14-12-2009, 10:05
Il réfréna son réflexe naturel, résista à cette envie reptilienne de chasser cette goutte de son refuge temporaire. Elle roula, suivant le chemin qu'un spleen tenace lui offrait sur son nez, boudeusement tourné vers le sol. Il la laissa se décrocher de son promontoire pour s'écraser sur le zinc en un rond parfait, moucheté ça et là de fines éjections qui auraient renseigné de manière précise un analyste des traces de sang
.
Un triste sourire essaya d'éclairer ses traits, et abandonna vite la partie. Il connaissait bien cet état qui l'avait envahi. Une forme de mélancolie, cancer mental offrant autant qu'il enlève, nostalgie vénérienne que la colophane aurait bien du mal à soigner
La larme réagissait à ses expirations chargées en frissonnant. Il souffla doucement, faisant rouler la bille de mercure en une étreinte fatale avec le zinc où elle se répandit contre son gré
Il pensa encore une fois à Elle, mais cette fois encore, ce souvenir le brûla si intensément qu'il préféra se reconcentrer sur sa larme .. Il repris sa marotte Comment concevoir que cette petite chose, cette goutte puisse disparaître sur ce zinc ? Il se remémora, ou en tous cas essaya, ses vieilles notions de physique, avec ses atomes, ses neutrons, ses molécules il avait surtout retenu que c'était petit, très petit, et que l'essentiel n'était que vide il avait oublié, ensuite. La vie est assez compliqué pour ne pas s'embarrasser de choses non directement utile.
Et pourtant. Comprendre. Il aimait çà. Il se rappela cet article sur Einstein qui était devenu pratiquement fou en essayant de comprendre la physique quantique. Là, il avait essayé. Las, il n'avait rien compris. Ou plutôt, il avait fait comme à son habitude, d'un magma informe, il avait érigé en profession de foi aux limites floutées une théorie fumeuse qui arrangeait ses maigres capacités cognitives. Comme il avait créé un amalgame douteux des différentes religions pour en faire sienne une nouvelle, qui acceptait toutes les éventualités finales, la réalité se chargeant à moyen terme de tirer au clair la partie qui serait sienne ad patres.
Revenons donc à l'atome, au quantique, et essayons de les traduire en propos vulgaire. En gros, ce qu'il voyait n'existait pas. Tout n'était que perceptions, et déformations de celles-ci par un système unique et inique qui ne lui laissait que peu de focales disponibles. Les sens, cette richesse, ce handicap. Ce qu'il voyait de beau n'était qu'ensemble de molécules, liées les unes aux autres par d'invisibles liaisons, elles-mêmes soumises à des règles que son champ de perception laissait échapper. Comme elle lui laissait échapper que d'autres règles annulaient les premières.
Comment voir la différence entre le zinc et l'eau, quand on se met au niveau de l'atome ? pourquoi son doigt ne s'étalait pas lui aussi ? Densité ? Liaisons moléculaires ? Mais alors comment les sentiments qu'il ressentait à l'instant présent pouvaient-ils être transportés dans un monde matériel tels qu'il se le représentait dans l'infiniment petit ? Pourtant leur densité n'avait rien de la légèreté d'un cantique .
Ses pensées zappèrent, laissant l'interview du druide Gourcuff s'immiscer dans cette fuite en avant de questions insolubles. Gourcuff. Le breton qui avait donné les clefs à tous de l'équipe du belge. Celui qui avait appuyé où ça fait mal. L'équipe déséquilibrée offensivement. A l'échelle atomique, comme à celle de la réalité, il avait provoqué une implosion. Peu reconnu pour son acuité tactique et technique, il n'avait, faute de talent médiatique, pu profiter de ce quart d'heure de célébrité et était resté dans son pays vannetais, comme Elle.
Il avait tant espéré la revoir. Miel blond, fondant sous ses assauts au premier jour, comme au dernier, il l'avait laissée repartir vers son « pays », sûr de sa place dans le Walhalla de cette déesse viking, fort de ce numéro qu'elle avait difficilement osé lui glisser alors qu'il allait s'en retourner. Habitant chez ses parents, à une époque ou le portable était un gadget amusant pour parigots extravagants, ce don qu'elle lui faisait était une gageure, une promesse forte
Comment des atomes si fortement attirés l'un vers l'autre peuvent-ils se séparer ? car en fait d'amants, il étaient surtout aimantés l'un par l'autre . Mais un bout de papier est une bien grande richesse, en même temps qu'une si petite chose. Milliards de molécules, éphémère du périodique. et là, hélas, las, il dut reconnaître qu'il fut bien peu ordonné, bien inconséquent de n'avoir pas su le conserver.
Il lui fallut trois ans pour , au gré d'un déménagement, voir la si recherchée écriture apparaitre sur un bout de papier journal collé derrière son bureau . Trois ans une vie . La timidité est constituée de quelles molécules, pour être si puissante quand elle survient ? il avait encore attendu .
Pourtant, au départ, il avait essayé. Ses recherches des premiers jours, sur les traces du numéro perdu, n'avaient rien données, quand il s'était plongé dans l'annuaire de Larmor-Plage, sur les traces de la belle et soyeuse. Elle avait troquée Groix contre Porquerolles, le temps d'un été, et un amour d'été doit rester un souvenir, pour être définitivement bon.
C'était plus que cela. Il le savait . Il l'avait appelé, enfin. Elle l'avait reconnue. Tout de suite. Surprise, surpris. Son accent lui avait parlé, bien plus que ses mots. Le soleil s'entend bien sous le crachin.
Il avala son Tullamore d'un seul trait, en regardant la bande annonce du match qui s'apprêtait à commencer les commentaires entre bretons purs et durs et pro-marseillais lui arrachèrent sa première détente de zygomatique de la soirée, et lui adoucirent l'humeur. Comme les efforts du gratteux de service, cherchant à enrichir l'atmosphère d'un « creep » suranné, mais bienvenu. Il collait exactement à ses envies musicales de l'instant.
Il y avait eu un silence. Long. Puis une simple question : "Pourquoi tu as mis tout ce temps ? ".Son sang avait joué une drôle de sarabande dans son corps, transformant sa tête en imitation de celle de Peter Parker juste avant l'arrivée d'un super-vilain.
« je n'ai plus osé, j'avais égaré ton numéro.
Je ne voulais pas te déranger ..
Écoute, c'est nul après tout ce temps ..je vais raccrocher »
« non, attends .. »
le barman avait vu son geste il replongea son regard dans l'ambre du whisky, après un rapide coup d'oeil aux grimaces de Lucho, amputé d'une jambe par le sous-marinier bordelais Ducasse. Faux corsaire, mais vrai boucanier, celui-là ! Il n'y a pas de duel au foot, qu'il disait, le druide .. mais il y a quand même de beaux tampons .
Ils avaient parlé , deux heures. Pour quelqu'un qui haïssait le téléphone, c'était plus qu'un exploit, c'était un trophée, un fait d'armes . Sans le mérite, puisqu'il n'avait pas vu passer l'heure. Puis vint l'estocade. Elle l'invita à son mariage, dans deux mois.
Demain ..
La brulure du breuvage ingurgité manu militari lui embrasa les entrailles, provoquant un hoquet, ce qui eu pour effet, malgré ses efforts, de lui projeter un peu de whisky dans les sinus. Pour ceux qui ont gouté cette sensation, il ne fait pas de doute qu'ils grimacent, pleins d'empathie. Il réussit à éviter de vomir, hoqueta violemment, s'étouffa et se retrouva sur ses pieds par la force de la quinte de toux qui le secoua. Essuya ses larmes, mélange de tristesse, de douleurs et d'auto-apitoiement, puis se rassit pour mettre un point final à la reconstitution de la scène qui l'avait mené là, dans ce pub breton sans âme, comme toute cette ville morte pour la France il y a si longtemps .
