31-10-2009, 22:52
Chères ouailles,
Déprime, laxatifs, sédatifs et ménopause... et l'OM se retrouve mené à la pause. Comme quoi, même face à Toulouse, la vie n'est pas cyrrhose. Je m'écrasais la raie sur un tabouret d'un PMU de quartier, au bar des hommes qui baisent seuls. Avant le coup d'envoi, je me voyais déjà encerclée par une horde de vieux éphèbes avinés. Au lit soient, qui males y pensent... Un énervé met un taquet à son fils de huit ans, qui avait eu le malheur de gaspiller un crédit au bingo. Force est de reconnaître que le papa, préférait le débit au crédit. Le patron du bar, rond comme une queue de pelle me recommanda l'achat d'un 125 cm3 chinois, qu'il avait eu la bonne idée d'essayer sans casque, à la mi-temps. « Zébu » a promis de provisionner un kilo de sars pour le loto du uikend. Ca jacte (daniels) au comptoir, ces brocasses en brochettes ont tous la même couleur au fond des yeux. Ca promet...
Le film du match
Comme un signe dudit vin, et malgré les acteurs qui jouaient le ballon, le Téfécé présentait une nuque dégarnie à portée de bourreau dès la 7 ème minute avec l'expulsion logique de Pelé pour un attentat sur Mamadou. L'OM tentait bien de profiter de sa position supposée de supériorité pour assaillir de bien vaillants toulousains. Mais, comme le dit « Gé », un miracle, ça n'arrive tous les cinq ans », alors que le cauchemar nous guette au moindre faux-pas. Et ce qui devait arriver arrivat à la 28e minute. Sissoko terrassait les Marseillais sur un coup franc d'une rare violence, bien aidé par un frêle mur composé de deux frêles joueurs. Le reste ne fut qu'un chapelet de vaines tentatives fait de fausses démarquations et de véritables maladresses, comme en témoigne la seule frappe cadrée de la première période, oeuvre de Lucho. Ben Arfa remplace Abriel quelques minutes avant la pause. Un OM plus tranchant se profile alors. Quelques minutes après la reprise, Valbuena, méritant mais jamais décisif à l'image de sa carrière professionnelle, est remplacé par Baky Koné. L'OM pousse sans s'émousser. Lucho, victime d'un coup sur sa cheville droite, sort au profit de Kaboré. « Bas du cul exhorte alain Soultanian à « en profiter pour le pîquer cart la Sécu nous rembourse». L'OM ne cadre toujours pas. Koné place une reprise puissante dans le pubis d'un Toulousain. L'OM cadre sa troisième frappe, noyée dans une multitude d'occasions hors-cadre, par le biais de Niang replacé dans l'axe. Il aura fallu attendre la 75 pour que le Velodrome rechante l'espoir grâce à Brandão, sur un service de Koné. Nul ne sait comment ce ballon aura fini au fond des filets. Mais « bas du cul » manivelle sa théorie : « En vérité, il a la jambe gauche qui s'est disputée avec la droite, à la fin de l'embrouille y en a une qui a décidé de marquer ». L'OM pousse. Mais s'émousse. Une pluie d'occasion, mais rien de décisif, à part Blondel, auteur de plus que le minimum syndical : « Me goal de Toulouse, c'est Jésus. Il est tellement excité qu'il sort toutes les balles. Il a fusionné avec Maurice ». A trop vouloir vaincre un à zéro, l'OM s'est trouvé fort dépourvu quand le moment de claquer la bise à Bordeaux, vainqueur 1 à 0 face à Monaco, fut venue. Si le Clasico avait eu lieu et que l'OM avait joué ce soir Toulouse à armes égales, on aurait pu accorder aux Olympiens des circonstances éternuantes. A 11 contre 10 à domicile, c'est impardonnable. Les masques tombent-ils ?
Les notes de « bas du cul »
Mandanda : 6
Un arrêt décisif face à Gignac, pas inerte pour un saoûl. Au nom de quoi a-t-il réclamé un mur à deux joueurs sur la frappe d emule de Sissoko ?
Heinze : 6
Hargneux, présent surl'homme.... mais c'est habituel. La puissance et la vitesse de Taïwo nous auront manqué ce soir.
Hilton : 6
Je ne l'ai pas remarqué. Est-ce de bon ou de mauvais augure ?
Diawara : 5
Le cas Souley interroge, mais les Toulousains n'en ont pas fait tout un plat. C'est le Marseillais qui avait l'air à la peine au moment de digérer ses efforts.
Bocaly : 6
De la volonté malgré quelques erreurs qui auront conduit Gignac à crocheter par son côté sur son but. Bonne disponibilité, le gàri est monté autant de fois en un latch que Bonnart depuis le début de la saison. A faire regretter de ne pas voir Taïwo de l'autre côté. Plein d'entrain... et comme il joue arrière, mmmmmmm je l'ai senti passer !
M'Bia : 5.5
Je ne sais qu'en penser. Pas vraiment auteur de maladresses, Stéphane n'a eu aucune influence dans un secteur de jeu stratégique.
Abriel : 4
Remplacé à la 39e par HBA. « T'y as vu les passes qu'il fait, Abriel ? Ma foi, c'est un milieu défensif, rien de plus. Eh ma foi...».
Lucho : 4,5
« 20 myons d'euros, tu me fais rentrer à moi c'est pareil » s'est exclamé un petit vieux « au nez de bec bunzen ». Auteur de la seule frappe cadrée jusqu'aux deux tiers de la partie, mais dont la mollesse fut digne d'une octogénaire enceinte. « Avant, il donnait des ballons à des bombes atomiquesn, maintenant il fait des passes à Brandão, il faut le comprendre peuchère ».@bas du cul.
Niang : 5
« S'il était pas africain, il courrait moins vite et on le trouverait pas bon »@bas du cul.
Valbu : 5,5
« Il est aussi mauvais que Niang mais il est plus petit ». Pas déméritant, le Mathieu. Mais jamais décisif. Life goes on, Houuuuuuuuuuu ! Deux tirs juste au-dessus de la barre. Gerets ne l'aurait jamais sorti. « Tu l'as vu Sissoko ? Eh bèh, Valbuena même en sautant il arrive pas à lui mordre les coroñes »@basducul, qui relança proprement d'un : « Eh applique-toi oh tête de bonne mine ! ».
Brandao : 6
40e minute, basducul prend la parole : « Oh fais le sortir Chubaka, les Toulousains ils jouent à 47 derrière. Qu'est-ce que tu veux gagner un championnat avec lui... qu'il rentre chez lui en vaisseau ! ». 87e : « Bien joué Chubaca, oh c'est la pleine lune, il va lui pousser des poils c'est un fou lui oh ! ».
Ben Arfa : 6,5
« Qu'est-ce y fait avé le maillot de Niang ce drogué ?!!! Ben Arfa, c'est un drogué, c'est un vendeur de bambous à la Busserine ».
Kaboré : 5
Aucun commentaire, j'étais déjà saoûle !
Koné : 6.5
Remplace le petit, la différence aurait pu venir (deux fois) de lui. Auteur d'une passe décisive sur le but égalisateur de notre Brandão, on le sentait en mesure de faire ce que Niang n'était plus en forme de faire. En somme, Koné aurait pu nous faire monter à l'étage supérieur au classement, ce soir.
Déprime, laxatifs, sédatifs et ménopause... et l'OM se retrouve mené à la pause. Comme quoi, même face à Toulouse, la vie n'est pas cyrrhose. Je m'écrasais la raie sur un tabouret d'un PMU de quartier, au bar des hommes qui baisent seuls. Avant le coup d'envoi, je me voyais déjà encerclée par une horde de vieux éphèbes avinés. Au lit soient, qui males y pensent... Un énervé met un taquet à son fils de huit ans, qui avait eu le malheur de gaspiller un crédit au bingo. Force est de reconnaître que le papa, préférait le débit au crédit. Le patron du bar, rond comme une queue de pelle me recommanda l'achat d'un 125 cm3 chinois, qu'il avait eu la bonne idée d'essayer sans casque, à la mi-temps. « Zébu » a promis de provisionner un kilo de sars pour le loto du uikend. Ca jacte (daniels) au comptoir, ces brocasses en brochettes ont tous la même couleur au fond des yeux. Ca promet...
Le film du match
Comme un signe dudit vin, et malgré les acteurs qui jouaient le ballon, le Téfécé présentait une nuque dégarnie à portée de bourreau dès la 7 ème minute avec l'expulsion logique de Pelé pour un attentat sur Mamadou. L'OM tentait bien de profiter de sa position supposée de supériorité pour assaillir de bien vaillants toulousains. Mais, comme le dit « Gé », un miracle, ça n'arrive tous les cinq ans », alors que le cauchemar nous guette au moindre faux-pas. Et ce qui devait arriver arrivat à la 28e minute. Sissoko terrassait les Marseillais sur un coup franc d'une rare violence, bien aidé par un frêle mur composé de deux frêles joueurs. Le reste ne fut qu'un chapelet de vaines tentatives fait de fausses démarquations et de véritables maladresses, comme en témoigne la seule frappe cadrée de la première période, oeuvre de Lucho. Ben Arfa remplace Abriel quelques minutes avant la pause. Un OM plus tranchant se profile alors. Quelques minutes après la reprise, Valbuena, méritant mais jamais décisif à l'image de sa carrière professionnelle, est remplacé par Baky Koné. L'OM pousse sans s'émousser. Lucho, victime d'un coup sur sa cheville droite, sort au profit de Kaboré. « Bas du cul exhorte alain Soultanian à « en profiter pour le pîquer cart la Sécu nous rembourse». L'OM ne cadre toujours pas. Koné place une reprise puissante dans le pubis d'un Toulousain. L'OM cadre sa troisième frappe, noyée dans une multitude d'occasions hors-cadre, par le biais de Niang replacé dans l'axe. Il aura fallu attendre la 75 pour que le Velodrome rechante l'espoir grâce à Brandão, sur un service de Koné. Nul ne sait comment ce ballon aura fini au fond des filets. Mais « bas du cul » manivelle sa théorie : « En vérité, il a la jambe gauche qui s'est disputée avec la droite, à la fin de l'embrouille y en a une qui a décidé de marquer ». L'OM pousse. Mais s'émousse. Une pluie d'occasion, mais rien de décisif, à part Blondel, auteur de plus que le minimum syndical : « Me goal de Toulouse, c'est Jésus. Il est tellement excité qu'il sort toutes les balles. Il a fusionné avec Maurice ». A trop vouloir vaincre un à zéro, l'OM s'est trouvé fort dépourvu quand le moment de claquer la bise à Bordeaux, vainqueur 1 à 0 face à Monaco, fut venue. Si le Clasico avait eu lieu et que l'OM avait joué ce soir Toulouse à armes égales, on aurait pu accorder aux Olympiens des circonstances éternuantes. A 11 contre 10 à domicile, c'est impardonnable. Les masques tombent-ils ?
