18-09-2008, 23:17
Oyez, oyez, peuple marseillais !
Entendez lhistoire des valeureux guerriers olympiens et de leur lutte sans fin pour la conquête du trône de France. Confisqué depuis sept années consécutives par les hordes lyonnaises et leur Empereur « Palpatine » Mondy, lheure de la révolte aurait-elle finalement sonnée ?
Toute porte en effet à le croire. Selon la Volonté de Sa Sainteté le Pape Diouf Ier, les lignes défensives ont été considérablement renforcées cet été, sans pour autant vider les caisses de la ville. Attentifs aux désirs du bon peuple, le Grand Intendant José la caution Marseillaise a par ailleurs personnellement veillé à augmenter larmada offensive des Phocéens, choisissant de la doter de la vitesse de percussion et de lintelligence tactique qui lui faisaient parfois défaut.
Plus équilibrée, capable de porter le fer sur les flancs comme de front, larmée marseillaise est aujourdhui plus crainte quauparavant.
Mais les plus beaux combats sont toujours ceux que lon remporte et lHistoire - cruelle - ne sécrit quà lencre de la victoire. Seul le triomphe est mère de gloire car en sport comme en politique, le respect et lhonneur se gagnent avant tout sur les champs de bataille.
Et c'est là précisément que le bât blesse.
Après une campagne girondine prometteuse, où notre Roi bien-aimé Erik le Rouge fit montre dune intelligence tactique hors norme, écrasant de Sa superbe le non moins redouté Seigneur Laurent Blanc, la trêve fut malgré tout déclarée par les deux camps qui se séparèrent sans quun vainqueur puisse être véritablement désigné.
Pis, c'est après avoir défendu avec honneur et bravoure nos couleurs face aux terrifiants Anglois venus en conquérants - et alors que lobjectif semblait à portée de crampons - que nos soldats faillirent face à ce quil faut bien appeler le génie du lancier Gerrard.
Aujourdhui plus que jamais, il est temps réagir. Car à présent, ce sont les troupes rouges et blanches du Prince Albert de Monaco qui se dressent aux portes de la ville. Emmenées par le stratège Ricardo, larmée a de quoi surprendre. A première vue en tout cas.
Ses soldats, le Prince est allé les chercher aux quatre coins des terres connues. Ainsi du colombien Pino, rapide comme léclair, se faufilant parmi les défenses ennemies pour mieux les ébranler ou encore le fier argentin Alonso, solide destrier capable de faire rompre ladversaire par sa puissance, sans oublier Park, la recrue sud-coréenne et véritable attraction du mercato monégasque.
Mais ici, le cosmopolite flirte parfois avec lhétéroclite, et il faudra aux Olympiens opposer au jeu décousu mais flamboyant des Rouges et Blancs un collectif et une solidarité à toute épreuve.
« Après moi, le déluge » affirmait en son temps le grand Robert-Louis XV Dreyfus. Peuple marseillais, aujourdhui plus quhier, lHistoire est en marche. Soyez fiers de vos soldats, fiers de votre Roi. Aidez-les à conquérir le trône de France, aidez-les à redonner à nos couleurs léclat du triomphe européen ! Ainsi que notre bon Pape le disait : doutez, craignez, blasphémez, mais jamais la Foi ne perdez !
Pour autant, les belles invocations à présent ne suffiront plus. Malgré le beau jeu proposé par nos vaillants guerriers, malgré le vent de folie qui parfois souffle dans les travées du Vélodrome, ne nous y trompons pas : dimanche soir, seule la victoire sera belle. Droit au but ; il ny aura pas dalternative, pas de compromis.
Quon se le dise, dans le Livre Ultime il ny a pas de mot « fin », juste des pages à écrire et parfois à tourner.
Puissent nos joueurs, évoluant sur leurs terres et soutenus par tout un peuple, y entamer le plus beau des chapitres.
Entendez lhistoire des valeureux guerriers olympiens et de leur lutte sans fin pour la conquête du trône de France. Confisqué depuis sept années consécutives par les hordes lyonnaises et leur Empereur « Palpatine » Mondy, lheure de la révolte aurait-elle finalement sonnée ?
Toute porte en effet à le croire. Selon la Volonté de Sa Sainteté le Pape Diouf Ier, les lignes défensives ont été considérablement renforcées cet été, sans pour autant vider les caisses de la ville. Attentifs aux désirs du bon peuple, le Grand Intendant José la caution Marseillaise a par ailleurs personnellement veillé à augmenter larmada offensive des Phocéens, choisissant de la doter de la vitesse de percussion et de lintelligence tactique qui lui faisaient parfois défaut.
Plus équilibrée, capable de porter le fer sur les flancs comme de front, larmée marseillaise est aujourdhui plus crainte quauparavant.
Mais les plus beaux combats sont toujours ceux que lon remporte et lHistoire - cruelle - ne sécrit quà lencre de la victoire. Seul le triomphe est mère de gloire car en sport comme en politique, le respect et lhonneur se gagnent avant tout sur les champs de bataille.
Et c'est là précisément que le bât blesse.
Après une campagne girondine prometteuse, où notre Roi bien-aimé Erik le Rouge fit montre dune intelligence tactique hors norme, écrasant de Sa superbe le non moins redouté Seigneur Laurent Blanc, la trêve fut malgré tout déclarée par les deux camps qui se séparèrent sans quun vainqueur puisse être véritablement désigné.
Pis, c'est après avoir défendu avec honneur et bravoure nos couleurs face aux terrifiants Anglois venus en conquérants - et alors que lobjectif semblait à portée de crampons - que nos soldats faillirent face à ce quil faut bien appeler le génie du lancier Gerrard.
Aujourdhui plus que jamais, il est temps réagir. Car à présent, ce sont les troupes rouges et blanches du Prince Albert de Monaco qui se dressent aux portes de la ville. Emmenées par le stratège Ricardo, larmée a de quoi surprendre. A première vue en tout cas.
Ses soldats, le Prince est allé les chercher aux quatre coins des terres connues. Ainsi du colombien Pino, rapide comme léclair, se faufilant parmi les défenses ennemies pour mieux les ébranler ou encore le fier argentin Alonso, solide destrier capable de faire rompre ladversaire par sa puissance, sans oublier Park, la recrue sud-coréenne et véritable attraction du mercato monégasque.
Mais ici, le cosmopolite flirte parfois avec lhétéroclite, et il faudra aux Olympiens opposer au jeu décousu mais flamboyant des Rouges et Blancs un collectif et une solidarité à toute épreuve.
« Après moi, le déluge » affirmait en son temps le grand Robert-Louis XV Dreyfus. Peuple marseillais, aujourdhui plus quhier, lHistoire est en marche. Soyez fiers de vos soldats, fiers de votre Roi. Aidez-les à conquérir le trône de France, aidez-les à redonner à nos couleurs léclat du triomphe européen ! Ainsi que notre bon Pape le disait : doutez, craignez, blasphémez, mais jamais la Foi ne perdez !
Pour autant, les belles invocations à présent ne suffiront plus. Malgré le beau jeu proposé par nos vaillants guerriers, malgré le vent de folie qui parfois souffle dans les travées du Vélodrome, ne nous y trompons pas : dimanche soir, seule la victoire sera belle. Droit au but ; il ny aura pas dalternative, pas de compromis.
Quon se le dise, dans le Livre Ultime il ny a pas de mot « fin », juste des pages à écrire et parfois à tourner.
Puissent nos joueurs, évoluant sur leurs terres et soutenus par tout un peuple, y entamer le plus beau des chapitres.
Schtroumpfez-tous votre punaise de schtroumpf !