Il s'était tu. Il avait glacé sur pied. Elle lui avait laissé le temps de digérer, ou du moins le faire croire, puis lui avait demandé s'il acceptait de venir. C'était important pour elle. La Nausée. Il n'avait plus réfléchi, il ne pouvait plus . pause peu salvatrice, néanmoins. Elle avait réalisé, alors qu'il tentait de prononcer une parole pertinente avec une bouche en chamallow, que la blessure était profonde. Et avait explosé, soudain. Pas de colère. Pas de haine. Si on ne vit pas de regrets, il en est qu'il faut apprivoiser, avec du temps. Et là, la bête était vivante, Gritche aux pointes acérées se jouant du temps. Elle les avait déchirés.
« pourquoi tu n'as pas appelé ? »
triste épitaphe. Mais il est de certaines relations qu'elles ne peuvent être interrompues si aisément. Ils avaient encore beaucoup parlé . Le temps effacé par un enchantement connu de si peu de gens, ils avaient retrouvé ce lien instinctif qui les avaient réunis. Le naturel avait repris sa place dans cette échange faussé initialement par la lourdeur des émotions . Finalement, grisé, conscient de l'effort à venir, mais très probablement mû par cet atroce espoir qu'il refusait d'envisager, il avait promis de venir. Il ignorait encore pourquoi. Enfin, il voulait y croire. L'Espoir est un ami trompeur.
Ils les avaient vus aujourd'hui. C'était au-dessus de ses forces. De leurs forces. Elle avait continué ce qu'elle avait commencé. Elle devait continuer. Chez les bretons, reculer, c'est mourir un peu. Lui n'était pas breton. Elle avait compris. Et eu un beau et triste sourire quand au moment de partir pour laisser les préparatifs d'une noce qui le martyrisait, il lui avait glissé un morceau de papier journal, avec une adresse mail, et un numéro. Et un sourire
Ce Koscielny, beau joueur quand même. Et Gourcuff, avec son idée de jeu sans duel, il serait pas mal à l'OM, avec des Mbia, Heinze et Lucho pour jouer enfin dans la bonne cour ..
Il quitterait Lorient dés demain, retournerait à son occident à lui, définitivement plus oriental que tout ceci.
Peut-être que . Non, rien .
Un triste sourire essaya d'éclairer ses traits, et abandonna vite la partie. Il connaissait bien cet état qui l'avait envahi. Une forme de mélancolie, cancer mental offrant autant qu'il enlève, nostalgie vénérienne que la colophane aurait bien du mal à soigner
La larme réagissait à ses expirations chargées en frissonnant. Il souffla doucement, faisant rouler la bille de mercure en une étreinte fatale avec le zinc où elle se répandit contre son gré
Il pensa encore une fois à Elle, mais cette fois encore, ce souvenir le brûla si intensément qu'il préféra se reconcentrer sur sa larme .. Il repris sa marotte Comment concevoir que cette petite chose, cette goutte puisse disparaître sur ce zinc ? Il se remémora, ou en tous cas essaya, ses vieilles notions de physique, avec ses atomes, ses neutrons, ses molécules il avait surtout retenu que c'était petit, très petit, et que l'essentiel n'était que vide il avait oublié, ensuite. La vie est assez compliqué pour ne pas s'embarrasser de choses non directement utile.
Et pourtant. Comprendre. Il aimait çà. Il se rappela cet article sur Einstein qui était devenu pratiquement fou en essayant de comprendre la physique quantique. Là, il avait essayé. Las, il n'avait rien compris. Ou plutôt, il avait fait comme à son habitude, d'un magma informe, il avait érigé en profession de foi aux limites floutées une théorie fumeuse qui arrangeait ses maigres capacités cognitives. Comme il avait créé un amalgame douteux des différentes religions pour en faire sienne une nouvelle, qui acceptait toutes les éventualités finales, la réalité se chargeant à moyen terme de tirer au clair la partie qui serait sienne ad patres.
