26-10-2013, 09:43
Par ce beau samedi de fin octobre, à l’heure où le soleil darde ses derniers rayons sur les feuilles de vignes cuivrées, qu’il est doux de partager une coupe de champagne en toute convivialité.
Les moteurs des derniers tracteurs se sont tus dans un dernier soupir et seul le tintement des verres accompagne gaiement les rires cristallins de quelques créatures diaphanes nous dévorant des yeux avec une concupiscence prometteuse…
Quelle connerie d’entamer sa sieste si tardivement le premier jour du week end !...et quelle bêtise de programmer des matchs à cette heure vespérale !
La banquette de lit mou…
Allez tous à nos postes respectifs, face à nos boîtes à images on squatte la banquette et empiriquement vacciné par les précédents épisodes on s’y installe confortablement.
Un oreiller sous la nuque, un autre sous les pieds nous isolant de la table basse, on anticipe l’ennui en tirant les rideaux et, dans cette douce pénombre on appui sur la télécommande en rêvant de coincer la bulle sur la terrasse d’un domaine viticole en douce compagnie.
Football champagne ou piquette ?
Constante interrogation avant chaque match de notre équipe favorite, il est loin le temps où cette question n’était pas souvent de mise, où l’on mettait en perce sans faillir.
Expectatif et sans assurance on se pose sur son séant et on attend que ça se passe.
Grand cru, petit cuit…
Un recrutement prometteur qui laissait envisager de belles récoltes, l’acquisition de jeunes pousses arrachées à des terroirs réputés, à des prix jugés a priori prohibitifs et a posteriori faramineux, un entretien qui laisse à désirer, un tuteurage défectueux et les jeunes plants végètent tandis que le plus ancien, à force de se faire tailler, ne produit plus et se transforme en petit cuit.
Assemblage et dosage…
Partie la plus délicate, il faut savoir savamment user des divers ingrédients avec doigté, ne pas hésiter à faire preuve d’inventivité, de créativité et faire des plans plants plutôt que du plan-plan…
Banc quête d’Élie mou…
A défaut de brut, voire de demi-sec on aimerait que notre viticulteur en chef fasse preuve d’un peu plus de relief, moins bourru, plus nouveau et avec célérité car ça risque rapidement de tourner vinaigre…
Et après il sera temps…
…de tourner ces pages !
Les moteurs des derniers tracteurs se sont tus dans un dernier soupir et seul le tintement des verres accompagne gaiement les rires cristallins de quelques créatures diaphanes nous dévorant des yeux avec une concupiscence prometteuse…
Quelle connerie d’entamer sa sieste si tardivement le premier jour du week end !...et quelle bêtise de programmer des matchs à cette heure vespérale !
La banquette de lit mou…
Allez tous à nos postes respectifs, face à nos boîtes à images on squatte la banquette et empiriquement vacciné par les précédents épisodes on s’y installe confortablement.
Un oreiller sous la nuque, un autre sous les pieds nous isolant de la table basse, on anticipe l’ennui en tirant les rideaux et, dans cette douce pénombre on appui sur la télécommande en rêvant de coincer la bulle sur la terrasse d’un domaine viticole en douce compagnie.
Football champagne ou piquette ?
Constante interrogation avant chaque match de notre équipe favorite, il est loin le temps où cette question n’était pas souvent de mise, où l’on mettait en perce sans faillir.
Expectatif et sans assurance on se pose sur son séant et on attend que ça se passe.
Grand cru, petit cuit…
Un recrutement prometteur qui laissait envisager de belles récoltes, l’acquisition de jeunes pousses arrachées à des terroirs réputés, à des prix jugés a priori prohibitifs et a posteriori faramineux, un entretien qui laisse à désirer, un tuteurage défectueux et les jeunes plants végètent tandis que le plus ancien, à force de se faire tailler, ne produit plus et se transforme en petit cuit.
Assemblage et dosage…
Partie la plus délicate, il faut savoir savamment user des divers ingrédients avec doigté, ne pas hésiter à faire preuve d’inventivité, de créativité et faire des plans plants plutôt que du plan-plan…
Banc quête d’Élie mou…
A défaut de brut, voire de demi-sec on aimerait que notre viticulteur en chef fasse preuve d’un peu plus de relief, moins bourru, plus nouveau et avec célérité car ça risque rapidement de tourner vinaigre…
Et après il sera temps…
…de tourner ces pages !