24-11-2011, 11:21
Mes courageux pioupious, tout d’abord je commencerais ce débrief par un rappel que j'ai trouvé sur la toile :
Aux termes d’une jurisprudence désormais tout à fait établie, la faute grave est définie comme celle résultant de tout fait ou ensemble de faits imputable au salarié constituant une violation des obligations découlant de son contrat ou des relations de travail …. Pour autant, la faute grave n’est pas une faute lourde (faute en principe intentionnelle ayant de graves conséquences pour l’employeur...et le salarié, qui se voit privé de toute indemnité, y compris l’indemnité compensatrice de congés payés). En effet, une faute grave n’est pas nécessairement intentionnelle, elle peut résulter tout simplement de l’incapacité du salarié, quelle que soit sa bonne volonté, à fournir un travail exempt d’erreurs, si celles-ci sont graves.
Voilà le décor planté.
Ces messieurs de l'OM, joueurs comme entraineurs ne veulent pas faire leur métier, très bien, bon vent ! Non mais franchement, se faire mettre la misère par Modesto et Debbour… Mais le pire c’est que sur le match il n’y a rien à redire.
Les notes :
Mandanda : 8. Au moins 3 fois, il a sauvé la baraque, au bas mot. Yes he can ! Mais c’est gacher son talent que de le laisser dans cette équipe. Va t’en, on t’en voudra pas.
Kaboré : 0. Au cas où on avait encore des doutes, le poste d’arrière droit n’est pas pour lui. Nul offensivement, sans doute à cause de consignes données par le coach, mais aussi nul défensivement, toujours pris en un contre un, toujours pris par les appels dans son dos.
Diawara : 3. Devait couvrir les faiblesses des ailiers et du milieu. Quelques interventions salvatrices mais a décidé de partir à l’abordage à 15 minutes de la fin avec de pures relances de cowboy. Du grand n'importe quoi !
N’Koulou : 6. Très présent et propre encore une fois. Titulaire indiscutable.
Traoré : 1. Un nombre famélique de montées, des enrhumages en série sur son aile. Nul !
Diarra : 2. Aucun impact sur le milieu, aucune vitesse de course, il semblait complètement perdu. A eu la malchance de voir sa tête décroisée, arrêtée par le gardien. Pour le reste, des pertes de balles, des contrôles du tibia et des passes aux genoux.
Cheyrou : 2. Insignifiant au milieu. N’a jamais semblé concerné, n’a jamais fait même semblant d’orienter le jeu. Déchets techniques impressionants
Valbuéna : 1. Veut jouer le sauveur de la nation mais y arrive moins que Sauveur Giordano. Mais par contre pour bomber le torse quand il tombe pour demander la faute ou pour regarder de travers les arbitres quand la touche n’est pas pour lui, il est présent le gari. Hop, à la poubelle. Puis c’est quoi ces coup francs qui tombent dans les genoux du mur ?
Ayew A : 6. Le seul à avoir tenté, le seul à avoir percuté, le seul à avoir joué dans le bon sens. Mais trop souvent enfermé dans le coin de corner pour être décisif. Donnez nous en 11 comme ça, ça ira mieux.
Rémy : 3. Cantonné sur son aile, à un poste qui n’est pas le sien, n’a rien fait de bien.
Ayew J : 1. Alors lui, à un moment, il va falloir qu’il se dégonfle la marmite, sinon, il va finir à Blackburn dans la case espoir déchu. Nul dans le placement, nul dans les appels, n’a jamais regardé si un partenaire était mieux placé. Et pour couronner tout ça, se permet de faire un triple looping –rotation – back flip ringard pour enlever la balle à 3 équipiers seuls devant le but.
Lucho, M’Bia, Gignac sont entrés, aussi fantomatique les uns que les autres. A noter que Gignac a tiré le dernier coup franc, c’est dire si dans cette équipe, il n’y a aucune cohésion, aucun décideur, aucun plan de jeu…
Deschamps : 0. Courbis dirait que comme pour un joueur ça peut arriver à un coach de passer à coté d’un match… Sauf que quand pour ce match, vous sortez la même bétonnière que contre Arsenal, pour jouer un 0-0 honteux à domicile contre les derniers du groupe, histoire de vouloir faussement garder des forces pour le match de Dimanche, c’est à la limite du foutage de gueule. D'ailleur la limite a été franchie.
Je ne sais plus qui est le plus à blâmer dans cette équipe entre les joueurs et l’entraineur. Par contre, on a rajouté un peu plus de pression dans la cocotte, à tous les étages du club, et dès Dimanche, ça peut exploser.