Revenons donc à l'atome, au quantique, et essayons de les traduire en propos vulgaire. En gros, ce qu'il voyait n'existait pas. Tout n'était que perceptions, et déformations de celles-ci par un système unique et inique qui ne lui laissait que peu de focales disponibles. Les sens, cette richesse, ce handicap. Ce qu'il voyait de beau n'était qu'ensemble de molécules, liées les unes aux autres par d'invisibles liaisons, elles-mêmes soumises à des règles que son champ de perception laissait échapper. Comme elle lui laissait échapper que d'autres règles annulaient les premières.
Comment voir la différence entre le zinc et l'eau, quand on se met au niveau de l'atome ? pourquoi son doigt ne s'étalait pas lui aussi ? Densité ? Liaisons moléculaires ? Mais alors comment les sentiments qu'il ressentait à l'instant présent pouvaient-ils être transportés dans un monde matériel tels qu'il se le représentait dans l'infiniment petit ? Pourtant leur densité n'avait rien de la légèreté d'un cantique .
Ses pensées zappèrent, laissant l'interview du druide Gourcuff s'immiscer dans cette fuite en avant de questions insolubles. Gourcuff. Le breton qui avait donné les clefs à tous de l'équipe du belge. Celui qui avait appuyé où ça fait mal. L'équipe déséquilibrée offensivement. A l'échelle atomique, comme à celle de la réalité, il avait provoqué une implosion. Peu reconnu pour son acuité tactique et technique, il n'avait, faute de talent médiatique, pu profiter de ce quart d'heure de célébrité et était resté dans son pays vannetais, comme Elle.
Il avait tant espéré la revoir. Miel blond, fondant sous ses assauts au premier jour, comme au dernier, il l'avait laissée repartir vers son « pays », sûr de sa place dans le Walhalla de cette déesse viking, fort de ce numéro qu'elle avait difficilement osé lui glisser alors qu'il allait s'en retourner. Habitant chez ses parents, à une époque ou le portable était un gadget amusant pour parigots extravagants, ce don qu'elle lui faisait était une gageure, une promesse forte
Comment des atomes si fortement attirés l'un vers l'autre peuvent-ils se séparer ? car en fait d'amants, il étaient surtout aimantés l'un par l'autre . Mais un bout de papier est une bien grande richesse, en même temps qu'une si petite chose. Milliards de molécules, éphémère du périodique. et là, hélas, las, il dut reconnaître qu'il fut bien peu ordonné, bien inconséquent de n'avoir pas su le conserver.
Il lui fallut trois ans pour , au gré d'un déménagement, voir la si recherchée écriture apparaitre sur un bout de papier journal collé derrière son bureau . Trois ans une vie . La timidité est constituée de quelles molécules, pour être si puissante quand elle survient ? il avait encore attendu .
Pourtant, au départ, il avait essayé. Ses recherches des premiers jours, sur les traces du numéro perdu, n'avaient rien données, quand il s'était plongé dans l'annuaire de Larmor-Plage, sur les traces de la belle et soyeuse. Elle avait troquée Groix contre Porquerolles, le temps d'un été, et un amour d'été doit rester un souvenir, pour être définitivement bon.
C'était plus que cela. Il le savait . Il l'avait appelé, enfin. Elle l'avait reconnue. Tout de suite. Surprise, surpris. Son accent lui avait parlé, bien plus que ses mots. Le soleil s'entend bien sous le crachin.
Il avala son Tullamore d'un seul trait, en regardant la bande annonce du match qui s'apprêtait à commencer les commentaires entre bretons purs et durs et pro-marseillais lui arrachèrent sa première détente de zygomatique de la soirée, et lui adoucirent l'humeur. Comme les efforts du gratteux de service, cherchant à enrichir l'atmosphère d'un « creep » suranné, mais bienvenu. Il collait exactement à ses envies musicales de l'instant.
Il y avait eu un silence. Long. Puis une simple question : "Pourquoi tu as mis tout ce temps ? ".Son sang avait joué une drôle de sarabande dans son corps, transformant sa tête en imitation de celle de Peter Parker juste avant l'arrivée d'un super-vilain.
