29-09-2013, 12:12
(Modification du message : 29-09-2013, 12:19 par The Strokes.)
Les grognards étaient de sortie à Lorient. En rang bien serrés, notre Grande Armée serrait les dents, sortait les baïonnettes au bon moment et criait vive l'OM!
Après la Bretagne récalcitrante, il est temps de passer à la campagne d'Allemagne. Nous avons assez perdu de plumes face à notre ennemi juré britannique. Traité d'Amiens ou pas, la perfide Albion est repartie avec les trois points.
Ne pensons pas à la campagne d'Italie qui s'annonce: oublions Arcole, Castiglione ou Rivoli, cela sera une toute autre affaire.
Le mur jaune de Dortmund se dresse devant nous. Le général en chef Baup a plusieurs options:
- tirer dans le tas et envoyer d'entrée la vieille garde au front.
- placer son artillerie, temporiser et observer le tout à la longue vue (pour Baup attendre en s'auto-enlassant).
- le mur est massif, il conviendrait d'envoyer une division à gauche via le général Ayew et une à droite via le général Payet. Les cavaleries Mendy et Fanni pourraient venir en appui pour appuyer nos divisions. Attention à un repli ordonné en cas d'offensive avortée. Les divisions des généraux Imbula et Romao devront tenir leurs positions et couvrir les divisions Ayew et Fanni.
La bataille sera rude. Nous partons en infériorité numérique mais combien de fois la Grande Armée n'a-t-elle pas su faire des miracles? Eylau, Austerlitz, Essling, Wagram, Inéna se sont gagnées comme cela.
Les olympiens savent être vaillants et se sublimer dans les grandes occasions.
Du reste, il est vrai de dire encore qu’il n’est rien qu’on n’obtienne des Français par l’appât du danger ; il semble leur donner de l’esprit ; c’est leur héritage gaulois… La vaillance, l’amour de la gloire sont chez les Français un instinct, une espèce de sixième sens. Combien de fois dans la chaleur des batailles, je me suis arrêté à contempler mes jeunes conscrits se jetant dans la mêlée pour la première fois : L’honneur et le courage leur sortaient par tous les pores ! (Napoléon Bonaparte – Mémorial de Sainte Hélène, Tome 1 p. 310)
ps: comme vous connaissez mon attachement légendaire à l'Europe, quoi de mieux qu'un premier édito sur la ligue des champions.
Après la Bretagne récalcitrante, il est temps de passer à la campagne d'Allemagne. Nous avons assez perdu de plumes face à notre ennemi juré britannique. Traité d'Amiens ou pas, la perfide Albion est repartie avec les trois points.
Ne pensons pas à la campagne d'Italie qui s'annonce: oublions Arcole, Castiglione ou Rivoli, cela sera une toute autre affaire.
Le mur jaune de Dortmund se dresse devant nous. Le général en chef Baup a plusieurs options:
- tirer dans le tas et envoyer d'entrée la vieille garde au front.
- placer son artillerie, temporiser et observer le tout à la longue vue (pour Baup attendre en s'auto-enlassant).
- le mur est massif, il conviendrait d'envoyer une division à gauche via le général Ayew et une à droite via le général Payet. Les cavaleries Mendy et Fanni pourraient venir en appui pour appuyer nos divisions. Attention à un repli ordonné en cas d'offensive avortée. Les divisions des généraux Imbula et Romao devront tenir leurs positions et couvrir les divisions Ayew et Fanni.
La bataille sera rude. Nous partons en infériorité numérique mais combien de fois la Grande Armée n'a-t-elle pas su faire des miracles? Eylau, Austerlitz, Essling, Wagram, Inéna se sont gagnées comme cela.
Les olympiens savent être vaillants et se sublimer dans les grandes occasions.
Du reste, il est vrai de dire encore qu’il n’est rien qu’on n’obtienne des Français par l’appât du danger ; il semble leur donner de l’esprit ; c’est leur héritage gaulois… La vaillance, l’amour de la gloire sont chez les Français un instinct, une espèce de sixième sens. Combien de fois dans la chaleur des batailles, je me suis arrêté à contempler mes jeunes conscrits se jetant dans la mêlée pour la première fois : L’honneur et le courage leur sortaient par tous les pores ! (Napoléon Bonaparte – Mémorial de Sainte Hélène, Tome 1 p. 310)
ps: comme vous connaissez mon attachement légendaire à l'Europe, quoi de mieux qu'un premier édito sur la ligue des champions.
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell