04-02-2024, 13:47
Ah, le grand spectacle du ballon rond, ce rituel où vingt-deux hommes courent après un morceau de cuir avec l'espoir que cela ait un sens. Aujourd'hui, nos deux prétendants, se livrent à une danse grotesque sur ce terrain vert, ou plutôt, disons, sur ce tapis de conflits égocentriques.
Le stade est rempli d'émotions contradictoires, de supporters dévoués qui se demandent pourquoi ils sacrifient leur santé mentale pour une bande de millionnaires en short. Lyon contre Marseille, une rivalité qui transcende le simple football pour devenir une guerre des égos, une bataille d'orgueils où la défaite est une tache indélébile sur l'honneur.
Les joueurs s'agitent sur le terrain, tel un groupe de marionnettes désarticulées, tentant de donner un sens à leur existence en courant après ce ballon capricieux. On a l'impression que les coachs leur ont dit "Allez les gars, faites semblant que c'est important, que votre vie en dépend, faire semblant, simuler comme Lacazette sait faire depuis toujours"
Et pendant ce temps, les commentateurs vont sortir des banalités creuses Paga ou Antonetti tes des clowns pas droles vont transformer chaque passe anodine en moment épique. "Oh, la tension est à son comble", disent-ils, comme si nous étions au bord de la Troisième Guerre mondiale plutôt qu'à un match de football.
Les supporters, eux, se déchirent les cordes vocales pour des héros temporaires qui, au final, ne sont que des mercenaires du ballon. Leur amour pour l'équipe est aussi éphémère qu'une passion adolescente lors d'une boum de camping à Saint Affrique, aussi intense qu'une flamme de briquet dans un vent violent.
Lyon et Marseille, deux villes, deux équipes, un match qui pourrait changer la donne dans la vie de quelques-uns. Mais au fond, quel que soit le résultat, le soleil se lèvera demain, le monde continuera de tourner, et les joueurs, après avoir touché leur salaire exorbitant, retourneront à leur vie de célébrité éphémère.
Alors, pendant que le ballon roule et que les foules rugissent, rappelons-nous que tout ceci n'est qu'un divertissement éphémère, un spectacle où l'absurde se mêle au tragique dans une farce sportive sans fin. Et Pierre Desproges aurait probablement trouvé dans ce cirque une source intarissable de sarcasme et d'humour désabusé.
Merci l'AI.
Le stade est rempli d'émotions contradictoires, de supporters dévoués qui se demandent pourquoi ils sacrifient leur santé mentale pour une bande de millionnaires en short. Lyon contre Marseille, une rivalité qui transcende le simple football pour devenir une guerre des égos, une bataille d'orgueils où la défaite est une tache indélébile sur l'honneur.
Les joueurs s'agitent sur le terrain, tel un groupe de marionnettes désarticulées, tentant de donner un sens à leur existence en courant après ce ballon capricieux. On a l'impression que les coachs leur ont dit "Allez les gars, faites semblant que c'est important, que votre vie en dépend, faire semblant, simuler comme Lacazette sait faire depuis toujours"
Et pendant ce temps, les commentateurs vont sortir des banalités creuses Paga ou Antonetti tes des clowns pas droles vont transformer chaque passe anodine en moment épique. "Oh, la tension est à son comble", disent-ils, comme si nous étions au bord de la Troisième Guerre mondiale plutôt qu'à un match de football.
Les supporters, eux, se déchirent les cordes vocales pour des héros temporaires qui, au final, ne sont que des mercenaires du ballon. Leur amour pour l'équipe est aussi éphémère qu'une passion adolescente lors d'une boum de camping à Saint Affrique, aussi intense qu'une flamme de briquet dans un vent violent.
Lyon et Marseille, deux villes, deux équipes, un match qui pourrait changer la donne dans la vie de quelques-uns. Mais au fond, quel que soit le résultat, le soleil se lèvera demain, le monde continuera de tourner, et les joueurs, après avoir touché leur salaire exorbitant, retourneront à leur vie de célébrité éphémère.
Alors, pendant que le ballon roule et que les foules rugissent, rappelons-nous que tout ceci n'est qu'un divertissement éphémère, un spectacle où l'absurde se mêle au tragique dans une farce sportive sans fin. Et Pierre Desproges aurait probablement trouvé dans ce cirque une source intarissable de sarcasme et d'humour désabusé.
Merci l'AI.
Citation :En tout cas, si Pape doit partir pour "x" raisons,une chose est sûre : je me mettrai dans ses valises. J'ai tellement aimé travailler, j'ai vécu tellement de choses avec lui et avec cette équipe que je ne pourrai pas le faire avec d'autres"@nigo