage et férocité.
Les deux manières n’étant pas contradictoires pour quérir la victoire et en hommage à feu RLD, allons droit au but avec ce standard de liège.
Mon petit bouchon…
Ce terme d’affection prodigué communément à l’encontre d’un petit enfant on peut le transférer aisément sur la personne de notre virevoltant Valbuena.
Pas seulement en raison de sa morphologie d’adolescent, sa façon de balloter comme un bouchon de liège dans les défenses adverses sans jamais sombrer, son aptitude à ne pas perdre le fil traqué par toutes ces cannes, authentifie cette appellation. Vivement qu’il retrouve toutes ses capacités, nous ne possédons pas de meilleur leurre.
Rouge et de Lille…
Au moment où on inaugure à Marseille le Mémorial de la Marseillaise, au 25 de la rue Thubaneau, lieu historique où résonnèrent durant de longues années des soupirs lascifs au son des : « Ah saillera, saillera, saillera ! » on s’apprête à recevoir un grand cru…la dégustation va pouvoir commencer et nul doute que dimanche soir, sur les coups de onze heures, l’arrière train de notre adversaire justifiera le titre de ce paragraphe.
Cetace
Quand on consulte la carte des 20 on se rend vite compte que l’offre s’est éventée et qu’elle est loin de provoquer l’ivresse.
Cinq grands crus et quinze petits naïfs…
Certes cinq équipes se disputent le bouquet mais les olympiques ne produisent pas de football champagne, les cotes du Rhône comme de Provence ont perdu quelques degrés dans les sites de paris en ligne et que dire des terroirs reconnus, le Bordeaux côtoie la piquette, Auxerre en Bourgogne accumule les pépins, et le petit dernier d’Arles – Avignon ayant raté ses greffes s’identifie au sot terne…tout est en somme lié !
Seuls quelques primeurs bretons, parisiens et lillois semblent enfin récolter après avoir tant vendangé.
Chambré mais pas trop…
Une croissance difficile, une maturité tardive, un manque de cuisse, de corps et de caractère et les consommateurs français usent et abusent de critiques acides et de jugements hâtifs.
Le millésime manque d’étoffe et d’équilibre, aussitôt on prévoit une mise en bière ce qui est pour le moins paradoxal…
Lit devin…
Dans un précédent éditorial, un habile feuilletoniste, en position horizontale, se voyait réincarner dans la peau d’un brillant stratège et accomplissait de grandes prouesses, hélas, il n’était pas dans un état de perception ordinaire, ses facultés s’étaient évanouies, un peu comme celles de notre argentin de Porto qui se madérise au fil des mois.
Suggestion digestive…
Pour ceux qui en ont lourd sur l’estomac, gros sur la patate, les nauséeux, les écœurés, ceux qui ne supportent pas de voir la vitesse de Rémy mal utilisée, je préconise l’achat futur d’un passeur de premier ordre, ce qui se fait de meilleur dans notre terroir hexagonal, le brillantissime sochalien Marvin Martin.
Une cuvée Rémy Martin plairait assurément aux vieillards maniaques !
La seule arme qui m'intéresse, c'est le tire-bouchon !
Prétendait Jean Carmet qui maniait aussi bien le spirituel que le spiritueux.
Connaissant le pragmatisme de notre maître de chai et son réalisme à toute épreuve, nul doute qu’il possède l’accessoire ad hoc.
On en a connu qui privilégiaient l’étiquette mais qui ne nous faisaient jamais déguster…avec Dédé le champagne ça se sabre !
Le bouchon ça se tête ou ça se met…
L’habile joueur de pétanque avec sang froid et précision conjugue le premier verbe, l’implacable rugbyman use du second avec rage et férocité.
Les deux manières n’étant pas contradictoires pour quérir la victoire et en hommage à feu RLD, allons droit au but avec ce standard de liège.
Mon petit bouchon…
Ce terme d’affection prodigué communément à l’encontre d’un petit enfant on peut le transférer aisément sur la personne de notre virevoltant Valbuena.
Pas seulement en raison de sa morphologie d’adolescent, sa façon de balloter comme un bouchon de liège dans les défenses adverses sans jamais sombrer, son aptitude à ne pas perdre le fil traqué par toutes ces cannes, authentifie cette appellation. Vivement qu’il retrouve toutes ses capacités, nous ne possédons pas de meilleur leurre.
Rouge et de Lille…
Au moment où on inaugure à Marseille le Mémorial de la Marseillaise, au 25 de la rue Thubaneau, lieu historique où résonnèrent durant de longues années des soupirs lascifs au son des : « Ah saillera, saillera, saillera ! » on s’apprête à recevoir un grand cru…la dégustation va pouvoir commencer et nul doute que dimanche soir, sur les coups de onze heures, l’arrière train de notre adversaire justifiera le titre de ce paragraphe.
Cetace