« je n'ai plus osé, j'avais égaré ton numéro.
Je ne voulais pas te déranger ..
Écoute, c'est nul après tout ce temps ..je vais raccrocher »
« non, attends .. »
le barman avait vu son geste il replongea son regard dans l'ambre du whisky, après un rapide coup d'oeil aux grimaces de Lucho, amputé d'une jambe par le sous-marinier bordelais Ducasse. Faux corsaire, mais vrai boucanier, celui-là ! Il n'y a pas de duel au foot, qu'il disait, le druide .. mais il y a quand même de beaux tampons .
Ils avaient parlé , deux heures. Pour quelqu'un qui haïssait le téléphone, c'était plus qu'un exploit, c'était un trophée, un fait d'armes . Sans le mérite, puisqu'il n'avait pas vu passer l'heure. Puis vint l'estocade. Elle l'invita à son mariage, dans deux mois.
Demain ..
La brulure du breuvage ingurgité manu militari lui embrasa les entrailles, provoquant un hoquet, ce qui eu pour effet, malgré ses efforts, de lui projeter un peu de whisky dans les sinus. Pour ceux qui ont gouté cette sensation, il ne fait pas de doute qu'ils grimacent, pleins d'empathie. Il réussit à éviter de vomir, hoqueta violemment, s'étouffa et se retrouva sur ses pieds par la force de la quinte de toux qui le secoua. Essuya ses larmes, mélange de tristesse, de douleurs et d'auto-apitoiement, puis se rassit pour mettre un point final à la reconstitution de la scène qui l'avait mené là, dans ce pub breton sans âme, comme toute cette ville morte pour la France il y a si longtemps .
Il s'était tu. Il avait glacé sur pied. Elle lui avait laissé le temps de digérer, ou du moins le faire croire, puis lui avait demandé s'il acceptait de venir. C'était important pour elle. La Nausée. Il n'avait plus réfléchi, il ne pouvait plus . pause peu salvatrice, néanmoins. Elle avait réalisé, alors qu'il tentait de prononcer une parole pertinente avec une bouche en chamallow, que la blessure était profonde. Et avait explosé, soudain. Pas de colère. Pas de haine. Si on ne vit pas de regrets, il en est qu'il faut apprivoiser, avec du temps. Et là, la bête était vivante, Gritche aux pointes acérées se jouant du temps. Elle les avait déchirés.
« pourquoi tu n'as pas appelé ? »
triste épitaphe. Mais il est de certaines relations qu'elles ne peuvent être interrompues si aisément. Ils avaient encore beaucoup parlé . Le temps effacé par un enchantement connu de si peu de gens, ils avaient retrouvé ce lien instinctif qui les avaient réunis. Le naturel avait repris sa place dans cette échange faussé initialement par la lourdeur des émotions . Finalement, grisé, conscient de l'effort à venir, mais très probablement mû par cet atroce espoir qu'il refusait d'envisager, il avait promis de venir. Il ignorait encore pourquoi. Enfin, il voulait y croire. L'Espoir est un ami trompeur.
Ils les avaient vus aujourd'hui. C'était au-dessus de ses forces. De leurs forces. Elle avait continué ce qu'elle avait commencé. Elle devait continuer. Chez les bretons, reculer, c'est mourir un peu. Lui n'était pas breton. Elle avait compris. Et eu un beau et triste sourire quand au moment de partir pour laisser les préparatifs d'une noce qui le martyrisait, il lui avait glissé un morceau de papier journal, avec une adresse mail, et un numéro. Et un sourire
Ce Koscielny, beau joueur quand même. Et Gourcuff, avec son idée de jeu sans duel, il serait pas mal à l'OM, avec des Mbia, Heinze et Lucho pour jouer enfin dans la bonne cour ..
Il quitterait Lorient dés demain, retournerait à son occident à lui, définitivement plus oriental que tout ceci.
Peut-être que . Non, rien .
Rhoooo, ce qu'il vient de réaliser...il y a du Waddle dans ce garçon. @cétacé