Keyser a écrit :Voilà quoi.
Et sinon, il va mettre qui, notre ami Gerets Mardi, 3 jours après un match très éprouvant physiquement dixit Niang en pointe face à Liverpool, et 4 avant de recevoir Monaco pour le compte du championnat ?
Samassa...:lol:
Non, j'arrete c'est pas drole.
Ah en fait ce n'est pas pour ca qu'il a fait sortir Niang a 20 minutes de la fin ?
madinmars a écrit :J'adoooooooooore les commentaires du style "Avec Cissé on aurait marqué et gagné". Ce sont les mêmes qui devaient se plaindre des râtés qu'il a pu avoir lorsqu'il jouait chez nous. :hum:
La mauvaise foi du supporter. Inégalable. (et je m'inclue dedans)
Koné et Niang ont mal joué leurs coups ou Ramé a bien joué le sien. Ca arrive même à des joueurs plus réputés que les notres et on ne retient que les magnifiques occasions qu'ils se sont créés.
Je plussune.
Déjà, la première occasion ratée de Koné, Cissé aurait été hors-jeu car Koné a fait un départ comme ils le font en voile, il a longé la ligne imaginaire de hors-jeu jusqu'à ce que Benoît fasse la passe. Là Cissé serait parti tout droit et aurait été hors-jeu.
J'étais un des défenseurs du Djib' mais maintenant qu'il est parti arrêtons de nous dire si Cissé si, si Cissé ça car avec des scies on coupe du bois.
Mars a écrit :Je dois avoir un trou de mémoire, mais y'a 2 ans à Bordeaux, il avait eu combien d'occasions Cissé ? Pour combien de but(s) ?
Je sais pas, mais au sortir d'une fracture jambale, ça peut se comprendre qu'il ai cafouillé...éventuellement.
madinmars a écrit :Koné et Niang ont mal joué leurs coups ou Ramé a bien joué le sien. Ca arrive même à des joueurs plus réputés que les notres et on ne retient que les magnifiques occasions qu'ils se sont créés.
Sauf qu'ils en maqueront beaucoup d'autres qui nous couteront des points ou des qualifs. Des occase nous nous en créons pas tant que ça, c'est plus l'époque Papin de la première saison, qui se créait 10 occases par match, nous nous disons alors, "c'est pas grave la prochaine il va la mettre dedans", alors que là, la prochaine.... desfois elle est au match suivant, tu comprends :D
Niang deux buts en 5 matches et Koné trois, a eux deux ils ont mis un but par match, ça vole pas très haut au sens propre comme au sens figuré. Alors que Cissé dans les matches de prépa était parti fort pour faire parler la poudre cette saison. Mais bon c'est un choix de Gerets. sans préjuger de ce qu'il va nous arriver, il y a une logique "attaquantale" qui n'a pas été respectée.
foutcheubol a écrit :Hormis sur le but de Chamack, qui est un petit bijou de technique, j'ai pas souvenir qu'Hilton se soit fait prendre en défaut sur ce match ?
Je rapporte ce que j'ai lu dans la Provence, je n'ai pas vu le match.
Mais enfin Chamack qui se retrouve tout seul dans un petit carré a faire un contrôle poitrine et frappe en force, pour crucifier Mandanda, je me dis qu'il n'est pas réputé pour faire du Zidane malgré son aisance technique. Qu'il est surtout réputé pour jouer en déviation et que ce but "hormis" c'est celui de l'égalisation qui te fait perdre deux points et qu'il te massacre une bonne partie d'ensemble. dont la première période la plus accomplie depuis le début de la saison d'après Gerets.
Heureux soient les quatorze fidèles dOrange Foot et les douze noctambules branchés sur Foot+ pour assister à la messe de minuit samedi soir. Ils ont pu voir un saint-père en culotte courte aligner les "Je vous salue Marines et Blanc" à en friser la béatification. Dans LÉquipe, cette grenouille de bénitier dHervé Penot naura vu quun joueur ayant "toujours cherché à jouer dans le sens du but". Pardonnez-lui, il ne sait pas ce quil fait: Benoît Cheyrou, cest tellement plus que cela.
"Tout est possible à celui qui croit"
Tenu éloigné du prêche en ce début de saison, on a assisté à une résurrection, un véritable miracle: le père Cheyrou, le fils Cheyrou et le saint-esprit officiaient dans les mêmes crampons, linspiration divine en plus. Une activité qui fit jurer certains supporters marseillais quils avaient vu Cheyrou marcher sur le "o" de Bordeaux. Baky, Mamadou, mangez, goinfrez-vous même: ceci est mon corps.
À chacune de ses longues ouvertures, la lumière fut, même si les deux de devant ont un peu trop joué avec linterrupteur. Dieu créa lhomme à son image, mais pour peu que sa tête décroisée eut connu une meilleure fortune, on aurait juré quil ressemblait davantage à saint Patrick Vieira.
"Tu es Pierre et sur cette pierre, je bâtirai mon Église", entendit-on au loin. Lécho répondit: "Non, moi cest Eric, et cest sur ce Benoît que je bâtirai mon équipe". Noces de Cana ou pas, ça ne va pas être facile pour tout le monde de gagner sa place cette saison.