Aux termes d’une jurisprudence désormais tout à fait établie, la faute grave est définie comme celle résultant de tout fait ou ensemble de faits imputable au salarié constituant une violation des obligations découlant de son contrat ou des relations de travail …. Pour autant, la faute grave n’est pas une faute lourde (faute en principe intentionnelle ayant de graves conséquences pour l’employeur...et le salarié, qui se voit privé de toute indemnité, y compris l’indemnité compensatrice de congés payés). En effet, une faute grave n’est pas nécessairement intentionnelle, elle peut résulter tout simplement de l’incapacité du salarié, quelle que soit sa bonne volonté, à fournir un travail exempt d’erreurs, si celles-ci sont graves.
Voilà le décor planté.
Ces messieurs de l'OM, joueurs comme entraineurs ne veulent pas faire leur métier, très bien, bon vent ! Non mais franchement, se faire mettre la misère par Modesto et Debbour… Mais le pire c’est que sur le match il n’y a rien à redire.
Les notes :
Mandanda : 8. Au moins 3 fois, il a sauvé la baraque, au bas mot. Yes he can ! Mais c’est gacher son talent que de le laisser dans cette équipe. Va t’en, on t’en voudra pas.
Kaboré : 0. Au cas où on avait encore des doutes, le poste d’arrière droit n’est pas pour lui. Nul offensivement, sans doute à cause de consignes données par le coach, mais aussi nul défensivement, toujours pris en un contre un, toujours pris par les appels dans son dos.
Diawara : 3. Devait couvrir les faiblesses des ailiers et du milieu. Quelques interventions salvatrices mais a décidé de partir à l’abordage à 15 minutes de la fin avec de pures relances de cowboy. Du grand n'importe quoi !
N’Koulou : 6. Très présent et propre encore une fois. Titulaire indiscutable.
Traoré : 1. Un nombre famélique de montées, des enrhumages en série sur son aile. Nul !
Diarra : 2. Aucun impact sur le milieu, aucune vitesse de course, il semblait complètement perdu. A eu la malchance de voir sa tête décroisée, arrêtée par le gardien. Pour le reste, des pertes de balles, des contrôles du tibia et des passes aux genoux.
Cheyrou : 2. Insignifiant au milieu. N’a jamais semblé concerné, n’a jamais fait même semblant d’orienter le jeu. Déchets techniques impressionants
Valbuéna : 1. Veut jouer le sauveur de la nation mais y arrive moins que Sauveur Giordano. Mais par contre pour bomber le torse quand il tombe pour demander la faute ou pour regarder de travers les arbitres quand la touche n’est pas pour lui, il est présent le gari. Hop, à la poubelle. Puis c’est quoi ces coup francs qui tombent dans les genoux du mur ?
Ayew A : 6. Le seul à avoir tenté, le seul à avoir percuté, le seul à avoir joué dans le bon sens. Mais trop souvent enfermé dans le coin de corner pour être décisif. Donnez nous en 11 comme ça, ça ira mieux.
Rémy : 3. Cantonné sur son aile, à un poste qui n’est pas le sien, n’a rien fait de bien.
Ayew J : 1. Alors lui, à un moment, il va falloir qu’il se dégonfle la marmite, sinon, il va finir à Blackburn dans la case espoir déchu. Nul dans le placement, nul dans les appels, n’a jamais regardé si un partenaire était mieux placé. Et pour couronner tout ça, se permet de faire un triple looping –rotation – back flip ringard pour enlever la balle à 3 équipiers seuls devant le but.
Lucho, M’Bia, Gignac sont entrés, aussi fantomatique les uns que les autres. A noter que Gignac a tiré le dernier coup franc, c’est dire si dans cette équipe, il n’y a aucune cohésion, aucun décideur, aucun plan de jeu…
Deschamps : 0. Courbis dirait que comme pour un joueur ça peut arriver à un coach de passer à coté d’un match… Sauf que quand pour ce match, vous sortez la même bétonnière que contre Arsenal, pour jouer un 0-0 honteux à domicile contre les derniers du groupe, histoire de vouloir faussement garder des forces pour le match de Dimanche, c’est à la limite du foutage de gueule. D'ailleur la limite a été franchie.
Je ne sais plus qui est le plus à blâmer dans cette équipe entre les joueurs et l’entraineur. Par contre, on a rajouté un peu plus de pression dans la cocotte, à tous les étages du club, et dès Dimanche, ça peut exploser.