On connait tous les canonniers d’Arsène… ce qu’on sait parfois moins, c’est que c'est le club le plus ancien de Londres. Qu’il soit lié aux manufactures d’armes par son passé ouvrier, on s’en moque un peu, aujourd’hui que c’est devenu une multinationale sportive capitaliste.
Là où en revanche, l’histoire devient plus croustillante, c’est qu’ils ont sur le plan continental le même fait d’arme que le PSG, à savoir une défunte « coupe des coupes », comme tout bagage.
De là à dire que cette analogie suffit, il n’y a qu’un pas. Mais en fait, on pourrait même se mettre à marcher sur eux, tant ils semblent liés, malgré la courte histoire de Paris. Wenger, dont notre passé est rempli de mauvais gestes et perfides paroles, n’a eu de cesse depuis toujours de réussir ses matchs contre nous, ce qu’il n’a que rarement réussi, et surtout de porter atteinte à notre club par tous les moyens possibles… On passera sur l’affaire VA-OM, où mouilla son adjoint dans des conditions bien troubles, ou sur ses fréquentes déclarations moralisantes, quand il a toujours eu des comportements limites (nasri , flamini, park and co)…
Wenger, c’est aussi un passionné de foot, féru de stats en tous genre, un des rares à avoir tenu la dragée haute face à sir fergusson. Bref, c’est un grand, ne nous en déplaise… et en dépit de son maigre palmarès européen, comparé à notre casquéteux, il a une classe indéniable !
Si on ajoute à ce tableau l’idée très partagée qu’il sera l’entraineur du QSG l’an qué ven, Wenger, ça me plairait bien qu’il soit sorti en phase de poule.
Et là, on regarde juste rapidement son effectif, pour se rendre compte qu’avoir des moyens, ça aide bien. On va devoir retrouver un bloc équipe, voir 11 enragés sur le terrain si on veut parvenir à tenir la dragée haute à ce groupe qui bénéficie de talent purs, de joueurs confirmés, et d’une profondeur de banc qui laisse rêveuse. Et dans un effectif soigné, trouver le cadenas pour ne pas laisser Ozil briller de mille feux et faire croire qu’un fuoriclasse du nom de Giroud court pour ces anglois !
Bref, on est dans la mouise, mais c’est dans ces matchs là que sont nées les grandes équipes de Marseille… début de la réponse ce soir…
A craindre : le refrain trop entendu et haï au plus haut point : « on est pas loin, ça se joue à des détails, mais ce n’est pas grave, on apprend, on est une équipe jeune »…
C’est des anglais, on est marseillais. Remontez les cols, redressez-vous, et faites-nous un match d’hommes, avec du sang, du labeur, des larmes et de la sueur, pour leur rappeler que ce n’est pas une spécificité locale que ces valeurs churchilliennes. D’ailleurs, avec notre histoire digne du phénix, on lui aurait sûrement plût , au Winston…
Bref, que traine un pied, un nez, un dos, pour les empêcher de jouer, et qu’une brillante illumination transforme un sabot en fine lame, qu’un brillant coup de savate aille faire se loger dans leurs cages le ballon qu’ils se seront tant disputés.
Poutrons !
Là où en revanche, l’histoire devient plus croustillante, c’est qu’ils ont sur le plan continental le même fait d’arme que le PSG, à savoir une défunte « coupe des coupes », comme tout bagage.
De là à dire que cette analogie suffit, il n’y a qu’un pas. Mais en fait, on pourrait même se mettre à marcher sur eux, tant ils semblent liés, malgré la courte histoire de Paris. Wenger, dont notre passé est rempli de mauvais gestes et perfides paroles, n’a eu de cesse depuis toujours de réussir ses matchs contre nous, ce qu’il n’a que rarement réussi, et surtout de porter atteinte à notre club par tous les moyens possibles… On passera sur l’affaire VA-OM, où mouilla son adjoint dans des conditions bien troubles, ou sur ses fréquentes déclarations moralisantes, quand il a toujours eu des comportements limites (nasri , flamini, park and co)…
Wenger, c’est aussi un passionné de foot, féru de stats en tous genre, un des rares à avoir tenu la dragée haute face à sir fergusson. Bref, c’est un grand, ne nous en déplaise… et en dépit de son maigre palmarès européen, comparé à notre casquéteux, il a une classe indéniable !
Si on ajoute à ce tableau l’idée très partagée qu’il sera l’entraineur du QSG l’an qué ven, Wenger, ça me plairait bien qu’il soit sorti en phase de poule.
Et là, on regarde juste rapidement son effectif, pour se rendre compte qu’avoir des moyens, ça aide bien. On va devoir retrouver un bloc équipe, voir 11 enragés sur le terrain si on veut parvenir à tenir la dragée haute à ce groupe qui bénéficie de talent purs, de joueurs confirmés, et d’une profondeur de banc qui laisse rêveuse. Et dans un effectif soigné, trouver le cadenas pour ne pas laisser Ozil briller de mille feux et faire croire qu’un fuoriclasse du nom de Giroud court pour ces anglois !
Bref, on est dans la mouise, mais c’est dans ces matchs là que sont nées les grandes équipes de Marseille… début de la réponse ce soir…
A craindre : le refrain trop entendu et haï au plus haut point : « on est pas loin, ça se joue à des détails, mais ce n’est pas grave, on apprend, on est une équipe jeune »…
C’est des anglais, on est marseillais. Remontez les cols, redressez-vous, et faites-nous un match d’hommes, avec du sang, du labeur, des larmes et de la sueur, pour leur rappeler que ce n’est pas une spécificité locale que ces valeurs churchilliennes. D’ailleurs, avec notre histoire digne du phénix, on lui aurait sûrement plût , au Winston…
Bref, que traine un pied, un nez, un dos, pour les empêcher de jouer, et qu’une brillante illumination transforme un sabot en fine lame, qu’un brillant coup de savate aille faire se loger dans leurs cages le ballon qu’ils se seront tant disputés.
Poutrons !
Rhoooo, ce qu'il vient de réaliser...il y a du Waddle dans ce garçon. @cétacé