04-12-2011, 13:11
Le Mot d’excuse de la vieille :
Le premier qui dit que dans le calva il n’y a que de la pomme et du sucre prend une Tatin.
Le Film du Match
On va pas faire du réchauffé. Vous savez tout.
En gros et en trois points: on marque. Ils marquent. On remarque.
Les Notes:
Mandanda (4) : Le phénomèno est assez rare, Dieu n’était pas dans son assiette, et nous a un peu multiplié les pizze. Une cagade Apoulesque qui vaut un péno, et des sorties Andradesque qui valent des suées. Certes Dieu est en chacun de nous mais s’ils pouvait éviter ces deux là.
Azpi (6,5): L’espagnol semble vraiment sorti de l’auberge et nous fait un come back de l’ibère nation. Bien en jambe, bien placé, bien allé et venu, pistonesque à souhait… je croise les doigts à chacune de ses génuflexions.
N'Koulou (6): Une prestation dans la lignée des précédentes, solide et propre, même si le guette, une fois par match, le syndrome zubarien, tel un mauvais grigri planqué dans ses chaussettes. Ce soir a aussi dû compenser les errements Traoresque. Bien lui en a pris.
Diawara (7) : Monstrueusement bien monté. Un roc tectonique au four volcanique de notre surface jusqu’au moulin à points que fait tourner le vent de la remontée. Tel le HUN, a fait le malheur des autres pour le bonheur des notres. Un Souley oswaldopiazzesque
Traoré (4) : Placé comme un âne qui se prendrait pour un cheval de course. Bref plus à l’aise dans le labour et souvent à la bourre. N’a pas manqué de courage mais ça ne fait pas une belle jambe pour l’intérim Morelesque.
Lucho (5,5) : El commandante n’en prendra pas pour son grade ce soir. L'argentin semble retrouver un peu de joie de jouer malgré la vivacité pastoresque d’une loche grise. Bref, c’est pas encore l’ouverture au grand large mais on s’éloigne de la mauvaise passe.
Remplacé par Valbuena (3), qui n’avait pas révisé sa copie grecque, Toupie pour lui.
A.Ayew (7) : Lui il ne change pas il est comme le prix des allumettes. Flambesque. A porté le feu au quatre coins du terrain et a entretenu les braises. Certes, parfois devrait comprendre qu’il ne doit pas toujours s’occuper seul du barbecue et faire tourner le tison. Mais on ne va pas trop chipolater: un but, une avant dernière passe decisive, un carton jaune. Soit l’ensemble de la carrière d’Eliot Grandin.
Diarra (6) : L’Alou est de moins en moins lolesque et a bien récupéré, ça tombe drôlement bien, c’est ce qu’on lui demande. Comme dit Père Fuseur, et réciproquement: l’envie c’est l’eau de vie. Soit Le meilleur moyen de se refaire la cerise.
M'Bia (6) : Retour fanfaresque pour le lion indomptable. Nous a tout fait: des rateaux, des ratés, des transversales, des latérales, des ouvertures, des fermetures, des tackles à la motte, à la hanche, au garot… jusqu’à y perdre une cheville sous le crampon d’un tripier assassin. Bref pas encore de juste milieu mais ça déménage sacrément et risque fortement de manquer dans les cartons pour Dortmund.
Remplacé par Cheyrou (4) qui n’en demandait pas tant visiblement.
Amafitano (6,5) : Dans la lignée de son match qatari aux éclats, a puisé en lui le gaz et a ouvert les vannes qui ne font plus rire. A bouffé la craie et la feuille parfois, mais le garçon a du ballon plein les pieds et son double contact Riberyesque m’a arraché une larme.
Jordan Ayew (6) : Benzemesque par moment, une conduite de balle qui trace les destins les plus prometteurs. Un but de plus entre frères. Progresse à la vitesse d’un pur sang de famille. Tout le monde nous l’abédi mais delà à le voir !
Remplacé par Gignac (nn): Rire ou pleurer, je ne sais plus.
