19-08-2010, 18:48
Les prémices sont-ils toujours de bon augure
Quel avant-goût hostile lavenir préfigure ?
Le futur on le fait
On ne le subit pas
Pour quérir un trophée
Évitons les appâts.
Et du récent passé
Comme riche bagage
Parole de cétacé
Décodons le langage.
A lété 2009
LOM en plein bouillon
De Bob on était veuf
Le staff en plein brouillon.
Pape Diouf éconduit
Geretz sous dautres cieux
Profond dans son réduit
Keyser un brin soucieux.
Un nouvel entraineur
Leffectif chamboulé
Des rivaux ricaneurs
Une tribune éboulée.
Les prémices sont-ils toujours de bon augure
Quel avant-goût hostile lavenir préfigure ?
Un départ chaotique
Quelques atermoiements
Les éternels sceptiques
Puis vint le firmament.
Fini lhypothétique
On toucha le palpable
Le vécu, lauthentique
Et on en fut capable.
Les jeunes encore puceaux
De butins et de titres
Frétillaient du museau
Les autres faisaient les pitres.
On défilait joyeux
Tout autour du Vieux Port
Des minots aux aïeux
Dans un commun transport.
Losmose était totale
Le crédit au zénith
Au plus haut le mental
Pastis à leau bénite.
Les prémices sont-ils toujours de bon augure
Quel avant-goût hostile lavenir préfigure ?
A lété 2010
LOM en plein brouillon
Repart comme jadis
Dans des états couillons.
Comme un gagnant heureux
Qui touche le gros lot
Montrons-nous généreux
Les primes coulent à flot.
On ne partage plus
La communication
Se limite au salut
Et creuse le sillon.
On ne se presse pas
Fort du nouveau statut
Repus dun bon repas
On en devient obtus.
Nos bijoux de famille
Ont des désirs dailleurs
Dans leurs jambes ça fourmille
Le sénef stire ailleurs.
Les prémices sont-ils toujours de bon augure
Quel avant-goût hostile lavenir préfigure ?
Mais cet aveuglement
Nest bien que passager
Létoile au firmament
On ne peut lexiger.
Et le grantatakan
Sème la zizanie
On est battu par Caen
Désastreuse avanie.
Les cadres font des toiles
Se posent des questions
Filantes les étoiles
Où est le postillon ?
Les brides se détendent
Fini le mors aux dents
Faut que le coche entende
Cest lui le commandant.
Défendre ses opinions
Si on nest pas buté
Pour le bien du fanion
Faut se montrer futé.
Les prémices sont-ils toujours de bon augure
Quel avant-goût hostile lavenir préfigure ?
On recrute français
Misant sur lavenir
Si lon doit dépenser
Autant bien rajeunir.
Rassurant les anciens
Prolongeant les jeunots
En y mettant du sien
En se montrant finaud.
Assez tergiversé
Faut relancer lallure
Le cours faut inverser
Mettons de la voilure.
Retrouvons notre niaque
En attendant Gignac
Visons la gamme héros
Si on prend Gameiro
(Rayer loption qui ne rime à rien )
Lavons cette infamie
A laide de Rémy.
Songeons aux lots riants
Aux trophées bien glanés
En punissant Lorient
Finissons de flâner.
Cétacé
Quel avant-goût hostile lavenir préfigure ?
Le futur on le fait
On ne le subit pas
Pour quérir un trophée
Évitons les appâts.
Et du récent passé
Comme riche bagage
Parole de cétacé
Décodons le langage.
A lété 2009
LOM en plein bouillon
De Bob on était veuf
Le staff en plein brouillon.
Pape Diouf éconduit
Geretz sous dautres cieux
Profond dans son réduit
Keyser un brin soucieux.
Un nouvel entraineur
Leffectif chamboulé
Des rivaux ricaneurs
Une tribune éboulée.
Les prémices sont-ils toujours de bon augure
Quel avant-goût hostile lavenir préfigure ?
Un départ chaotique
Quelques atermoiements
Les éternels sceptiques
Puis vint le firmament.
Fini lhypothétique
On toucha le palpable
Le vécu, lauthentique
Et on en fut capable.
Les jeunes encore puceaux
De butins et de titres
Frétillaient du museau
Les autres faisaient les pitres.
On défilait joyeux
Tout autour du Vieux Port
Des minots aux aïeux
Dans un commun transport.
Losmose était totale
Le crédit au zénith
Au plus haut le mental
Pastis à leau bénite.
Les prémices sont-ils toujours de bon augure
Quel avant-goût hostile lavenir préfigure ?
A lété 2010
LOM en plein brouillon
Repart comme jadis
Dans des états couillons.
Comme un gagnant heureux
Qui touche le gros lot
Montrons-nous généreux
Les primes coulent à flot.
On ne partage plus
La communication
Se limite au salut
Et creuse le sillon.
On ne se presse pas
Fort du nouveau statut
Repus dun bon repas
On en devient obtus.
Nos bijoux de famille
Ont des désirs dailleurs
Dans leurs jambes ça fourmille
Le sénef stire ailleurs.
Les prémices sont-ils toujours de bon augure
Quel avant-goût hostile lavenir préfigure ?
Mais cet aveuglement
Nest bien que passager
Létoile au firmament
On ne peut lexiger.
Et le grantatakan
Sème la zizanie
On est battu par Caen
Désastreuse avanie.
Les cadres font des toiles
Se posent des questions
Filantes les étoiles
Où est le postillon ?
Les brides se détendent
Fini le mors aux dents
Faut que le coche entende
Cest lui le commandant.
Défendre ses opinions
Si on nest pas buté
Pour le bien du fanion
Faut se montrer futé.
Les prémices sont-ils toujours de bon augure
Quel avant-goût hostile lavenir préfigure ?
On recrute français
Misant sur lavenir
Si lon doit dépenser
Autant bien rajeunir.
Rassurant les anciens
Prolongeant les jeunots
En y mettant du sien
En se montrant finaud.
Assez tergiversé
Faut relancer lallure
Le cours faut inverser
Mettons de la voilure.
Retrouvons notre niaque
En attendant Gignac
Visons la gamme héros
Si on prend Gameiro
(Rayer loption qui ne rime à rien )
Lavons cette infamie
A laide de Rémy.
Songeons aux lots riants
Aux trophées bien glanés
En punissant Lorient
Finissons de flâner.
Cétacé