16-02-2012, 03:45
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Le mot de la vioque
Dans mon livre de chevet, il y a un chapitre où un jeune jeune berger se farcit un grand costaud au lance-pierre. Pour être honnête, sur ce coup là, mon bon dieu lui avait filé un sacré coup de main. Toujours est-il que le petit berger est devenu le roi David, et s’est fait un prénom pour l’éternité. Depuis, on a toujours tendance à ramener sa fronde et ses chèvres dès qu’il y a embrouille entre un petit et un gros.
Pourtant, ce soir, c’est le gros Goliath qui a botté le cul au berger payé au lance-pierre. N’en concluez pas, bande de mécréants, que mon bon dieu n’aime plus les pauvres. Juste, que le lait de chèvre au bout d’un moment…ben, ça lasse.
Le film du match
C’est au petit trot que L’OM a mené les débats sous un mistral à décorner les biquettes, et malgré un pourcentage de possession de balle digne d’une élection en république bananière, rien de bien saignant à signaler dans la surface de Bourg. Puis, entre deux rafales, Brandao, suivait un centre lobé d’Azpi, et marquait tranquillement, vu que sur l’action, ni les arrières et encore moins le goal bressan ne semblaient vraiment concernés par la gonfle. (0-1, 28ème).
Juste avant la mi-temps suite à une joli feinte en cadrage débordement et une belle passe de l’intenable Amalfitano, Brandao, encore lui, mettait son deuxième but d’un autre plat du pied sécurité, sa nouvelle marotte du moment. Comme quoi un cheval de bataille n’est pas forcément un bourrin. (0-2, 44ème)
La deuxième mi-temps fût une purge guillerette et débridée, éclairée par un joli but sur l’air du Jordan style, conduite de balle vers l’intérieur, drible à l’orée de la surface, frappe enchaînée au ras du poteau. (0-3, 54ème)
Quoi d’autre ? De mémoire, pas grand chose de bien palpitant. Ah si, Sabo m’a bien fait rire en essayant de se servir de ses pieds. Les Bressans sauvaient l’honneur qui n’était même pas en jeu suite à un coup franc détourné, amorti, et retombé à pic aux 6m pour le bienheureux Diaby (1-3, 75ème). Pendant ce temps Sabo continuait son show comique sous des Olé, Olé ridicules qui ne valaient pas un franc CFA. J'en avais marre de ce match et c'était bien que ça se termine. La coupe était pleine pourtant on en était bien qu'au quart.
Les Notes de mama
Bracigliano (4) Pas rassurant
Azpi (6,5) Pas dégueu
NKoulou (6) Pas de doute
Diawara (4,5) Pas de relance
Morel (4) Pas de centre
Diarra (5,5) Pas à pas
Cheyrou (5 ) Pas inoubliable
Valbuéna (5,5) Pas plus remplacé à l’heure de jeu par Sabo (2) Pas possible
Rémy (5) Pas au top Remplacé à la mi-temps par Jordan Ayew (6) Pas de velours
Amalfitano (7,5) Pas mieux
Brandao (7) Pas croyable remplacé à la75ème par Kaboré (nn) Pas assez
Conclusion :
Les olympiens ont fait le métier en battant les bressans, qui eux, en ont un autre. Ne l’oublions pas.
Allez au pieu les pious-pious et faites un vœu, dans une semaine David ce sera nous.
Le mot de la vioque
Dans mon livre de chevet, il y a un chapitre où un jeune jeune berger se farcit un grand costaud au lance-pierre. Pour être honnête, sur ce coup là, mon bon dieu lui avait filé un sacré coup de main. Toujours est-il que le petit berger est devenu le roi David, et s’est fait un prénom pour l’éternité. Depuis, on a toujours tendance à ramener sa fronde et ses chèvres dès qu’il y a embrouille entre un petit et un gros.
Pourtant, ce soir, c’est le gros Goliath qui a botté le cul au berger payé au lance-pierre. N’en concluez pas, bande de mécréants, que mon bon dieu n’aime plus les pauvres. Juste, que le lait de chèvre au bout d’un moment…ben, ça lasse.
Le film du match
C’est au petit trot que L’OM a mené les débats sous un mistral à décorner les biquettes, et malgré un pourcentage de possession de balle digne d’une élection en république bananière, rien de bien saignant à signaler dans la surface de Bourg. Puis, entre deux rafales, Brandao, suivait un centre lobé d’Azpi, et marquait tranquillement, vu que sur l’action, ni les arrières et encore moins le goal bressan ne semblaient vraiment concernés par la gonfle. (0-1, 28ème).
Juste avant la mi-temps suite à une joli feinte en cadrage débordement et une belle passe de l’intenable Amalfitano, Brandao, encore lui, mettait son deuxième but d’un autre plat du pied sécurité, sa nouvelle marotte du moment. Comme quoi un cheval de bataille n’est pas forcément un bourrin. (0-2, 44ème)
La deuxième mi-temps fût une purge guillerette et débridée, éclairée par un joli but sur l’air du Jordan style, conduite de balle vers l’intérieur, drible à l’orée de la surface, frappe enchaînée au ras du poteau. (0-3, 54ème)
Quoi d’autre ? De mémoire, pas grand chose de bien palpitant. Ah si, Sabo m’a bien fait rire en essayant de se servir de ses pieds. Les Bressans sauvaient l’honneur qui n’était même pas en jeu suite à un coup franc détourné, amorti, et retombé à pic aux 6m pour le bienheureux Diaby (1-3, 75ème). Pendant ce temps Sabo continuait son show comique sous des Olé, Olé ridicules qui ne valaient pas un franc CFA. J'en avais marre de ce match et c'était bien que ça se termine. La coupe était pleine pourtant on en était bien qu'au quart.
Les Notes de mama
Bracigliano (4) Pas rassurant
Azpi (6,5) Pas dégueu
NKoulou (6) Pas de doute
Diawara (4,5) Pas de relance
Morel (4) Pas de centre
Diarra (5,5) Pas à pas
Cheyrou (5 ) Pas inoubliable
Valbuéna (5,5) Pas plus remplacé à l’heure de jeu par Sabo (2) Pas possible
Rémy (5) Pas au top Remplacé à la mi-temps par Jordan Ayew (6) Pas de velours
Amalfitano (7,5) Pas mieux
Brandao (7) Pas croyable remplacé à la75ème par Kaboré (nn) Pas assez
Conclusion :
Les olympiens ont fait le métier en battant les bressans, qui eux, en ont un autre. Ne l’oublions pas.
Allez au pieu les pious-pious et faites un vœu, dans une semaine David ce sera nous.