06-03-2012, 01:29
Optimiste, pessimiste, jm'enbranliste, jm'enfootiste...
Comme une mauvaise valse, on ne sait plus sur quel pied danser avec cet OM. Pied droit, il mène le bal, il est maitre de son destin. Pied gauche, il permet l'équilibre, un entrechat, et hop, on ne tombe pas.
C'est à peu près ça avec l'OM. 8è avec 39 points, on rattrape demain la match en retard qui nous revient de droit.
Une victoire, et hop, on devance Lyon, en sautant magnifiquement une place. Place alors à l'espoir de rattraper le quintuplé de tête pour la 3è place, en espérant un dérapage en série pour les adversaires devant nous.
Une défaite, et hop, on reste où on est mais l'aigreur en plus et la rate au court bouillon qui nous fera attendre sans envie une fin de saison bien maussade. Mais bon, puisqu'il faut chercher une raison d'y croire, allons-y.
Evian, passe moi l'éponge, disait Bob !
Bye bye Casoni, qui nous permis la première victoire de la saison. Welcome Corréa, le trou noir du football, l'antimatière du carré vert, le Martin Bouygues du jeu à domicile. Non, parce que le Pablo, vaut mieux l'avoir en peinture que sur le pré. On bétonne et on réfléchit après, c'est le prix d'un maintien. Et pendant ce temps, Jérome Leroy se mord les crampons.
Mais bon, y'a rien de mieux pour ne pas réussir face à l'OM.... demandez à Casanova, le bourreau de ces dames.
Coté OM, que dire ? pour ne pas être méchant ? Gignac est encore absent. Un match dans une ville spécialisée dans les cures thermales, c'était couru d'avance qu'il n'aimerait pas ça. Valbuéna out, comme M'Bia et Rémy, soit 3 titulaires d'un 11 qui compte à peine 7 joueurs de foot, ça fait pas beaucoup. Alors sortons nous de ce gai pied avec un match nul, genre période de convalescence, qui assure 3 jours de répit avant la prochaine date butoir, on sera tous content, ou au moins, tous conciliant en attendant des jours meilleurs.
Comme une mauvaise valse, on ne sait plus sur quel pied danser avec cet OM. Pied droit, il mène le bal, il est maitre de son destin. Pied gauche, il permet l'équilibre, un entrechat, et hop, on ne tombe pas.
C'est à peu près ça avec l'OM. 8è avec 39 points, on rattrape demain la match en retard qui nous revient de droit.
Une victoire, et hop, on devance Lyon, en sautant magnifiquement une place. Place alors à l'espoir de rattraper le quintuplé de tête pour la 3è place, en espérant un dérapage en série pour les adversaires devant nous.
Une défaite, et hop, on reste où on est mais l'aigreur en plus et la rate au court bouillon qui nous fera attendre sans envie une fin de saison bien maussade. Mais bon, puisqu'il faut chercher une raison d'y croire, allons-y.
Evian, passe moi l'éponge, disait Bob !
Bye bye Casoni, qui nous permis la première victoire de la saison. Welcome Corréa, le trou noir du football, l'antimatière du carré vert, le Martin Bouygues du jeu à domicile. Non, parce que le Pablo, vaut mieux l'avoir en peinture que sur le pré. On bétonne et on réfléchit après, c'est le prix d'un maintien. Et pendant ce temps, Jérome Leroy se mord les crampons.
Mais bon, y'a rien de mieux pour ne pas réussir face à l'OM.... demandez à Casanova, le bourreau de ces dames.
Coté OM, que dire ? pour ne pas être méchant ? Gignac est encore absent. Un match dans une ville spécialisée dans les cures thermales, c'était couru d'avance qu'il n'aimerait pas ça. Valbuéna out, comme M'Bia et Rémy, soit 3 titulaires d'un 11 qui compte à peine 7 joueurs de foot, ça fait pas beaucoup. Alors sortons nous de ce gai pied avec un match nul, genre période de convalescence, qui assure 3 jours de répit avant la prochaine date butoir, on sera tous content, ou au moins, tous conciliant en attendant des jours meilleurs.