11-12-2023, 00:21
Super conquérant en première période, transparent comme l'eau de la claire fontaine en seconde...
L’OM, dominateur dans tous les secteurs de jeu et impérial dans le 45 premières minutes avec 17 tirs et 4 buts inscrits,
a réussi l’exploit d’inverser le miroir durant les 45 suivantes. Une faillite tactique et physique qui aurait pu coûter cher.
Mais ce Marseille à double-visage remonte à la 6e place.
Au jus de moule, qu’on se le dise…
LOPEZ : le nouveau schéma lui permet de jouer dans le champ et d’éviter les hésitations catastrophiques dans une défense à 4.
De bonnes relances, des parades et arrêts décisifs voire miraculeux. Il s’est retrouvé en difficulté quand son équipe a flanché.
CLAUSS : Pas remis physiquement et victime d’un rouge sévère à la 80e minute.
Il fait ce qu'il peut mais il doit souffler. Murillo est là pour ça.
MBEMBA : buteur dès la 3e minute et passeur pour Aubameyang pour le 2-0, il a livré une prestation solide.
Diminué physiquement à la 75e, il incarne clairement le dépassement de fonction que l’on aime dans cet OM en 5-3-2.
GIGOT : Il a gagné tous ses duels en 1re période, il aurait pu marquer à la 33e.
La souffrance quand son équipe fut sur le reculoir en seconde période. Mais propre.
BALERDI : Buteur à la 33e après une mauvaise relance, il a tenté des choses.
Même un geste acrobatique pour aider les siens en 1re mi-temps. Solide.
LODI : Plus à son avantage dans le « nouveau » système, son sauvetage à la 56e permet à Lopez de limiter la casse.
Apport offensif un peu décevant. A revoir dans un onze qui ne recule pas. Suspendu pour le prochain match.
On espère voir le jeune Soglo s’illustrer.
OUNAHI : Dans une position plus reculée, voire une rôle plus défensif que Vérétout, il ne s’est pas fait remarquer.
Ni en bien ni en mal. Obscur, le phasme. Une prestation rendue étonnante par son manque d'initiative offensive.
VERETOUT : Visiblement remis physiquement, il a été dans tous les coups et a montré un volume physique impressionnant.
Grosse prestation mais n’a pas pu rien faire quand son équipe a reculé en 2e période.
Le gros chien de la casse avec qui aimerait on aimerait partir à Koh-Lanta.
HARIT : Très subtil dans les temps forts de l’OM, il monte en puissance.
Il a disparu après la pause, comme ses coéquipiers. Il n’a pas de remplaçant et cela se ressent.
VITINHA : Pas de but ce soir mais une audace qui plaît dans un OM dominateur.
Il se sent heureux et ça se voit. Il aurait mérité de marquer sur une talonnade insolente.
A disparu après la sortie d’Aubameyang.
AUBAMEYANG : Survolté, il signe une performance à la hauteur de nos espérances.
Tel le Quick&Toast baveux mais servi sur le tard. Meilleur passeur de Ligue 1, il a campé le 1er rôle de cette rencontre.
Un doublé et une passe alors qu’il est décalé sur la gauche et présent dans la surface.
PEA, what else ? Sarr n'a pas existé à sa place. Un signe ?
GATTUSO : Encore victorieux dans un schéma qui lui déplaît mais qui lui permet de garder son travail.
Il a beaucoup aboyé devant la caravane. Quitte à saoûler ses joueurs, à l'image d'un Gigot lui demandant gentiment de la fermer.
Sans alternative tactique pour cause de catalogue épuisé, le Généreux a opéré des remplacements tardifs et sans effet.
Mais on aime son cheveu gras qui défie son front rebelle.
Et ce regard noir, dont l'oeil gauche offre quelques épars reflets d'huître.
L’OM, dominateur dans tous les secteurs de jeu et impérial dans le 45 premières minutes avec 17 tirs et 4 buts inscrits,
a réussi l’exploit d’inverser le miroir durant les 45 suivantes. Une faillite tactique et physique qui aurait pu coûter cher.
Mais ce Marseille à double-visage remonte à la 6e place.
Au jus de moule, qu’on se le dise…
LOPEZ : le nouveau schéma lui permet de jouer dans le champ et d’éviter les hésitations catastrophiques dans une défense à 4.
De bonnes relances, des parades et arrêts décisifs voire miraculeux. Il s’est retrouvé en difficulté quand son équipe a flanché.
CLAUSS : Pas remis physiquement et victime d’un rouge sévère à la 80e minute.
Il fait ce qu'il peut mais il doit souffler. Murillo est là pour ça.
MBEMBA : buteur dès la 3e minute et passeur pour Aubameyang pour le 2-0, il a livré une prestation solide.
Diminué physiquement à la 75e, il incarne clairement le dépassement de fonction que l’on aime dans cet OM en 5-3-2.
GIGOT : Il a gagné tous ses duels en 1re période, il aurait pu marquer à la 33e.
La souffrance quand son équipe fut sur le reculoir en seconde période. Mais propre.
BALERDI : Buteur à la 33e après une mauvaise relance, il a tenté des choses.
Même un geste acrobatique pour aider les siens en 1re mi-temps. Solide.
LODI : Plus à son avantage dans le « nouveau » système, son sauvetage à la 56e permet à Lopez de limiter la casse.
Apport offensif un peu décevant. A revoir dans un onze qui ne recule pas. Suspendu pour le prochain match.
On espère voir le jeune Soglo s’illustrer.
OUNAHI : Dans une position plus reculée, voire une rôle plus défensif que Vérétout, il ne s’est pas fait remarquer.
Ni en bien ni en mal. Obscur, le phasme. Une prestation rendue étonnante par son manque d'initiative offensive.
VERETOUT : Visiblement remis physiquement, il a été dans tous les coups et a montré un volume physique impressionnant.
Grosse prestation mais n’a pas pu rien faire quand son équipe a reculé en 2e période.
Le gros chien de la casse avec qui aimerait on aimerait partir à Koh-Lanta.
HARIT : Très subtil dans les temps forts de l’OM, il monte en puissance.
Il a disparu après la pause, comme ses coéquipiers. Il n’a pas de remplaçant et cela se ressent.
VITINHA : Pas de but ce soir mais une audace qui plaît dans un OM dominateur.
Il se sent heureux et ça se voit. Il aurait mérité de marquer sur une talonnade insolente.
A disparu après la sortie d’Aubameyang.
AUBAMEYANG : Survolté, il signe une performance à la hauteur de nos espérances.
Tel le Quick&Toast baveux mais servi sur le tard. Meilleur passeur de Ligue 1, il a campé le 1er rôle de cette rencontre.
Un doublé et une passe alors qu’il est décalé sur la gauche et présent dans la surface.
PEA, what else ? Sarr n'a pas existé à sa place. Un signe ?
GATTUSO : Encore victorieux dans un schéma qui lui déplaît mais qui lui permet de garder son travail.
Il a beaucoup aboyé devant la caravane. Quitte à saoûler ses joueurs, à l'image d'un Gigot lui demandant gentiment de la fermer.
Sans alternative tactique pour cause de catalogue épuisé, le Généreux a opéré des remplacements tardifs et sans effet.
Mais on aime son cheveu gras qui défie son front rebelle.
Et ce regard noir, dont l'oeil gauche offre quelques épars reflets d'huître.
Solide comme un wok !