17-03-2012, 10:30
A la St Patrice, de la victoire, retrouvons la matrice.
Pourquoi, lorsque l'on perd quelques matchs à la suite, on appelle ça une spirale (de la défaite)? J'ai jamais entendu parler de spirale de la victoire.
Une spirale part d'un point central et s'en éloigne de plus en plus en même temps qu'elle tourne autour dudit point central.
Bref, on sent l'hésitation dans le mouvement de la courbe. la spirale de la défaite a un coté irrémédiable, hypnotique et définitif, alors que c'est juste une ligne qui tourne autour du pot.
Une chose de sûre, les 4 défaites de rang de l'OM en championnat sont nettes sur le plan comptable. 0+0+0+0 = la tête à Toto et à son frère.
Il faut maintenant chercher à se sortir de cet enlisement, trouver la force morale et mentale pour inverser la tendance et revenir au point central de la spirale de la loose.
Il semble sûr que le coach Deschamps saura se servir de la défaite face à l'Inter pour redonner le gout de la victoire à ses joueurs.
Et il vaudrait mieux car le match face à Dijon et encore un match décisif. 3 points et on remonte la pente de la spirale. 0 points et il n'y aura pas qu'Abidal qui devra subir une greffe de foi.
L'OM reçoit le 18è et premier relégable. Un match à priori facile pour les phocéens. Un match qui va donc se jouer dans le camps des visiteurs, venus nous faire un joli mur de défense (un gardien et 10 joncs devant lui) prêt à planter quelques banderilles en contre.
Le duel Meité-Brandao va faire du bruit, on en tremble déjà. On a prévu de débrancher les enregistreurs sismiques et les échafaudages des travaux du Vélodrome vont être consolidés
Quoiqu'il en soit, ce soir il ne faudra pas négliger le petit dijonnais qui, bien pris, permet de bien démarrer sa journée. Préférez des tartines de pain grillé accompagnées d'un jus d'orange ou d'un café plutôt qu'une grande assiette de riz provenant de Séoul, même si le riz de Corée est l'ami du petit dijonnais.
Voilà le décor planté pour le match de ce match. Et je me félicite ici d'avoir réussi à pondre un édito sur Dijon sans parler de moutarde, même si il nous tarde d'être à ce soir.
Pourquoi, lorsque l'on perd quelques matchs à la suite, on appelle ça une spirale (de la défaite)? J'ai jamais entendu parler de spirale de la victoire.
Une spirale part d'un point central et s'en éloigne de plus en plus en même temps qu'elle tourne autour dudit point central.
Bref, on sent l'hésitation dans le mouvement de la courbe. la spirale de la défaite a un coté irrémédiable, hypnotique et définitif, alors que c'est juste une ligne qui tourne autour du pot.
Une chose de sûre, les 4 défaites de rang de l'OM en championnat sont nettes sur le plan comptable. 0+0+0+0 = la tête à Toto et à son frère.
Il faut maintenant chercher à se sortir de cet enlisement, trouver la force morale et mentale pour inverser la tendance et revenir au point central de la spirale de la loose.
Il semble sûr que le coach Deschamps saura se servir de la défaite face à l'Inter pour redonner le gout de la victoire à ses joueurs.
Et il vaudrait mieux car le match face à Dijon et encore un match décisif. 3 points et on remonte la pente de la spirale. 0 points et il n'y aura pas qu'Abidal qui devra subir une greffe de foi.
L'OM reçoit le 18è et premier relégable. Un match à priori facile pour les phocéens. Un match qui va donc se jouer dans le camps des visiteurs, venus nous faire un joli mur de défense (un gardien et 10 joncs devant lui) prêt à planter quelques banderilles en contre.
Le duel Meité-Brandao va faire du bruit, on en tremble déjà. On a prévu de débrancher les enregistreurs sismiques et les échafaudages des travaux du Vélodrome vont être consolidés
Quoiqu'il en soit, ce soir il ne faudra pas négliger le petit dijonnais qui, bien pris, permet de bien démarrer sa journée. Préférez des tartines de pain grillé accompagnées d'un jus d'orange ou d'un café plutôt qu'une grande assiette de riz provenant de Séoul, même si le riz de Corée est l'ami du petit dijonnais.
Voilà le décor planté pour le match de ce match. Et je me félicite ici d'avoir réussi à pondre un édito sur Dijon sans parler de moutarde, même si il nous tarde d'être à ce soir.