03-11-2009, 18:05
Dhabitude, quand on est à la bourre ou quon est en panne dinspiration, on se réunit tous autour dune table en merisier dInde et chacun y va de son petit mot pour écrire un édito. Un Cadavre Exquis quon appelle ça.
Sauf quaujourdhui, le meurtre tient plus de la boucherie chevaline après une chute PMUesque que de lempoisonnement à larsenic.
Les vacances de la Toussaint associées aux derniers rayons de soleil ont plus tendance à donner envie de profiter de nos dernières escapades extérieures, histoire de repousser le moment fatidique où le bas de nos pantalons devra nager dans les flaques deau quon aura pas su éviter. Du coup, on était pas beaucoup autour de la table. Même une contrée, on aura pas pu faire.
Et pour ce qui est de linspiration . Rien. Nada. Panne sèche. Limpression davoir la boite à idée aussi sèche que le gosier du filtre. Comme si les neurones se la jouaient tels les bras de Charles Itandje et narrivaient pas à se connecter les uns aux autres.
Pourtant, il y aurait de quoi dire sur le match de ce soir :
Sur le nul contre Toulouse et cette incapacité à ne faire franchir au ballon que la ligne de sortie de but.
Sur lobligation de prendre les 3 points ce soir si on veut vivre et survivre en LDC, car le Milan et le Réal ne vont pas nous attendre.
Sur Margarita et sa cour au coucou (suisse et non Paloma). Alors qu'en fait, la proprio a juste envie de faire plaisir à ses gamins en les amenant voir un match de foot
Mais, non, rien ne nous vient à lidée.
Bon, alors, on va sortir une chanson de derrière les fagots, histoire de remplir la page blanche de Word. Je mimagine soudain face à Laurent Broomhead à Pyramide. En trois mots. Chanson, Suisse, Zurich .
Zurich: Ya bien le générique de Rick Hunter, mais il nest pas suisse et en plus je connais pas les paroles. On passe, neurone suivant. Pas de chansons sur celui là, mais la pêche a été fructueuse, faut que je ramène du pain, sous peine de divorce avec ma mie. Neurone suivant, faut vraiment que je trouve la chanson Un groupe suisse alors mais à part les Helvètes Underground la Castafiore chantant « Ah Zurich, de me voir si belle en ce miroir ». Puis bien sur, comme une explosion dans la tête, telle un évidence des canards, la silhouette de Stefan Eicher savance vers moi. Le Bob Dylan suisse qui veut déjeuner en paix. Ouais, c'est bien, bah même là pour faire un édito, ya pas de quoi faire trois couplets.
Alors,comme le foot, ce sont ceux qui en parlent le mieux, qui en parlent le mieux, je vous laisse en parler.
Sauf quaujourdhui, le meurtre tient plus de la boucherie chevaline après une chute PMUesque que de lempoisonnement à larsenic.
Les vacances de la Toussaint associées aux derniers rayons de soleil ont plus tendance à donner envie de profiter de nos dernières escapades extérieures, histoire de repousser le moment fatidique où le bas de nos pantalons devra nager dans les flaques deau quon aura pas su éviter. Du coup, on était pas beaucoup autour de la table. Même une contrée, on aura pas pu faire.
Et pour ce qui est de linspiration . Rien. Nada. Panne sèche. Limpression davoir la boite à idée aussi sèche que le gosier du filtre. Comme si les neurones se la jouaient tels les bras de Charles Itandje et narrivaient pas à se connecter les uns aux autres.
Pourtant, il y aurait de quoi dire sur le match de ce soir :
Sur le nul contre Toulouse et cette incapacité à ne faire franchir au ballon que la ligne de sortie de but.
Sur lobligation de prendre les 3 points ce soir si on veut vivre et survivre en LDC, car le Milan et le Réal ne vont pas nous attendre.
Sur Margarita et sa cour au coucou (suisse et non Paloma). Alors qu'en fait, la proprio a juste envie de faire plaisir à ses gamins en les amenant voir un match de foot
Mais, non, rien ne nous vient à lidée.
Bon, alors, on va sortir une chanson de derrière les fagots, histoire de remplir la page blanche de Word. Je mimagine soudain face à Laurent Broomhead à Pyramide. En trois mots. Chanson, Suisse, Zurich .
Zurich: Ya bien le générique de Rick Hunter, mais il nest pas suisse et en plus je connais pas les paroles. On passe, neurone suivant. Pas de chansons sur celui là, mais la pêche a été fructueuse, faut que je ramène du pain, sous peine de divorce avec ma mie. Neurone suivant, faut vraiment que je trouve la chanson Un groupe suisse alors mais à part les Helvètes Underground la Castafiore chantant « Ah Zurich, de me voir si belle en ce miroir ». Puis bien sur, comme une explosion dans la tête, telle un évidence des canards, la silhouette de Stefan Eicher savance vers moi. Le Bob Dylan suisse qui veut déjeuner en paix. Ouais, c'est bien, bah même là pour faire un édito, ya pas de quoi faire trois couplets.
Alors,comme le foot, ce sont ceux qui en parlent le mieux, qui en parlent le mieux, je vous laisse en parler.