Conclusion :
Bien sûr on a mis la marche avant, mais il y a encore de la marche avant…
Le premier qui dit que dans le calva il n’y a que de la pomme et du sucre prend une Tatin.
Le Film du Match
On va pas faire du réchauffé. Vous savez tout.
En gros et en trois points: on marque. Ils marquent. On remarque.
Les Notes:
Mandanda (4) : Le phénomèno est assez rare, Dieu n’était pas dans son assiette, et nous a un peu multiplié les pizze. Une cagade Apoulesque qui vaut un péno, et des sorties Andradesque qui valent des suées. Certes Dieu est en chacun de nous mais s’ils pouvait éviter ces deux là.
Azpi (6,5): L’espagnol semble vraiment sorti de l’auberge et nous fait un come back de l’ibère nation. Bien en jambe, bien placé, bien allé et venu, pistonesque à souhait… je croise les doigts à chacune de ses génuflexions.
N'Koulou (6): Une prestation dans la lignée des précédentes, solide et propre, même si le guette, une fois par match, le syndrome zubarien, tel un mauvais grigri planqué dans ses chaussettes. Ce soir a aussi dû compenser les errements Traoresque. Bien lui en a pris.
Diawara (7) : Monstrueusement bien monté. Un roc tectonique au four volcanique de notre surface jusqu’au moulin à points que fait tourner le vent de la remontée. Tel le HUN, a fait le malheur des autres pour le bonheur des notres. Un Souley oswaldopiazzesque
Traoré (4) : Placé comme un âne qui se prendrait pour un cheval de course. Bref plus à l’aise dans le labour et souvent à la bourre. N’a pas manqué de courage mais ça ne fait pas une belle jambe pour l’intérim Morelesque.
Lucho (5,5) : El commandante n’en prendra pas pour son grade ce soir. L'argentin semble retrouver un peu de joie de jouer malgré la vivacité pastoresque d’une loche grise. Bref, c’est pas encore l’ouverture au grand large mais on s’éloigne de la mauvaise passe.
Remplacé par Valbuena (3), qui n’avait pas révisé sa copie grecque, Toupie pour lui.
A.Ayew (7) : Lui il ne change pas il est comme le prix des allumettes. Flambesque. A porté le feu au quatre coins du terrain et a entretenu les braises. Certes, parfois devrait comprendre qu’il ne doit pas toujours s’occuper seul du barbecue et faire tourner le tison. Mais on ne va pas trop chipolater: un but, une avant dernière passe decisive, un carton jaune. Soit l’ensemble de la carrière d’Eliot Grandin.
Diarra (6) : L’Alou est de moins en moins lolesque et a bien récupéré, ça tombe drôlement bien, c’est ce qu’on lui demande. Comme dit Père Fuseur, et réciproquement: l’envie c’est l’eau de vie. Soit Le meilleur moyen de se refaire la cerise.
M'Bia (6) : Retour fanfaresque pour le lion indomptable. Nous a tout fait: des rateaux, des ratés, des transversales, des latérales, des ouvertures, des fermetures, des tackles à la motte, à la hanche, au garot… jusqu’à y perdre une cheville sous le crampon d’un tripier assassin. Bref pas encore de juste milieu mais ça déménage sacrément et risque fortement de manquer dans les cartons pour Dortmund.
Remplacé par Cheyrou (4) qui n’en demandait pas tant visiblement.
Amafitano (6,5) : Dans la lignée de son match qatari aux éclats, a puisé en lui le gaz et a ouvert les vannes qui ne font plus rire. A bouffé la craie et la feuille parfois, mais le garçon a du ballon plein les pieds et son double contact Riberyesque m’a arraché une larme.
Jordan Ayew (6) : Benzemesque par moment, une conduite de balle qui trace les destins les plus prometteurs. Un but de plus entre frères. Progresse à la vitesse d’un pur sang de famille. Tout le monde nous l’abédi mais delà à le voir !
Remplacé par Gignac (nn): Rire ou pleurer, je ne sais plus.
Conclusion :
Bien sûr on a mis la marche avant, mais il y a encore de la marche avant…