13-02-2024, 00:21
Cela sonne comme un cri du coeur. Comme poussé par un DSK exalté, réincarné en peignoir, curieux tel l'écureuil ayant flairé la noisette charnue. La cyprine perle à grandes gouttes.
Alors elles sont où, les bombasses, dans le Dombass ?
A quelques encablures de la Crimée. Un lieu ciblé et criblé par l'échec. Militaire. Politique. Sportif.
Le tout, dans l'ordre...
Alors on se retrouve là. Avec un effectif au complet, qui ne change en rien la donne.
CAF ou pas CAF.
C1 ou pas...
Rongier, blessure enterrée. Mais pas de retour avant Mars. Gueye, blessure diplomatique. Jusqu'à juin et son prochain club ?
Vérétout et Kondogbia titulaires ? La bonne blague...
Alors on en est où ?
Des ailiers présents sur le paier : Sarr et Henrique ? La blague continue.
Même pas titulaires contre Metz. Sauf Henrique. Ce qui suffit à l'humour.
Au lieu de ça, une défense à 4, bien impotente. Et des ailiers qui n'en sont pas.
Crash tactique d'un schéma improductif. Mal branlé, quoi...
Rien devant sans schéma à deux. Rien derrière sans schéma à cinq.
Et des remplacements fantomatiques. Sans que rien ne soit reproché à l'Italien.
Je ne comprends plus.
Mais nul besoin d'être un grand julien clerc. On va gagner. Contre toute logique.
Et si l'Ukraine a besoin d'armes, il y a toujours le pied gauche de Malinovskyi.
Même si c'est un fusil à un coup...
Et ce mach va nous donner la tangente définitive.
Bon sinon j'ai tronché Ana. C'est quand même beau, l'Ukraine, vue d'un joli nombril.
Le manque d'eau courante et de lingettes, se fait sentir. Please stand with Ukraine !
Mais je sais humer la beauté d'un désert froid, où aucun poil ne pousse.
Une toundra, qu'aucun rasoir ne saura tondre.
Un cri de poulet étranglé vint euthanasier la sieste.
Et repris goût à une certaine pratique du massacre sexuel. Des Spritz de cagole à gogo.
Des préservatifs périmés mais dispos. Comme Correa.
Demain j'enlève tout et mise sur la profondeur.
Comme Moumbagna.
Alors elles sont où, les bombasses, dans le Dombass ?
A quelques encablures de la Crimée. Un lieu ciblé et criblé par l'échec. Militaire. Politique. Sportif.
Le tout, dans l'ordre...
Alors on se retrouve là. Avec un effectif au complet, qui ne change en rien la donne.
CAF ou pas CAF.
C1 ou pas...
Rongier, blessure enterrée. Mais pas de retour avant Mars. Gueye, blessure diplomatique. Jusqu'à juin et son prochain club ?
Vérétout et Kondogbia titulaires ? La bonne blague...
Alors on en est où ?
Des ailiers présents sur le paier : Sarr et Henrique ? La blague continue.
Même pas titulaires contre Metz. Sauf Henrique. Ce qui suffit à l'humour.
Au lieu de ça, une défense à 4, bien impotente. Et des ailiers qui n'en sont pas.
Crash tactique d'un schéma improductif. Mal branlé, quoi...
Rien devant sans schéma à deux. Rien derrière sans schéma à cinq.
Et des remplacements fantomatiques. Sans que rien ne soit reproché à l'Italien.
Je ne comprends plus.
Mais nul besoin d'être un grand julien clerc. On va gagner. Contre toute logique.
Et si l'Ukraine a besoin d'armes, il y a toujours le pied gauche de Malinovskyi.
Même si c'est un fusil à un coup...
Et ce mach va nous donner la tangente définitive.
Bon sinon j'ai tronché Ana. C'est quand même beau, l'Ukraine, vue d'un joli nombril.
Le manque d'eau courante et de lingettes, se fait sentir. Please stand with Ukraine !
Mais je sais humer la beauté d'un désert froid, où aucun poil ne pousse.
Une toundra, qu'aucun rasoir ne saura tondre.
Un cri de poulet étranglé vint euthanasier la sieste.
Et repris goût à une certaine pratique du massacre sexuel. Des Spritz de cagole à gogo.
Des préservatifs périmés mais dispos. Comme Correa.
Demain j'enlève tout et mise sur la profondeur.
Comme Moumbagna.
Solide comme un wok !