14-06-2020, 22:10
(Modification du message : 14-06-2020, 22:13 par deepbluebdr.)
Je reposte ce sujet qui avait disparu suite au bug du forum. Dommage, car sans nul doute, il aurait été bien actif depuis sa création avec les couacs qui ont surgit de toutes parts avec ce dispositif d'aide à l'arbitrage.
Les polémiques, les prises de becs, les certitudes et incertitudes, les outrages même des commentateurs, consultants, journalistes, entraineurs, joueurs, leurs épouses, papi et mami ou président et même supporters...qui n'y est pas allé de son commentaire ?
Peut-être le Pape....quoi que...
Football : tout savoir sur l'assistance vidéo qui arrive en Ligue 1
[non exhaustif]
Pour la première fois en Ligue 1, les arbitres pourront corriger leurs décisions à l'aide de la vidéo. Une révolution, qui s'appuie sur l'expérience du Mondial.
L’arbitrage vidéo a longtemps été demandé par nombre de passionnés de foot. Depuis 2016 qu’il est utilisé et après quelques décisions polémiques, beaucoup se demandent comment fonctionne le VAR en fin de compte.
Mode d’emploi. Corps arbitral renforcé
L’assistance vidéo vient avec quatre personnes : une personne sur le bord du terrain, trois dans la régie. Dans cette régie, il y a un arbitre en contact avec l’arbitre principal pour lui signaler s’il a pris la bonne décision, un assistant et un opérateur technique qui traite les images. Quel est alors le rôle de l’arbitre vidéo sur le bord du terrain ? Il n’a en réalité aucun pouvoir décisionnel et est juste là pour aider l’arbitre principal si celui-ci est invité à consulter les images.
Comment est utilisé le VAR ?
L’arbitrage vidéo n’intervient que dans quatre cas bien précis : valider ou non un but, donner ou non un penalty, attribuer un carton rouge ou corriger l’identité d’un joueur sanctionné. Ce dernier cas n’est valable qu’en cas d’expulsion. Un carton jaune peut donc être mal attribué et le VAR n’a rien à dire dessus. Le VAR contacte l’arbitre principal dès qu’une action tombe dans l’un des quatre cas d’intervention.
L’arbitre vidéo peut contester la décision de l’arbitre principale uniquement si l’erreur est incontestable au vu des images. Sinon, on se trouve dans ce que le corps arbitral nomme la « zone grise » et où les avis seraient partagés, car soumis à interprétation.
Saison 2020/2021 et suivantes, nous devrions continuer à nous marrer
Les polémiques, les prises de becs, les certitudes et incertitudes, les outrages même des commentateurs, consultants, journalistes, entraineurs, joueurs, leurs épouses, papi et mami ou président et même supporters...qui n'y est pas allé de son commentaire ?
Peut-être le Pape....quoi que...
Football : tout savoir sur l'assistance vidéo qui arrive en Ligue 1
[non exhaustif]
Pour la première fois en Ligue 1, les arbitres pourront corriger leurs décisions à l'aide de la vidéo. Une révolution, qui s'appuie sur l'expérience du Mondial.
L’arbitrage vidéo a longtemps été demandé par nombre de passionnés de foot. Depuis 2016 qu’il est utilisé et après quelques décisions polémiques, beaucoup se demandent comment fonctionne le VAR en fin de compte.
Mode d’emploi. Corps arbitral renforcé
L’assistance vidéo vient avec quatre personnes : une personne sur le bord du terrain, trois dans la régie. Dans cette régie, il y a un arbitre en contact avec l’arbitre principal pour lui signaler s’il a pris la bonne décision, un assistant et un opérateur technique qui traite les images. Quel est alors le rôle de l’arbitre vidéo sur le bord du terrain ? Il n’a en réalité aucun pouvoir décisionnel et est juste là pour aider l’arbitre principal si celui-ci est invité à consulter les images.
Comment est utilisé le VAR ?
L’arbitrage vidéo n’intervient que dans quatre cas bien précis : valider ou non un but, donner ou non un penalty, attribuer un carton rouge ou corriger l’identité d’un joueur sanctionné. Ce dernier cas n’est valable qu’en cas d’expulsion. Un carton jaune peut donc être mal attribué et le VAR n’a rien à dire dessus. Le VAR contacte l’arbitre principal dès qu’une action tombe dans l’un des quatre cas d’intervention.
L’arbitre vidéo peut contester la décision de l’arbitre principale uniquement si l’erreur est incontestable au vu des images. Sinon, on se trouve dans ce que le corps arbitral nomme la « zone grise » et où les avis seraient partagés, car soumis à interprétation.
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