Les notes de « bas du cul »
Mandanda : 6
Un arrêt décisif face à Gignac, pas inerte pour un saoûl. Au nom de quoi a-t-il réclamé un mur à deux joueurs sur la frappe d emule de Sissoko ?
Heinze : 6
Hargneux, présent surl'homme.... mais c'est habituel. La puissance et la vitesse de Taïwo nous auront manqué ce soir.
Hilton : 6
Je ne l'ai pas remarqué. Est-ce de bon ou de mauvais augure ?
Diawara : 5
Le cas Souley interroge, mais les Toulousains n'en ont pas fait tout un plat. C'est le Marseillais qui avait l'air à la peine au moment de digérer ses efforts.
Bocaly : 6
De la volonté malgré quelques erreurs qui auront conduit Gignac à crocheter par son côté sur son but. Bonne disponibilité, le gàri est monté autant de fois en un latch que Bonnart depuis le début de la saison. A faire regretter de ne pas voir Taïwo de l'autre côté. Plein d'entrain... et comme il joue arrière, mmmmmmm je l'ai senti passer !
M'Bia : 5.5
Je ne sais qu'en penser. Pas vraiment auteur de maladresses, Stéphane n'a eu aucune influence dans un secteur de jeu stratégique.
Abriel : 4
Remplacé à la 39e par HBA. « T'y as vu les passes qu'il fait, Abriel ? Ma foi, c'est un milieu défensif, rien de plus. Eh ma foi...».
Lucho : 4,5
« 20 myons d'euros, tu me fais rentrer à moi c'est pareil » s'est exclamé un petit vieux « au nez de bec bunzen ». Auteur de la seule frappe cadrée jusqu'aux deux tiers de la partie, mais dont la mollesse fut digne d'une octogénaire enceinte. « Avant, il donnait des ballons à des bombes atomiquesn, maintenant il fait des passes à Brandão, il faut le comprendre peuchère ».@bas du cul.
Niang : 5
« S'il était pas africain, il courrait moins vite et on le trouverait pas bon »@bas du cul.
Valbu : 5,5
« Il est aussi mauvais que Niang mais il est plus petit ». Pas déméritant, le Mathieu. Mais jamais décisif. Life goes on, Houuuuuuuuuuu ! Deux tirs juste au-dessus de la barre. Gerets ne l'aurait jamais sorti. « Tu l'as vu Sissoko ? Eh bèh, Valbuena même en sautant il arrive pas à lui mordre les coroñes »@basducul, qui relança proprement d'un : « Eh applique-toi oh tête de bonne mine ! ».
Brandao : 6
40e minute, basducul prend la parole : « Oh fais le sortir Chubaka, les Toulousains ils jouent à 47 derrière. Qu'est-ce que tu veux gagner un championnat avec lui... qu'il rentre chez lui en vaisseau ! ». 87e : « Bien joué Chubaca, oh c'est la pleine lune, il va lui pousser des poils c'est un fou lui oh ! ».
Ben Arfa : 6,5
« Qu'est-ce y fait avé le maillot de Niang ce drogué ?!!! Ben Arfa, c'est un drogué, c'est un vendeur de bambous à la Busserine ».
Kaboré : 5
Aucun commentaire, j'étais déjà saoûle !
Koné : 6.5
Remplace le petit, la différence aurait pu venir (deux fois) de lui. Auteur d'une passe décisive sur le but égalisateur de notre Brandão, on le sentait en mesure de faire ce que Niang n'était plus en forme de faire. En somme, Koné aurait pu nous faire monter à l'étage supérieur au classement, ce soir.