22-10-2010, 19:45
En ces temps politiques troublés, manifestants comme dirigeants ont une tendance naturelle à se croire au-dessus des lois. Sans généraliser pour autant cet état de fait, certains jolis spécimens des deux "camps" font la une des médias. On peut alors juger du bord politique de ces derniers à la complaisance qu'ils accordent aux agissements des uns et des autres.
La légitimité du politique n'est pas une sinécure, loin s'en faut.
Des grands leaders syndicaux au(x) leader(s) politique(s) en situation de gouverner (sic), ces bêtes de la seine ont quelques trains de retard. Les premiers se drapent dans une représentativité depuis longtemps chancelante, le(s) second(s) s'émeuve(nt) du retour d'une flamme nouvellement dérangeante.
Loin de moi l'idée de vous servir une nouvelle analyse de la situation. Beaucoup ont des valeurs que les informations glanées ne font que conforter... quelles qu'elles soient. On fait bien dire tout et son contraire aux chiffres, alors aux idées !
Les chiffres alors ?
Je m'appuie sur eux pour prendre mon élan vers une transition footbalistique plus légère... quoi que...
Les chiffres donc !
Si l'on s'en tient à eux, effectivement, nos pioupious ne sont plus biquettes. Les derniers matchs ont rendu chèvre certains téléspectateurs. D'autres, au stade, ont même tenté de se détribuner, du haut de Ganay, heureusement de bonnes âmes les en ont dissuadé... l'expérience fait relativiser.
Frite moule (Nonnes troppo)
Dimanche soir, le glamoureux stade de "Villeneuve d'Ascq la bien heureuse" résonnera du claquement de genoux des spectateurs et, prenons les paris, de certains acteurs de cette comédie (6° annoncés, -1° ressenti, pluie averses... projecteurs récupérés lors de la déconstruction lacanienne du "grand stade du peuple" de Cluj en 1983). Chez l'opiomane canapéiste, sofiste, ou bistrotiste aigu, c'est la réputation de jeune louve intenable, de dogue qui fout les boules, de caniche nucléaire qui cause les premiers craquements et nous empêchera de profiter sereinement de notre dimanche passé en mode "vie parallèle".
Aujourd'hui donc, l'OM se présentera auréolé d"un nombre de points plus reluisant que ce que le début de saison ne l'aurait laissé espérer, mais carrément en trompe lil à la vue du niveau de "jeu" affiché récemment. Si on avait laissé les gens se détribuner, on aurait au moins pu jouer sur la fibre émotionnelle, balancer quelques fanfares, en appeler à la mémoire, pour provoquer une réaction illusoire...
Oui car le voilà le problème : les joueurs (et le coach moi je dis aussi, hein parce que tout le monde dans le même bateau, ils gagnent quand-même des miyyyons hein !)
Entre les nouveaux, les pas au niveau, les ramollos, les évidents râteaux et les trop goss'beaux, il reste plus grand monde pour faire une équipe. On serait tentés de les secouer, devant l'indigence de leurs productions récentes. Manque de confiance, d'automatismes, d'envie, de niveau, etc. mais aussi, comme en politique, chaque supporter verra midi à sa télécommande ou à son tourniquet (toujours bloqués, je m'en vais dénoncer ça chez france3 )
La digestion d'un titre semble bien difficile, c'est comme les fibres quand on a le transit capricieux :
Blague :
Je sortais tranquillement du bistrot quand un enfoiré m'a marché sur les mains.
La légitimité du politique n'est pas une sinécure, loin s'en faut.
Des grands leaders syndicaux au(x) leader(s) politique(s) en situation de gouverner (sic), ces bêtes de la seine ont quelques trains de retard. Les premiers se drapent dans une représentativité depuis longtemps chancelante, le(s) second(s) s'émeuve(nt) du retour d'une flamme nouvellement dérangeante.
Loin de moi l'idée de vous servir une nouvelle analyse de la situation. Beaucoup ont des valeurs que les informations glanées ne font que conforter... quelles qu'elles soient. On fait bien dire tout et son contraire aux chiffres, alors aux idées !
Les chiffres alors ?
Je m'appuie sur eux pour prendre mon élan vers une transition footbalistique plus légère... quoi que...
Les chiffres donc !
Si l'on s'en tient à eux, effectivement, nos pioupious ne sont plus biquettes. Les derniers matchs ont rendu chèvre certains téléspectateurs. D'autres, au stade, ont même tenté de se détribuner, du haut de Ganay, heureusement de bonnes âmes les en ont dissuadé... l'expérience fait relativiser.
Frite moule (Nonnes troppo)
Dimanche soir, le glamoureux stade de "Villeneuve d'Ascq la bien heureuse" résonnera du claquement de genoux des spectateurs et, prenons les paris, de certains acteurs de cette comédie (6° annoncés, -1° ressenti, pluie averses... projecteurs récupérés lors de la déconstruction lacanienne du "grand stade du peuple" de Cluj en 1983). Chez l'opiomane canapéiste, sofiste, ou bistrotiste aigu, c'est la réputation de jeune louve intenable, de dogue qui fout les boules, de caniche nucléaire qui cause les premiers craquements et nous empêchera de profiter sereinement de notre dimanche passé en mode "vie parallèle".
Aujourd'hui donc, l'OM se présentera auréolé d"un nombre de points plus reluisant que ce que le début de saison ne l'aurait laissé espérer, mais carrément en trompe lil à la vue du niveau de "jeu" affiché récemment. Si on avait laissé les gens se détribuner, on aurait au moins pu jouer sur la fibre émotionnelle, balancer quelques fanfares, en appeler à la mémoire, pour provoquer une réaction illusoire...
Oui car le voilà le problème : les joueurs (et le coach moi je dis aussi, hein parce que tout le monde dans le même bateau, ils gagnent quand-même des miyyyons hein !)
Entre les nouveaux, les pas au niveau, les ramollos, les évidents râteaux et les trop goss'beaux, il reste plus grand monde pour faire une équipe. On serait tentés de les secouer, devant l'indigence de leurs productions récentes. Manque de confiance, d'automatismes, d'envie, de niveau, etc. mais aussi, comme en politique, chaque supporter verra midi à sa télécommande ou à son tourniquet (toujours bloqués, je m'en vais dénoncer ça chez france3 )
La digestion d'un titre semble bien difficile, c'est comme les fibres quand on a le transit capricieux :
- lol en avait soupé, de grandes gorgées en illimité et... aucun effet.
- Les girondins en avaient faim mais l'ont mangé avec trop de pain. Résultat, ils sont pas allé plus loin : l'amie, ça gonfle.
- Nous on l'a goutée, en fait on l'avait oublié, on s'est remis à l'apprécier, il s'agirait pas de tout recracher
Marcel F, serviteur de ces dames au "troquet du coin"
Blague :
Je sortais tranquillement du bistrot quand un enfoiré m'a marché sur les mains.