19-09-2013, 17:08
Le mot de la vieille
Le premier qui me dit qu’on aurait pu gagner ira passer sur le champ un scanner cérébral du lobe football, celui qui est juste à coté du lob de l’arrière gauche.
Les notes de la veille
Mandanda (7) : Le bonheur. Bon dieu pourquoi l’a t’on fusillé ?
Morel (6-4= 2) : L’erreur. Très beau mouvement de l’occiput, sans doute pour se débloquer les cervicales, sinon bordel de latrine je vois pas ce que ce geste vient faire dans une partie de football professionnel.
N'Koulou (5) : L’ascenseur. Après l’avoir monté aux nues je pourrais le descendre à la rue s’il continue à ouvrir des boulevards.
Mendes. (6) : Le défenseur. Rien à redire sur sa vocation, de là à mouiller sa guimpe, y a un peu de voies (impénétrables) à faire.
Fanni (4) : Le vendangeur. Des montées qui ne m’ont pas fait dépoussiérer les rideaux non plus et puis….Bordel à cul d’ange…A part lui… Comment rater le cadre à 3 mètres des cages, ça me rappelle la réclame où on voit un gars rater une bille de billard grosse comme un medecine-ball.
Imbula (7) : Le prometteur. Là y a du ballon, de l’allure, de l’imprévu, bref du talent, bridé par un banc d’ânes à tête étroite qui doit le confondre avec Kaboré.
Romao (6) : Le balayeur. Moi dans un rêve blaugrana je m’en passerais bien mais s’il en faut un, il est là.
Payet (5,5) : L’interrupteur. Doit rester en position « ON » plus longtemps pour rendre ses intentions plus claires.
André Ayew (7) : L’onduleur. Tel un cobra royal, s’est frayé un chemin dans la nasse mais sans trouer les filets.
Valbuena (6) : L’éclaireur. Fautes d’étincelles, a grillé pas mal d’allumettes pour tenter en vain de raviver la flamme d'un vié de cire.
Gignac (2) : L’imposteur. A failli dans les grandes largeurs du terrain avec ou sans ballon. Ne fait décidément pas le poids ce qui reste un comble.
Jordan (nn). Le brother. A marqué in extrémis un péno cadeau du fréro et a montré sa joie légendaire à la foule en partance.
Sinon, Les autres entrants (Thauvin et Khalifa) n’ont rien pu faire de notable non plus. Arrivés après la bataille pour remplacer les méritants et ramasser les morts vivants, ou comment boire jusqu'à l'Elie.
Baup (3 pièces) : La Torpeur. Avait troqué le survet pour un costume qui n’a pas donné plus de tenue à notre jeu, comme quoi les surpiqures de rappel à l’équilibre ne feront jamais une taille patron.
Conclusion de vieille
Pas de panique. On joue la quatrième place de la poule. On est bien parti pour faire l’oeuf.
Le post scriptum de mise en veille :
J’ai remarqué qu’un petit nouveau se permettait de noter à ma place.
Ma gueule, si tu recommences ca, je te promets l’enfer au dessus de ta couche et de facto t’envoie mes moines guerriers du forum.
Fidèles défenseurs de la doctrine de ma mauvaise foi absolue.
Ces gars là ont une répartie acérée comme un crucifix gothique, et après trois post bien placés, je ne réponds plus de rien. Et toi non plus, j'en ai peur.
Tu risques de subites attaques de panique, un « burn out » de longue durée.
Un nervous break down éternel.
Donc doucement les basses fiston, sinon Mama casse.
Le premier qui me dit qu’on aurait pu gagner ira passer sur le champ un scanner cérébral du lobe football, celui qui est juste à coté du lob de l’arrière gauche.
Les notes de la veille
Mandanda (7) : Le bonheur. Bon dieu pourquoi l’a t’on fusillé ?
Morel (6-4= 2) : L’erreur. Très beau mouvement de l’occiput, sans doute pour se débloquer les cervicales, sinon bordel de latrine je vois pas ce que ce geste vient faire dans une partie de football professionnel.
N'Koulou (5) : L’ascenseur. Après l’avoir monté aux nues je pourrais le descendre à la rue s’il continue à ouvrir des boulevards.
Mendes. (6) : Le défenseur. Rien à redire sur sa vocation, de là à mouiller sa guimpe, y a un peu de voies (impénétrables) à faire.
Fanni (4) : Le vendangeur. Des montées qui ne m’ont pas fait dépoussiérer les rideaux non plus et puis….Bordel à cul d’ange…A part lui… Comment rater le cadre à 3 mètres des cages, ça me rappelle la réclame où on voit un gars rater une bille de billard grosse comme un medecine-ball.
Imbula (7) : Le prometteur. Là y a du ballon, de l’allure, de l’imprévu, bref du talent, bridé par un banc d’ânes à tête étroite qui doit le confondre avec Kaboré.
Romao (6) : Le balayeur. Moi dans un rêve blaugrana je m’en passerais bien mais s’il en faut un, il est là.
Payet (5,5) : L’interrupteur. Doit rester en position « ON » plus longtemps pour rendre ses intentions plus claires.
André Ayew (7) : L’onduleur. Tel un cobra royal, s’est frayé un chemin dans la nasse mais sans trouer les filets.
Valbuena (6) : L’éclaireur. Fautes d’étincelles, a grillé pas mal d’allumettes pour tenter en vain de raviver la flamme d'un vié de cire.
Gignac (2) : L’imposteur. A failli dans les grandes largeurs du terrain avec ou sans ballon. Ne fait décidément pas le poids ce qui reste un comble.
Jordan (nn). Le brother. A marqué in extrémis un péno cadeau du fréro et a montré sa joie légendaire à la foule en partance.
Sinon, Les autres entrants (Thauvin et Khalifa) n’ont rien pu faire de notable non plus. Arrivés après la bataille pour remplacer les méritants et ramasser les morts vivants, ou comment boire jusqu'à l'Elie.
Baup (3 pièces) : La Torpeur. Avait troqué le survet pour un costume qui n’a pas donné plus de tenue à notre jeu, comme quoi les surpiqures de rappel à l’équilibre ne feront jamais une taille patron.
Conclusion de vieille
Pas de panique. On joue la quatrième place de la poule. On est bien parti pour faire l’oeuf.
Le post scriptum de mise en veille :
J’ai remarqué qu’un petit nouveau se permettait de noter à ma place.
Ma gueule, si tu recommences ca, je te promets l’enfer au dessus de ta couche et de facto t’envoie mes moines guerriers du forum.
Fidèles défenseurs de la doctrine de ma mauvaise foi absolue.
Ces gars là ont une répartie acérée comme un crucifix gothique, et après trois post bien placés, je ne réponds plus de rien. Et toi non plus, j'en ai peur.
Tu risques de subites attaques de panique, un « burn out » de longue durée.
Un nervous break down éternel.
Donc doucement les basses fiston, sinon Mama casse.