19-08-2024, 22:03
C'est avec un effectif enfin au complet que le Vélodrome accueille Reims pour la 2e journée de Ligue 1.
On a tâté l'OM en contre, le voici en possession de balle. Et de ses moyens.
Ah que c'est bon, l'été. Surtout la fin. Les cigales se taisent, les Parisiens se cassent. Enfin.
Autant de raisons de mieux dormir et de profiter d'une vraie journée à domicile.
Je quitte mon transat en toute pesanteur. Les cahuètes ont fait leur effet. Le bide a rebondi. La piscine a refroidi.
J'ai viré les cloportes du liner. Posé mon rosé de cagole sur la margelle. Et écrasé quelques insectes malveillants.
J'entends toujours ce satané chien, qui aboie pour rien car il voit la vierge réincarnée en Chucky toutes les deux minutes.
Rien d'anormal. Le parking des Lecques désemplit. Le café a baissé de 20 centimes. Un franc trente, quand même...
Décollage immédiat. Pas besoin d'hôtesses pour me montrer comment je vais mourir.
Je lèche la côte du Liouquet et vois de braves hommes se bourrer l'oignon à ciel ouvert à l'heure de sonner mâtines.
Une gorgée d'Isostar. Un coup d'incisives dans un Ovomaltine à moitié fondu et il est déjà temps de mettre le cap au large.
Je repense à Amavi, entre deux coups de pagaie. C'est surréaliste.
Je pense à Lirola, qui réapparaît. Le chien massacré du cerveau aboie sans doute au loin. Normal, pour une fois.
Après 3 heures de session et 20 kilomètres à insulter des gitans qui châlent leurs grosses en jetski, je rentre au stand.
Je feins de laisser ma place de voiture à des Suisses énervés, pour preuve que ça existe.
Mais décide, face à leur outrecuidance, de remettre deux euros dans le parcmètre juste pour les faire caguer.
A défaut de bain de glace, je me prends une bière en les regardant gaspiller leur cobalt.
Comme quoi, le diesel et la patience ont du bon.
Tout ça pour dire que je joue moi aussi à domicile et suis en pleine possession de mes moyens.
Je languis de voir Carboni, Koné et Brassier à l'oeuvre. Voir si ça marche enfin, sans tirer leçon aucune.
Mais avec l'espoir qu'on nous craigne. Si ça marche, cela ne devra rien au hasard.
D'ailleurs, le hasard, je n'y crois guère. Je ne crois qu'aux rencontres, aux affinités...
Partant de ce principe, j'ai rencontré une belle Ukrainienne. Parfaite en tous points.
Sauf ses dents jaunes tirant vers l'orange selon l'éclairage, mais qui au final ressemblaient à des canisses voire du lambris.
Je n'ai pas donné suite, de peur que ça déteigne...
Donc. On va tabasser Reims. Merci Greenwood, l'unique vitrine de ce mercato.
Merci aux guignols de la LFP, qui me forcent à dépenser mes précieux deniers au bar plutôt que les donner à DAZN et consorts.
Je préfère me faire empapaouter et la sucer après plutôt que ça.
On n'est pas bien, au Liouquet ?
On a tâté l'OM en contre, le voici en possession de balle. Et de ses moyens.
Ah que c'est bon, l'été. Surtout la fin. Les cigales se taisent, les Parisiens se cassent. Enfin.
Autant de raisons de mieux dormir et de profiter d'une vraie journée à domicile.
Je quitte mon transat en toute pesanteur. Les cahuètes ont fait leur effet. Le bide a rebondi. La piscine a refroidi.
J'ai viré les cloportes du liner. Posé mon rosé de cagole sur la margelle. Et écrasé quelques insectes malveillants.
J'entends toujours ce satané chien, qui aboie pour rien car il voit la vierge réincarnée en Chucky toutes les deux minutes.
Rien d'anormal. Le parking des Lecques désemplit. Le café a baissé de 20 centimes. Un franc trente, quand même...
Décollage immédiat. Pas besoin d'hôtesses pour me montrer comment je vais mourir.
Je lèche la côte du Liouquet et vois de braves hommes se bourrer l'oignon à ciel ouvert à l'heure de sonner mâtines.
Une gorgée d'Isostar. Un coup d'incisives dans un Ovomaltine à moitié fondu et il est déjà temps de mettre le cap au large.
Je repense à Amavi, entre deux coups de pagaie. C'est surréaliste.
Je pense à Lirola, qui réapparaît. Le chien massacré du cerveau aboie sans doute au loin. Normal, pour une fois.
Après 3 heures de session et 20 kilomètres à insulter des gitans qui châlent leurs grosses en jetski, je rentre au stand.
Je feins de laisser ma place de voiture à des Suisses énervés, pour preuve que ça existe.
Mais décide, face à leur outrecuidance, de remettre deux euros dans le parcmètre juste pour les faire caguer.
A défaut de bain de glace, je me prends une bière en les regardant gaspiller leur cobalt.
Comme quoi, le diesel et la patience ont du bon.
Tout ça pour dire que je joue moi aussi à domicile et suis en pleine possession de mes moyens.
Je languis de voir Carboni, Koné et Brassier à l'oeuvre. Voir si ça marche enfin, sans tirer leçon aucune.
Mais avec l'espoir qu'on nous craigne. Si ça marche, cela ne devra rien au hasard.
D'ailleurs, le hasard, je n'y crois guère. Je ne crois qu'aux rencontres, aux affinités...
Partant de ce principe, j'ai rencontré une belle Ukrainienne. Parfaite en tous points.
Sauf ses dents jaunes tirant vers l'orange selon l'éclairage, mais qui au final ressemblaient à des canisses voire du lambris.
Je n'ai pas donné suite, de peur que ça déteigne...
Donc. On va tabasser Reims. Merci Greenwood, l'unique vitrine de ce mercato.
Merci aux guignols de la LFP, qui me forcent à dépenser mes précieux deniers au bar plutôt que les donner à DAZN et consorts.
Je préfère me faire empapaouter et la sucer après plutôt que ça.
On n'est pas bien, au Liouquet ?
Solide comme un wok !